Des vacances très animées

Quand Léo parvient à se libérer, Liberté fait un commentaire qui ne plait pas du tout au capitaine qui dit : "La ferme!"

Léo prend une épée d'un des pirates et la pointe en direction des pirates en disant : "Reculez, sinon je n'hésiterais pas une minutes à vous tuer".

En l'entendant dire ça, les pirates se mettent à éclater de rire pour se moquer du garçon aux cheveux verts, n'étant pas du tout perturbés par ses menaces qu'ils ne prenaient pas au sérieux vu qu'ils sont immortels. Le capitaine réplique : "Et comment tu compte le faire, jeune homme? Nous ne pouvons pas mourir, tu es seul et nous sommes beaucoup plus nombreux que toi. Et plus important encore, tu n'es armé que d'une simple épée alors que nous..."

Il pointe son pistolet vers lui.

"Nous avons des armes à feu".

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En entendant la réplique du capitaine, la miss ne pu s'empêcher de rire en lui tirant un peu la langue, lui faisant bien comprendre que ce changement de situation l'amusait. Ensuite, lorsque Léo demanda à tout le monde de reculer, la miss ce claqua la main sur le front en ayant l'air presque désespérée, ce demandant comment il pouvait faire pour être aussi ignare alors qu'il avait eût tout le temps pour s'informer auprès de son gardien pour savoir ce qu'il ce passait ici.

"Je comprends qu'ils rient de toi, tu aurais pu au moins t'informer un minimum avant de sortir cette réplique épique"

Après avoir dit cela, le capitaine en rajouta une couche, expliquant alors à Léo la raison pour laquelle il ne pouvait pas être tué. Il lui demanda alors comment il allait à faire pour s'en sortir alors qu'il ne possédait qu'une épée, ce qui fit sourire Liberté, qui ce permit alors d'utiliser le Soru, ce qui fait que personne n'eût le temps de la voir prendre des armes à deux des hommes qui ce trouvaient à côté d'elle pour en passer une à Léo, avant de retourner à sa place initiale, donnant l'impression qu'elle n'avait jamais bougé de sa place vu comme ça c'était passé vite. Ayant faillit ce casser la figure, elle s'appuya contre l'un des pirates à qui elle avait piqué l'arme pour éviter de perdre l'équilibre tout en profitant pour faire un peu du charme.

"Oh comme vous avez été d'une grande gentillesse de me prêter votre arme pour que j'en saisisse le mouvement ! Après tout, cela n'est pas étonnant, votre bonté va de paire avec votre beauté et votre force ! Oups pardon ! Il est vrai qu'il n'est pas du tout le moment de s'entraîner au tir, mais après tout, vous êtes immortel, n'est-ce pas ? Vous n'avez rien ressenti je suppose"

Après tout, ces hommes semblaient tellement en manque qu'un simplement frottement et une voix sensuelle suivie d'un léger baissé de décolleté permit à la miss de ne pas avoir de représailles du pirate, qui eût l'air d'accepter qu'elle la garde encore entre ses mains. Ce demandant toutefois, si ce genre d'outil pouvait abîmer un squelette, la demoiselle couvrit son tir sur le capitaine en accident, espérant que cela pourrait servir d'information utile à Léo. En faisant ce geste, la jeune femme montra subtilement au jeune homme que même s'il était déjà au courant, il n'était pas seul comme le soulignait le capitaine.

Alors que les pirates se moquaient de lui, ce qui l'agace au passage, Liberté dit à Léo qu'elle aurait pu s'informer au lieu de parler, le garçon aux cheveux verts fronce les sourcils et dit : "La ferme! Je t'ai rien demandé et j'ai dit ça comme ça. Arrête de me parler comme si j'étais un abruti!"

Puis, Liberté, à une rapidité étonnante, elle arrive à prendre des armes avant de tirer sur un pirate, ce dernier lui lance un regard impassible, n'étant pas mort, et la gifle avec le dos de sa main. Léo, lui, tire sur le capitaine qui rit et dit : "Une balle de gâchée, as-tu oublié qu'on ne peut pas mourir?"

"Je ne l'ai pas gâché".

Il tend sa main vers le coffre et laisse tomber la pièce où il y avait de son sang. Le capitaine ouvre sa veste et voit qu'il y avait du sang. Il regarde alors devant et dit : "J'ai froid".

Il tombe alors à terre. Léo s'arme de son épée et tue tous les pirates un par un.

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En lui disant de ce la fermer et d'arrêter de lui parler comme s'il était débile, la miss plissa les paupières tout en faisant aller ses pupilles de droite à gauche, ayant l'air presque exaspérée par ce qu'il veanit de dire, tout en ce demandant si c'était bien ou non de confirmer ses dires, mais pesant très vite le pour et le contre, elle décida de ce prit une claque sur la joue, elle émit un léger bruit, montrant que cela lui avait fait mal, même si ça n'avait rien à voir avec les claques de son père, qui étaient plus fortes. Elle pu alors entendre le capitaine ce moquer de Léo, mais d'apèrs ce qu'elle avait vu en apprenant à le connaître, c'est qu'il ne faisait rien sans que cela n'ait aucun sens, alors elle pensait qu'il avait bien agit et cela ce confirma lorsque le capitaine ce mit à saigner.

"Capitaine... Vous saignez, cela veut dire que vous êtes à nouveau vivant, c'est merveilleux, vous avez réaliser votre rêve et personne n'est mort... Quoi ?! Mais... C'est pas juste !"

Liberté pensait au début que ce n'était qu'une simple blessure, ce qui fait qu'elle ce réjouit temporairement de la victoire du capitaine, de plus, personne n'était mort, donc tout allait bien. Cependant, ce qu'elle pensait être une petite blessure était en vérité plus grosse que prévue et après avoir dit qu'il avait froid, il s'éteint à tout jamais, ce qui fit de la peine à la jeune femme qui ce mit à chanter cette chanson :

https://www.youtube.com/watch?v=Kp2USIKU1Zc

Pour l'accompagner vers son envol vers les cieux, puis elle ce mit à continuer de chanter en voyant le carnage, accompagnant l'âmes défunts maudits avec un style assez particulier, mais elle s'en fichait, pensant que ce qui comptait, c'était l'intention. La plupart des pirates s'attaquaient à Léo, ce faisant tuer un à un, et étant obnubilés par leur soif de vengeance, ils en oubliaient presque la miss. Certain d'entre eux tentèrent de s'en prendre à elle et malheureusement pour eux, ils finirent dans le même état que leurs copains, car la donzelle avait l'air de bien ce servir de son nouveau gadget. Lorsqu'il n'y eût plus de pirates, la miss arrêta sa chanson et scruta tout les cadavres en ayant l'air consternée.

"Quels idiots ! S'ils n'avaient pas réagit de la sorte, ils seraient encore en vie, certes livrés à la marine, mais encore en vie. En tout cas, il ne faut pas que cela recommence, donc il faudrait que l'on détruise ces pièces maudites, pis après ont pourra enfin rentré ! Enfin chacun de son côté, bien évidemment !"

Après avoir dit ce qu'elle pensait, elle ce préparait à faire fondre les pièces avec son pouvoir de pyromanie. Ce ressassant dans sa tête tout ce qu'il venait de ce passer, la miss se sentait mal, car elle n'aimait pas tuer des gens, méchant, car elle pensait qu'ils pouvaient toujours changer. Quoi qu'il en soit, avec toute cette histoire, elle espérait qu'il avait plus l'envie de la ramener vivante au QG, surtout après tout ce qu'elle avait fait pour lui.

En voyant que Liberté chantait alors que Léo réglait ses comptes avec les pirates qui ne valaient plus rien sans cette malédiction, ce dernier était assez agacé par ce la et dit : "Ce n'est pas le moment pour faire de l'opéra".

Il finit le massacre des pirates et Liberté dit qu'ils ont agit comme des idiots car ils auraient pu se fait livrer par la Marine et non se faire tuer et il n'y aurait pas eu de morts. Léo dit alors : "Ils ont eu ce qu'ils méritaient. Personnellement, je ne regrette pas de les avoir tué. Ils étaient prêt à le faire avec moi après tout".

Elle propose à ce qu'ils détruisent les pièces pour que personne n'ait la malédiction, Léo répond alors : "Non, c'est pas une bonne idée qu'on les touche, on sait pas quels sont les limites de cette malédiction. Il manquerait plus qu'on soit maudits aussi. Le mieux est de partir".

Il se dirige alors vers la sortie de la grotte.

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Léo lui avait dit que ce n'était pas le moment de faire de l'opéra. Le pauvre, s'il savait que l'empêcher de chanter était quasi impossible, il n'aurait pas gaspillé sa salive pour rien, en tout cas, ce qui était sûr c'est qu'elle ne l'avait pas écouté et avait chanté jusqu'à ce que sa chanson soit terminée. Après le massacre, il dit qu'il n'avait rien à regretter, car ils n'avaient pas eût de sentiments pour faire de même.

"Hum... Ton raisonnement tient la route"

Même si elle n'avait pas aimé le massacre, en voyant la chose d'un autre angle, elle pensait qu'il avait raison. Il lui dit ensuite qu'il ne valait mieux pas toucher le coffre, de peur d'être maudit à leur tour. Pensant qu'une fois de plus, il devait avoir raison, elle hocha la tête, puis le suivit lorsqu'il ce mit à sortir de la grotte. une fois à l'air libre, la miss ce rendit compte que les talons qu'elle portait commençaient à être maîtrisés avec une facilité déconcertante.

"Bon bah maintenant qu'ont a plus rien à faire ici, on peut retourner sur l'île où l'ont étaient et souffler un peu. En tout cas, c'était une sacrée aventure qu'ont a vécue tout les deux ! ça nous aura permit de ce connaître, pis même si t'es pas super sociable, je t'aime bien. J'espère qu'après tout ce qu'ont aura vécu je pourrais compter sur toi si jamais j'ai un problème, parce que je t'ai quand même évité la mort. Bon allez moi faut que je me change, la robe c'est sympa, mais je suis mieux dans mes habits !"

Durant le chemin du retour qui menait jusqu'au navire, elle lui dit ce qu'elle pensait avec une sincérité et une naïveté plutôt déconcertante. Une fois dans le bateau, la miss alla jusque dans la cabine du capitaine, car c'était tout de même là-bas qu'elle avait laissé ses vieux vêtements. Une fois à l'intérieur, elle ce changea, après avoir fermé la porte pour être tranquille durant le court laps de temps où elle troquait ses habits de princesses pour redevenir une fille tout à fait ordinaire.

Quand ils ont finit de sortir de la grotte, Liberté se met à commenter cette histoire, disant à Léo que ça leur a permis de se connaître et qu'elle l'aime bien et qu'elle espère compter sur lui quand elle aura des problèmes, ce dernier reste impassible et dit lui répond : "Te fais pas d'illusion, on ne serait jamais amis et ce qu'il s'est n'y change rien. Cependant, je reste reconnaissant envers toi et je compte bien te suivre jusqu'à ce que ma dette soit payée".

Puis, elle se rend au bateau des pirates pour se changer, n'étant pas à l'aise dans sa robe, Léo, lui, s'adosse à un rocher, les bras croisé en l'attendant.

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Quand il lui avait lâché qu'ils ne seraient jamais amis, Liberté ne l'avait pas montré, mais ce qu'il lui avait dit lui avait fait beaucoup de mal. Ne comprenant pas pourquoi il agissait comme cela, lorsqu'elle fût changée, elle s'assit sur une malle et ce mit à réfléchir. Lorsqu'elle eût enfin une idée, elle sorti de l'embarcation. Elle s'approcha de Léo et posa ses mains sur ses épaules.

"Alors comme ça tu vas me suivre comme mon ombre jusqu'à ce que tu ailles payé ta dette ? C'est cool, mais j'espère que tu vas pas le regretter, parce qu'ont va faire longtemps équipe toi et moi !

Elle rigola un peu, puis le relâcha, s'écartant un peu, lui montrant qu'elle n'avait pas d'arrières-pensées, car normalement, une véritable pirate en aurait profité ou une fille avec des idées tordues l'aurait embrassé, plus si affinité. Ayant l'air soudain triste, elle fouilla dans ses poches et déplia une affiche qu'elle montra au jeune homme.

"C'est à cause de ça que tu m'aimes pas, hein ? C'est pas très sympa de te fier juste à une affiche, surtout que je l'ai pas méritée. Je ne suis pas une criminelle ! Je suis fichée juste parce qu'Akainu, mon père adoptif veut me récupérer, car il a pas aimé que je ne veuille pas suivre ses idéaux. C'est drôle, rien qu'en y pensant, j'aurais pu être ta supérieur, mais je veux pas être de la marine ! C'est pas en enfermant les gens que le monde devient meilleur ! Je ne fais également pas partie des pirates, mais je n'ai rien contre eux, je ne fais partie d'aucuns groupes, je suis libre, ainsi mon nom est porté fierement, alors laisse un peu ton jugement de côté et reprenant tout à zéro, tu le veux bien ?"

En faisant son disourt, la miss avait peu à peu relevé la tête, le fixant avec un regard flamboyant, lui montrant bien qu'elel était à fond dans son délir. Bon par contre, elle disait ne pas être une pirate, mais si elle ce faisait des amis dans la piraterie et qu'ils lui demanderaient de rejoindre leur équipage, elle ne dirait pas non, surtout s'ils lui permettaient de vivre ses re^ves et de jouer tous les jorus de la musique. Après avoir terminé et lui avoir fait comprendre malgré ce qu'il pensait, qu'elle voulait toujours qu'ils s'entendent bien, elle fini par lui tendre une main, espérant qu'il la prendrait.

» Garami armurière très particulière