"Repos" à Water Seven [PV Kamiki no Umi]

Water Seven, aussi appelée la « capitale aquatique ». Kagero avait échoué ici après être monté au hasard, clandestinement bien sûr, dans un bateau sur un Dock du continent. Une fois avoir pris connaissance de là ou il se trouvait, Kagero avait ensuite cherché une auberge, ou une taverne, en bref, un endroit ou il aurait la paix le temps de se restaurer.
 
Il avait enlevé son masque, car en pleine rue ce genre de choses est assez remarquable. Il fini, après une recherche assez épuisante, une vielle taverne du nom de « La Baleine Echouée ». Ce n’est pas un nom qui inspire confiance, il faut l’admettre. Kagero poussa la vielle porte en bois, révélant une salle vide, hormis pour quelques grands gaillards semblant n’être que des racailles de bas étage et un vieux tenancier, puant un mélange de poisson desséché, et de fromage moisi. L’Ombre s’avança jusqu’au comptoir, s’assit à un tabouret, et mettant quelques Berrys sur la planche en bois servant de comptoir. Il remarque ensuite une affiche représentant un vieux capitaine de bateau, tenant un plat en argent avec dessus ce qui semblait être un filet de colin. Dessous était la phrase « Mes filets de poissons au colin sont délicieux, moelleux et croustillants, le vrai trésor du Cap’taine ! ». Ainsi, l’homme encapuchonné décida de commander, non sans crainte, une pièce de colin.
 
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« Premier client ‘inédit’ de la journée » Pensa Joe, en saisissant les pièces posées devant lui par l’homme encapuchonné.
 
Faut l’dire, à part ces déchets de la société assis au fond de la pièce, les personnes ayant faits d’ailleurs une mauvaise réputation à l’établissement de la « Baleine échouée », presque personne passait dans cette taverne ; ça plaisait donc à Joe de voir une nouvelle tête.
 
Une fois qu’il eut cuit la pièce de Colin commandée par l’inconnu, le vieux cuisinier la mis dans une assiette, la posa devant le client, de même qu’une fourchette et un couteau. Il glissa un « bon appétit », avant de reprendre son passe-temps favori qui était de regarder attentivement à quel point les débiles qui peuplaient son restaurant sont… Et bien…. Débiles.
 
Et le spectacle d’aujourd’hui promettait d’être excellent par ailleurs, puisqu’à peine le nouveau venu eut il fini la moitié de sa nourriture que les cinq gros abrutis du fond se rapprochèrent du comptoir. Un type grand, et relativement musclé pris la parole.
 
«Eh bien, un nouveau v’nu à Water Seven, j’pense, j’t’ai jamais vu dans le coin. »
 
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« Et voilà… les moisissures décident de venir me parler… On ne peut pas manger tranquille sur cette saleté de planète ? » Pensa Kagero agacé et désespéré par le niveau d’intelligence actuel de l’espèce humaine.
 
Il ne leur prêta juste aucune attention. Il espérait intérieurement cela dit qu’ils lâcheraient vite l’affaire avant qu’ils ne causent du grabuge. Car qui dit grabuge dit gardes-qui-rappliquent-pour-t’emmener-case-prison, et témoins-pour-te-dénoncer-si-tu-t’enfuis. Enfin, pas comme si ils pouvaient vaincre l’homme encapuchonné, mais il préférait faire profil bas histoire d’éviter de repartir trop vite. Faut l’avouer, Water Seven regorgeait surement de richesses à voler, mais on ne peut rechercher tranquillement un endroit à voler que si il n’y à pas des gardes à chaque coins de rue qui tentent de te débusquer.
 
« Eh, débile, je t’ai parlé ! » Dis le rebus humain qui avait déjà ouvert la bouche auparavant. Il posa la main sur l’épaule de Kagero, afin de tenter de le faire se retourner vers lui. Ce qui eut pour effet de faire lâcher sa fourchette au mangeur, et par la même occasion,  de l’énerver, car d’une le filet de colin n’était pas si mauvais que ça, et de deux, ça faisait un moment qu’il n’avait pas pu manger à sa fin.

Il se releva donc, redressant même son échine, ce qui eut pour effet de le rendre d’au moins une tête plus grande que celui qui l’avait interrompu dans sa restauration. Il regarda donc du haut de ses un mètre quatre-vingt-dix les abrutis, qui remarquèrent donc que cet homme n’était pas la personne à attaquer, et ils prirent leurs jambes à leur cou, sortant de l’établissement. Kagero se rassis, et recommença à manger.
 
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Raoul ne put se remettre de sa surprise après avoir été confronté à quelqu’un de plus grand que lui ! Il faut le dire, du haut de ses un mètre soixante-dix-neuf, il pensait que personne à Water Seven ne pouvait le dépasser, surtout un inconnu.
 
Une fois que lui et ses camarades furent sortis de leur « coin habituel », son ami Nick voulu leur parler d’un détail important, ainsi il les emmena tous dans une ruelle à côté du restaurant. Ils s’assirent sur des caisses, en rond, et Nick commença à parler de sa voix grave :
 
« Hum, bon… Vous vous souvenez tous de mon ami Giles ? » Les quatre autres hochèrent la tête.
 
« Eh bien, depuis qu’il est parti d’ici, on a continués à échanger des lettres, histoire que je me tienne au courant de ce qu’il se passe sur le continent. »
 
« Viens-en aux faits ! » dit Raoul, agacé.
 
« Oui, j’y arrive. Pendant la semaine dernière, on en est venus sur un sujet important ; les primes. Il m’a donc parlé des plus récentes dans sa région. Et figurez-vous que depuis quelques années, sur le continent, on parle d’un type  avec un masque blanc, vêtus de draps, et à la peau grise et noire, dont la prime s’élève à plus de cent millions de Berrys… Je sais qu’il ne portait pas son masque ; le type dans le bar. Mais vous ne pensez pas que si on le rajoute… »
 
Raoul se leva brusquement. « C…CENT MILLIONS ! On est riches ! Rien qu’avec le pourcentage liés aux informateurs, on est riches !» 
 
Les quatre autres se levèrent. Nick s’exclama à son tour : « Au poste de Marine le plus proche ! »
 
Et ils déambulèrent tous heureux dans les rues de Water Seven, jusqu’à ce qu’ils trouvèrent un soldat de la Marine à qui se confier.
 
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Lorsque Kagero eut enfin fini son filet de colin ; il se leva de son siège, et se dirigea vers la porte du restaurant. Il sorti de la pièce, et se rendit compte qu’il était entouré par une demi-douzaine de marines braquant des armes sur lui. Bon, et bien, faire profil bas était un échec. A tous les coups, c’était les autres déchets de tout à l’heure qui l’avait dénoncé. Ou quelqu’un d’autre.
 
Mais cela importait peu. Kagero sorti de la poche de son pantalon son masque, qu’il enfila sous les yeux des marines qui le visaient avec leurs mousquets. Finalement, un homme en uniforme, visiblement un officier, s’avança, et sortant un sabre qu’il pointa sur sa cible, il cira :
 
« Yamanaka Kagero ! Au nom des lois de notre Gouvernement, je vous arrête ! »
 
Le concerné soupira, puis regarda à travers son masque l’officier. Alors que les marins s’apprêtèrent à faire feu,  l’Ombre disparu. Les Marines s’agitèrent dans tous les sens, cherchant leur cible.
 
Grâce à l’utilisation du Soru, Kagero réapparu derrière l’officier, attrapa la dague à la ceinture de celui-ci, et lui planta dans le dos, avant de disparaître à nouveau. Les Marines affolés tirèrent dans  tous les sens, avant de tomber morts, un à un.
 
Plus d’une vingtaine de Marines étaient maintenant en train de se diriger vers Kagero, qui décida lors de s’enfuir dans la foule, car les combats de plein jour et en pleine rue, c’est jamais bon.
 
« Huh, moi qui voulait passer inaperçu… » Pensa-t-il en s’enfuyant.

Peu de temps après son recrutement, l'équipage avait décidé de rester un petit moment sur cette île et y avait loupé une chambre. Bien sûr, ne voulant pas trop dépensé, ils avaient prit deux chambres et Erika avait dormi avec le moins pervers et le plus naïf de l'équipage, comme ça, durant la nuit il n'y avait pas eût de problèmes. Le lendemain, la jeune fille s'était levée bien avant son coéquipier et en avait profité pour prendre une douche. Après s'être rhabillée, elle avait écrit un petit mot disant qu'elle allait faire quelques achats et que s'ils le désiraient, ils pouvaient la retrouver à cet endroit. Ceci étant fait, la demoiselle descendit au rez-de-chaussée pour prendre son petit déjeuner, qui avait été assez copieux, car d'habitude, elle ne mangeait jamais à sa faim, la elle en avait profité puisque c'était comprit avec le prix de la chambre. Etant donc rassasiée, la miss était partie se balader en ayant pas peur de se promener toute seule, car elle savait se défendre et puisqu'elle trainait avec des fous, ne citer que leur nom ou leur description suffirait à faire fuir les plus courageux, ce qui était bien pratique en cas de problèmes. En marchant dans les ruelles, elle pu voir qu'il y avait de l'agitation.

*Tient, qu'est-ce qu'il ce passe ?*

Ce demanda la miss en étant curieuse de voir ce qu'il pouvait bien se fondant dans la masse, elle pu voir une ombre se faire poursuivre par la marine. Cette ombre, c'était un homme, enfin ça y ressemblait. Ne pouvant pas le laisser se faire arrêter, elle se mit à courir pour tenter de le rattraper, poussant les gars de la marine sur son passage en leur lançant au passage un "désolé". L'ayant enfin rattrapé, elle le prit par le poignet, puis l'entraina avec elle en lui faisant faire plusieurs détours, ce qui lui permit de semer les marines. Etant à présent bien cachés derrières des tonneaux, la marine leur passa devant sans les voir, ce qui fit sourire la jeune fille. Lorsqu'ils eurent disparut et fût sûre qu'il n'y avait plus de danger, la miss se releva, lâcha le garçon, puis s'en écarta.

"Je ne sais pas qui vous êtes, mais je ne pouvais pas vous laisser vous faire arrêter par la marine et puis, ça m'a bien amusée de les semer, qu'ils avaient l'air stupide en ne sachant plus où aller ! Faites plsu attention la prochaine fois d'accord ?"

Après avoir terminé sa discussion avec ce jeune homme assez étrange, la miss se mit à avancer, semblant vouloir continuer son chemin comme si de rien ne s'était passé. En faites, elle aurait dû en avoir peur avec son masque et sa tenue peut rassurante qui pourrait presque le faire passer pour un tueur en série, mais la jeune fille s'en fichait royalement de son apparence, tout ce qui avait compté pour elle, cela avait été de le tirer d'une mauvaise postures.

"Au faites, moi c'est Sohma Erika, contente d'avoir fait ta connaissance ! Bye à la prochaine !"

La demoiselle s'était retournée pour lui faire un signe de la main tout en lui faisant un grand sourire, puis avait tourné les talons et s'en était allée. Ravie de cette nouvelle rencontre qui avait embelli sa journée, la jeune fille avait hâte de pouvoir raconté ce qu'il c'était passé à son équipage, de plus, cela pourrait intéresser Yuki, après tout, il lui fallait d'autres membres pour que son équipage puisse se construire et soit assez solide pour naviguer jusqu'au One Piece.

Musashi marchais le long des canaux, il se dissimulait un maximum au milieu des rues longée par les nombreux bâtiments environnants, il s'assurais de ne pas être pris pour cible par un sniper, il se débrouillais pour eviter d'être dans le viseur des nombreux sniper voulant le prendre pour cible, la marine était peut être incapable mais ils étaient très bon en stratégie surtout lorsqu'ils voulaient chopper un homme tel que Musashi ou un autre des KAMIKI NO UMI (UMI PAS UNI) Il se retrouva alors par tout hasard au milieu d'une grande rue, un grand canal aquatique entourée par deux morceaux de rues, un coup de feu y résonna, deux snipers l'avait en ligne de mire. D'un Iai, Musashi dévia la balle du premier en direction du crane du deuxième, il voulait montrer a la marine qu'il en avait assez d'être pris pour cible et qu'il pouvait a tout moment se débarrasser d'eux de simples soldats. Il entra alors dans la taverne, il était tôt, il avait plutôt faim, il s'installa a une table en fond, et dissimulée de l'entrée avant de faire signe a la serveuse.


Amenez moi une bouteille de votre rhum local ainsi que de la viande, j'ai grande envie de manger.


La serveuse amena la commande de Musashi rapidement, il y avait d'autres hommes assis a l'autre bout, et voyant l'allure de Musashi, ils n'osèrent même pas le regarder, il était connu a Water Seven,   tous de grand gaillard, plus petits que Musashi, puis une personne entra tout de noir vétue et de la même taille que Musashi (1mètre90), les hommes étaient menacé par Kagero, ils allèrent au comptoirs le rejoindre, la situation allait être amusante a partir de maintenant.


Eh bien, un nouveau v’nu à Water Seven, j’pense, j’t’ai jamais vu dans le coin



Un homme était venu l'accosté , Musashi espérait que l'homme se lève pour le corriger mais il ne leurs prêta aucune attention, il devait les considérer comme les déchets qu'ils sont, au moins il était intelligent, peut être avait il quelque talents. Puis d'un  Eh, débile, je t’ai parlé ! l'homme posa la main sur l'épaule de l'ombre noire, la baston allait peut être commencer, intéressant tout cela , l'homme allait peut être se décider a répliquer, Musashi se faisait discret buvant et mangeant lentement, l'homme se leva simplement, il était bien de la carrure de Musashi et les fit fuir honteusement a vrai dire. Mais Musashi connaissant un peu les environs savait qu'ils allaient appeler des amis, et peut être même la marine, il y allait obligatoirement y avoir de la baston dans l'air.
Peu de temps après Musashi sentait la rue se vider, L'homme finit son poisson avant de se lever calmement et de sortir, peut être avait il senti la douzaine de marine devant la porte prête a tirer ? Peut être pas, Musashi entendit clairement la marine parler, des phrases ne servant jamais a rien nous ne sommes pas dans starsky et hutch.
 
Yamanaka Kagero ! Au nom des lois de notre Gouvernement, je vous arrête ! 
     
Musashi suivait la baston, l'ombre noire était rapide, les marines eux de simples soldat, il en finit rapidement, mais les renforts arriver, Musashi marchais vers la porte, une femme arriva vers l'ombre le temps  que Musashi atteigne la porte, et en l'ouvrant la femme s'en alla avec l'homme, Musashi passa la porte, il était au face a la vingtaine de marine, qui le prirent en joue immédiatement, Musashi trancha d'un coup vers eux, tout en dégainant puis rengainant sa lame, les 20 marines furent découpés en deux et leurs têtes tombèrent en même temps, Musashi marchait au milieu d'eux, les passant fuyaient dans plusieurs directions, Musashi s'en alla en direction de l'ombre et la jeune femme, il le suivait grace a sa grande perception, il était a 20 mètres derrière lui lorsque la femme s'en alla, il s'approcha encore avant de l'interpeller 


Héé l'ombre, viens avec moi, je t'offre un verre, et il ne faut pas refuser une proposition d'un homme armé Ahahahah.


Musashi pointait du doigt un bar de l'autre coté du canal.      

Les évènements suivants se déroulèrent vite : D’abord, pendant que Kagero prenait la fuite, une jeune femme lui attrapa le bras. L’homme ne se débattit pas étant donné que la fille en question passa rapidement devant lui, et en plus pour amener l’Ombre dans un coin sur, derrière des tonneaux le temps que les Marines perdent sa trace.
 
Une fois cela fait,  l’inconnue se releva, et dit :
 
« Je ne sais pas qui vous êtes, mais je ne pouvais pas vous laisser vous faire arrêter par la marine et puis, ça m'a bien amusée de les semer, qu'ils avaient l'air stupide en ne sachant plus où aller ! Faites plus attention la prochaine fois d'accord ? »
 
Kagero se releva lui aussi, et hocha la tête en signe à la fois de compréhension et de gratitude, puis ouvrit la bouche pour dire de sa voix grave :
 
« Je vous remercie, sans vous, je ne sais pas combien de temps j’aurais mis à les semer. » Il esquissa un sourire derrière son masque «  Et sinon, vous avez  raison, ils avaient bien l’air stupides.»
 
Ensuite, il regarda la jeune femme s’éloigner, puis se présenter. Il enleva son masque, le rangea, et rouvrit la bouche pour décliner son identité à son tour :
 
« Moi, c’est Yamanaka Kagero. Encore merci, et au revoir.»
 
Il souffla de soulagement, la Marine allait être occupée pendant un moment, vu comment ils étaient partis dans la mauvaise direction. Alors qu’il balançait la dague de l’officier de tout à l’heur dedans un des tonneaux qui était ouvert, il entendit quelqu’un l’appeler.
 
« Héé l'ombre, viens avec moi, je t'offre un verre, et il ne faut pas refuser une proposition d'un homme armé Ahahahah. »
 
Il se tourna dans la direction de l’appel, et pu y trouver un homme, ayant l’air de longs cheveux blancs, couleur de crinière peu répandue parmi le genre humain… Même si Kagero était mal placé pour parler de couleurs différentes avec sa peau toute moche. A part cela, conformément aux dires de l’inconnu, il était armé. Même si sa menace ne paraissant pas un temps soit peur sérieuse. Enfin, quant à la proposition de l’homme, Kagero n’y voyait pas d’inconvénients, au contraire, il n’aurait pas à dépenser un rond. En plus, restait trop de temps au même endroit porterait plus d’inconvénients au niveau de la Marine qu’autre chose, ainsi il prononça tout en entamant sa route vers le bar désigné par son interlocuteur :
 

« Pourquoi pas ? »

Au moins, elle savait comment il s'appelait et elle ne l'oublierait pas. Bien qu'elle avait déjà fait un bon mètre, elle entendit un de ses nakamas demander au jeune homme qu'elle avait sauvé, d'aller boire un verre avec, au moins, avec celui-là, elle était sûre qu'il ne risquerait rien. Souriant, elle continua son chemin, se disant que les deux gaillards allaient bien s'amuser entre mecs. Soudain, trois marines faisant partie de l'équipe de tout à l'heure lui tombèrent dessus, ce qui surprit la jeune fille, ce qui lui fit émettre un petit cri de terreur, qui fût court, mais assez audible. Reculant d'un pas pour garder ses distances, elle fit un tour complet sur elle-même pour se rendre compte qu'ils l'encerclaient.

- Mademoiselle, vous avez aidé un dangereux pirate à s'enfuir, ce qui vous rend complice, nous sommes donc obligé de vous arrêtez !

"Vous savez que je fais partie des Kamiki no Umi ?"

En entendant ce nom, ils devinrent blanc comme des linges. Cet équipage commençait à être connu comme le loup blanc et non par sa bravoure, mais par sa dextérité à foutre le bordel partout où ils passaient, ce qui n'était pas une belle réputation, mais dans un pareil cas, ça aidait. Se reprenant et se rendant compte que cette nana pouvait être aussi dangereuse que ses coéquipiers, ils sortirent leurs armes pour la braquer, au moins en éliminer un de cet équipage de malade, ça fera moins de dégâts dans les ruelles, mais ils n'eurent pas le temps de viser, car la miss se tourna très rapidement et donna en même temps un coup sur la main des trois, ce qui les fit lâcher leurs armes, que la miss se pressa de prendre dans ses mains, en mettant une dans une de ses poches, puis les braqua à son tour.

"Les amis, je vous conseil de vous écartez ainsi que d'aller loin, très loin et surtout, d'arrêtez de nous embêtez, sinon pan ! Allez bye messieurs !"

Faisant semblant de tirer en imitant le bruit d'une balle qui partait, se comportant un peu comme une gamine qui recevait un faux pistolet, les marines étant plus malins qu'ils n'en avaient l'air, préfèrent partir sans demander leur reste. Ne sachant pas quoi faire de toutes ces armes, elle s'en alla là où les deux amis étaient parti boire un verre et les rejoignit.

"Vous savez quoi ? Les marines ont été très généreux, vu que je vais pas tous les utiliser, je vous en donne un, sinon vous pouvez les jeter ou les revendre. Bon alors on se boit quoi ? Une bière ?"

Leur donnant à tout deux un pistolet, elle proposa un alcool à boire, mais ils allaient sûrement rire, car dans la piraterie, on buvait plus fort que ça, une boisson d'homme, pas de nana ! N'ayant jamais eût l'occasion de boire plus fort, elle risquait d'être ivre, ce qui ne serait pas une bonne idée, surtout si plus tard elle devait naviguer, car comme on le dit si bien : Boire ou Conduire faut choisir. Par contre, il n'était pas interdit de faire les deux en même temps, surtout si c'était fait avec modération et sagesse.