Viens là ma petite, je vais t'apprendre ce qu'est la vie

Le docteur, ce demandait ce qu'il allait faire pour la soigner sans qu'elle ne lui arrache un membre de son corps, lorsque soudain Kalita fit son apparition dans la salle, sans prendre la peine de frapper, ce qui eût l'air de faire sursauter le médecin.

- Kalita ! Bon sang ! Quand on entre dans une chambre de repos, on fait doucement ! Tu veux me la tuer ou quoi espèce d'inconsciente ?

S'exclama le docteur, l'air très mécontent de l'arrivée de la fille de Lazzare. Cette dernière s'approcha de Liberté en lui demandant si elle l'avait mordu, ce à quoi il hocha négativement la tête, même s'il pensait qu'elle en aurait été capable.

- Cela valait mieux pour sa santé, ainsi que la notre. Je te prierais de ne pas trop t'approcher.

Trop tard ! Malgré les recommandations du docteur, Kalita était vraiment très proche de Liberté, ce qui eût l'air de faire paniquer l'homme, faisant ainsi perler son front de sueur, qu'il essuya du revers de la main le plus discrètement possible. Liberté, lorsqu'elle ouvrit les yeux, émit un petit cri effrayé, ne s'attendant pas à voir un visage féminin aussi proche du sien. Alors que la peur l'envahissait, quand elle remarquait le fait qu'elle était attachée, une idée lui traversa l'esprit.

[color=lightpink]"Mais... C'est pas cette vision que j'avais du beau prince qui réveil sa douce avec un baisé ! Je vous somme de me relâchez ! D'après les lois appliquées par le Gouvernement, séquestrer quelqu'un est condamnable à plusieurs jours de prisons avec une amande à payer ! Vous avez pas intérêt à faire vos petits malins !"

- On fait quoi ? On la bâillonne ?

"Hey, vous n'avez pas le droit !"

S'énervant intérieurement, Liberté tentait de rester calme, car elle en avait besoin pour les négocier, d'ailleurs, les leçons de son père adoptif lui revinrent en mémoire, alors elle en cita une pour tenter de les intimider. Ce mettant à rire nerveusement, le docteur fit une proposition à Kalita, qui n'avait pas l'air de plaire à la principale intéressée.

En remarquant le regard effrayé du docteur, peu de temps après que Kalita ait terminé de parler, Liberté eût un regard surprit. Qu'est-ce qu'elle voulait dire ? Lorsque la porte s'ouvrit, Liberté sursauta, car elle ne s'y attendait pas. C'est en voyant la façon dont il serrait l'épaule de la demoiselle, qu'elle ce mit à songer qu'il pouvait avoir raison sur le fait que Lazzare pouvait être aussi dangereux qu'un Amiral. Alors qu'il s'approchait, la jeune chanteuse ce mit à trembler.

"Me... Me touchez pas !"

Lui dit la demoiselle avec un ton de voix qui montrait bien qu'elle avait peur de lui à cause des paroles de Kalita qui continuaient de tourner en boucle dnas sa te^te. Tout ce qu'il fit, fût d'enlever ses attaches, ce qui fait qu'elle pouvait à nouveau bouger, ce qui fait qu'elle releva son corps, ce trouvant à présent en position assise. Elle l'écouta parler, puis une fois qu'il eût terminé, elle prit son élan, sauta de son lit de fortune et utilisa le Soru pour fuir.

- Vous croyez vraiment que je l'avais attachée pour des prunes ? Elel a déjà essayé de me faire le coup, tout à l'heure quand elle s'est réveillée ! Elle a peut-être l'air d'aller mieux, mais il lui faut encore du repos ! Va falloir que vous me rameniez votre moinea ici, si vous voulez pouvoir la relâcher en forme dans la nature.

Le docteur essayait de s'expliquer, tout en ayant l'air agacé et à la fois, un peu anxieux de la réaction de Lazzare. Après avoir comparé Liberté à un oiseau, il espérait que son suérieur comprendrait l'importance de rattraper la jeune fille. Cette dernière, continuait de courir en ayant les larmes aux yeux, étant triste, car elle avait l'impression qu'il lui avait menti sur sa véritable nature alors qu'elle lui faisait confiance. A force de courir, elle fini par arriver sur le pont, semant tout le monde qui voulait la retenir et lorsqu'ele vit la grande étendue d'eau devant elle, la pauvre eût l'air d'avoir la peur de sa vie. Elle scrutait dans tous les sens, aucun points de repères et aucun échappatoires, elle était coincée !

"Oh non ! Ce n'est pas possible ! Dans quoi je me suis embarquée ? Où est-ce qu'on va ? Je ne reconnais rien !"

S'exclama Liberté, ne pouvant empêcher ses pensées de sortir de sa bouche. Ce mettant alors à longer la rambarde, elle senti à nouveau les larmes lui venir aux yeux, car les paroles de Kalita revenaient tourner dans sa tête, tandis qu'elles s'associaient aux dernières paroles prononcées par Lazzare, ce qui lui faisait extrêmement mal, car elle l'aimait beaucoup et elle avait l'impression de s'être faite trahir, mais peut-être avait-elle prit trop à coeur les paroles de cette fille jalouse ? Sûrement et elle espérait bien la revoir pour pouvoir en savoir plus sur les agissements de Lazzare.

Lorsque Kalita ce mit à lui adresser la parole, Liberté sursauta, ne s'attendant pas à la revoir. Elel ce retourna, puis hocha légèrement la tête en signe d'approbation, en ayant un faible sourire.

"Non, c'est pas ça, j'aime bien quand il me parle, mais..."

Liberté baissa un petit peu le regard, semblant être encore gênée, cpendant, elle n'eût pas le temps d'en dire davantage, car Kalita l'interrompit promptement en lui disant qu'elle ne comprenait pas pourquoi Lazzare s'intéressait à elle.

"Je ne sais pas... Je... Je crois que je l'apprécie aussi, mais je n'en suis plus trop sûre avec ce qu'il vient de ce passer"

Avoua la jeune chanteuse en étant mal à l'aise. C'est alors que Kalita lui souhaita la bienvenue en lui disant brièvement ce qu'éait le but de cet équipage assez spécial. En l'écoutant parler, Liberté ne su pas trop quoi en penser.

"Je ne sais pas ce que je fais là. Moi, ce que je veux, c'est plutôt unir tout le monde en faisant en sorte que plus personne ne soit malheuruex et esclave de qui que ce soit, que tout le monde pusise vivre librement à sa guise, je ne veux pas détruire, je veux reconstruire et sécher toutes les larmes du monde gra^ce à ma voix et à ma musique !"

Assura la demoiselle d'un ton des plus sérieux, semblant ne pas prendre ce qu'elle disait à la légère. C'est par la suite, qu'elle ce fit prendre la main et qu'elle ce fit emmener en balade pour visiter le navire. Elle écouta tout ce que disait Kalita, avant d'émettre un rire, qu'elle tenta de dissimuler en mettant sa main sur sa bouche, car elle ne pensait pas que c'était de bon goût, cependant, la manière dont la miss présentait les lieux ne pouvait que la faire rire à cause du fait qu'elle ne prenait pas de pincettes et disait ce qu'elle pensait comme cela lui venait en tête. Lâchant as bouche, Liberté s'adressa à Kalita.

"Franchement, ça ne me tente pas de faire une réunion, mes doigts me démangeraient trop et ils m'en voudraient de jouer de la musique durant des conversations aussi sérieuses. Par contre, je pense que c'est bien de s'instruire. Quand on a une grande connaissance qui nous permet d'avoir un esprit pus ouvert à ce qui nous entoure. J'ai encore beaucoup de choses à apprendre et si peu de temps à dispositions, car mon... vieux... peut me retrouver à tout instant... Enfin... Il est bien ce navire"[/color]

Disant ce qu'elle pensait également, elle fini par s'exprimer comme Kalita, juste pour essayer et ce rapprocher un petit peu de sa personne. Voilà pourquoi elle était intéressante, c'était parce qu'elle était très sociable et était tout le temps en soif d'apprentissage, ainsi que d enouveau défis à relever pour prouver qu'elel pouvait les réaliser, ce qui était des qualités que son père adoptif n'aimait pas trop, car il aurait préféré qu'ele soit une marine dure, fermée d'esprit pour ne pas ce faire arnaquer par le premier venu et à cheval sur les lois, un peu comme lui, sauf que le problème, c'est qu'elle n'était pas comme lui, voilà pourquoi elle avait préféré s'en aller en connaissant les risques, si jamais elle ce faisait attraper.
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HS : Dans le fond, Kalita a pas tort de la traiter de princesse Disney, car avec le recul, elle pourrait presque en être un x)

Liberté ne comprenait pas vraiment ce qu'elle voulait dire par ces paroles. Est-ce qu'elle ce moquait d'elle ou bien c'était une constatation faites à l'arrache à cause d'un jugement trop hâtif ? La jeune chanteuse avait de la peine à comprendre.

"Euh... J'ai jamais chanté pour des oiseaux, mais je suis certaine qu'ils apprécieraient et pis, je mémerveille que si je connais pas, mais je suis contente quand j'en vois, c'est rare d'en voir là où j'étais"

Lui répondit avec innocence la miss, tout en étant très sincère et en semblant beaucoup apprécier l'idée de Kalita, même si ce n'était que du sarcasme qu'elle n'avait pas compris. En tout cas, sans le faire exprès, elle allait passer pour une fille désespérante. Par la suite, quand elle fit rire la miss, elle ne le prit pas mal, car au moins, son idée pour essayer de briser la glace semblait fonctionner. Elle lui fit un compliment, même si elle ce demandait, une fois de plus, comment elle devait prendre ce qu'elle venait de dire.

"Je veux bien m'entraîner, mais non, non, non je peux pas lui dire une chose pareille il me fait trop peur ! En plus, je peux signer mon arrêt de mort le jour où il me retrouve, alors je crois pas trop que j'aurais mon mot à dire !"

Rien que d'y penser, à voir sa tête, c'était limite si elle n'était pas sur le point de ce mettre en boule en pls dans un trou de souris, un détail qui avait tout de même de quoi ce poser des questions sur les méthodes d'éducations de l'amiral.  Toutefois, elle retrouva très vite ses esprits lorsque Kalita lui donna des conseils pour éviter de perdre la vie.

"J'ai été entraînée au combat, je sais me défendre, c'est juste que je n'étais pas prête. A présent, je le suis et je ferais plus attention la prochaine fois. Je préfère mille fois mourir sur scène plutôt que de devoir me retenir et opter pour une autre vie. Je connais que trop bien les mots que tu utilise, c'est bien pour cette raison que je veux réparer le coeur de ceux qui ont connu la même chose ou qui veulent simplement oublier leurs tracas durant l'espace d'une soirée"

Liberté parlait très sérieusement à Kalita, semblant vivre le sujet à travers son regard. En faites, elle pouvait passer pour une gamine innocente et naïve, mais quand on la connaissait mieux, on pouvait plus la prendre au sérieux, car elle avait la maturité que la vie lui avait forgé à cause de tout ce qui lui était arrivé depuis sa naissance, de plus, elle savait très bien ce qu'elle voulait faire et personne ne pourrait la faire changer d'avis.

"Dit-moi... Pourquoi vouloir redonner de l'espoir aux gens c'est mal ? On dirait que c'est interdit de s'investir pour de nobles causes. J'ai pu apprendre, grâce à Akainu qu'il y avait un groupe appelé les Révolutionnaires, qui ce battent justement pour la justice et encore une fois, la marine est contre et veulent tous les arrêter alors qu'ils veulent juste sauver des vies, pourtant, ils sont toujorus en mouvements, alors je vois pas pourquoi moi je pourrais pas donner du bonheur  à autrui, ça me semble impensable de ne pas y arriver, il me faute juste de la volonté et de l'expérience, c'est pas grand chose pour améliorer mes spectacles"

Liberté parlait normalement, sauf qu'elle s'était un petit peu emballée en disant ce qu'elle pensait, montrant vraiment que son but était très important pour elle et qu'elle ferait tout pour l'ateindre. Elle ce calma en repensant à la soirée qu'elle avait passé avec Lazzare en ayant des étoiles dans les yeux.

"Hier, j'ai embelli la soirée de beaucoup de personnes. Tu aurais dû voir ça, ils étaient tellement heureux ! Je leur ais tout balancé ce que j'avais dans le ventre et il y avait des bravos et des applaudissements partout sur l'île, c'était magnifique ! Durant un soir, tout le monde s'est rassemblé pour voir des feux d'artifices, il n'y avait pas de conflits, pas de larmes, pas de blessés... La seule odeur de poudre qu'il y avait, c'était lorsque les explosifs étaient lancés, les seuls cris étaient pour les belles lumières... J'ai mélangé mes deux passions et je me suis donnée à fond et rien que pour ça, ça me donne envie de continuer à rassembler mes efforts. J'aime les gens, j'aime les voir heureux et je veux en faire un maximum avant qu'on me rattrape"

Liberté tentait d'expliquer sa passion à Kalita, mais elle était peut-être un peu trop passionnée, car elle lui disait tout son ressenti sans lui demander si cela ne l'ennuyait pas qu'elle en parle. En tout cas, avec son grand sourire et le fait d'avoir un peu agité ses mains pour mimer les explosifs devait peut-être la faire passer pour une tarée, mais Liberté s'en fichait complètement.

HS : Il est trop beau notre rp !

Liberté sursauta lorsqu'il la mit en garde en parlant avec un ton assez dur qui lui rappelait celui de son père, ce qui la fit ce figer sur place quelques minutes, avant d'avoir un regard interrogateur lorsqu'il mit un genoux à terre. Il allait lui fair eune déclaration importante ? Liberté ne comprenait aps. Il lui fit alors tout un discourt, ce qui lui fit mal à la tête, car d'un côté elle avait les paroles de Lazzare qui raisonnaient, d'un autre c'était celles de Kalita et de l'autres, c'était celles de son père et en mélangeant ce tout à ses propores pensées, elle avait de quoi ne plus trop savoir où elle en était, mais à force d'écouter les propos de Lazzare, ces propoes penseés reprirent les dessus et tout redevint clair dans sa tête. Si elle. Elle voulait donner de l'espoir aux gens, elle ne voulait rien faire d'autre que cela, car elle trouvait que c'était la plus belle chose au monde qu'elle pouvait apporter à tout le monde.

"Merci, maintenant, je sais ce que je suis sensée faire ! Vos conseils étaient vraiment très instructifs, je me sens mieux ! Je veux vraiment être le porte-parole de la liberté, de la paix et de l'espoir, c'es ce qui me tient le plus à coeur"

C'est ensuite que Kalit vint vers elle pour s'excuser, ce qui fit avoir un grand sourire aux lèvres à la jeune fille, qui ne ce priva pas de lui faire un câlin, car cela lui faisait vraiment trop plaisir qu'elle demande son pardon.

"Je te pardonne ! Ce n'est pas grave et en plus, nous pouvons très bien vivre en ayant toutes deux des idéaux différents, tant qu'on arrive à être amies et arriver au même but, c'est ce qui compte le plus"

Liberté avait à présent le sourire aux lèvres et rigolait en ce faisait embrquer par Kalita, semblant avoir retrouvé sa joie qui donnait de la bonne humeur à bon nombres de gens qu'elle croisait. Une fois à la salle de réception, la miss eût l'air impressionnée.

"C'est quand même dingue comme c'est grand ! Il y a combien de membres dans votre équipage ?"

Demanda la demoiselle en ne ce souvenant plus si elle en avait déjà parlé ou non, car il lui semblait que la salle était bien trop grande pour le peu de personne qu'elle avait croisées tout au long de sa balade dans le navire. En marchant, elle ce remit à penser à ce qu'avait dit Lazzare, puis ce dit qu'en effet, sans lui ou kalita, elle n'allait pas aller bien loin, il fallait qu'elle s'entoure de plusieurs personnes de confiance pour accèder à son rêve, ce qui n'allait pas être simple.

[HS : Complètement d'accord ^^ Tient a ton avis, de qui je me suis inspirer pour les répliques de Kalifa dans se post ? C'est obliger que sa t'y face pensée ^^ ]

Liberté ne pu s'empêcher de sourire en entendant les paroles de Kalita. S'imaginant déjà leurs futures aventures, ce qui la fit un peu rire. Par contre, quand elle dit qu'elle ne voulait pas que Lazare l'oblige à chanter, Liberté eut l'air intriguée.

"Bah pourquoi ? Bon c'est p'être pas ton truc, mais tu dois sûrement avoir une belle voix, non ?"

Suite à sa question, avec un peu de patience, elle entendit une réponse à une autre. Liberté était impressionnée par le nombre de membres étant engagés par cet homme merveilleux qu'était ce capitaine. Toutefois, en entendant les paroles de Kalita, Liberté en fût légèrement attristée.

"Mais, il n'y a personne sur ce navire qui a ton âge ou avec qui tu peux bien t'entendre ? ça doit pas être drôle tous les jours pour toi d'être toute seule. Il faudrait que ton père engage quelqu'un avec qui tu t'entendes, comme ça, tu t'ennuieras plus"

Elle fit un sourire des plus angéliques à l'attention de Kalita, sans avoir d'arrières-pensées, ne pensant m^me pas à sa propre personne. Par la suite, elle scruta la taille de la salle de réception, encore une fois, avant d'avoir une idée qui lui traversa l'esprit.

"Sinon, il faut organiser des bals ! D'après ce que j'ai entendu à ce sujet, A permet de rapprocher les gens et de créer des liens. Enfin perso, je n'y ais jamais assisté, mais ça doit être cool de s'amuser toute la nuit et de danser sur n'importe quelles musiques jusqu'à ce que la fatigue nous emporte !"

Sans le faire exprès, Liberté avait à nouveau fait sa princesse Disney, semblant un peu trop fleur bleu parfois, mais comme on dit, c'est beau de rêver. En y songeant, elle rougit un petit peu, car elle s'était imaginée danser avec un prince charmant jusqu'à ce que minuit sonne et qu'elle soit obligée de rentrer avant que le rêve ne ce brise. Enfin bref, étatn revenue sur terre, elle reprit la parole.

"Sinon, pourquoi vous êtes jamasi au complet ? Ils font quoi vos hommes si c'est ps trop indiscret ?

Demanda la demoiselle d'un petit air innocent, semblant vouloir savoir un peu plus de choses sur l'équipage de Lazzare. Son estomac fini par ce réveiller, ce qui fait qu'elle mit sa main dessus, pour essayer de le calmer, tout en étant un peu gênée.

HS : Oui, j'ai reconnu, mais son nom veut pas revenir dans ma tête, c'est agaçant ^^

Liberté ce mit à rigoler doucement en entendant les propos de sa nouvelle amie. Lui disant ensuite qu'elle était sa besta, la miss ce mit à penser que c'était une sorte de meilleure amie, ce qui lui faisait très chaud au coeur.

"Peut-être qu'un garçon saura être comme tu le souhaite avec toi, et puis pas toutes les filles sont comem tu le penses, mais ce n'est pas grave, c'est comme les garçons, il faut savoir les trouver., mais je pense que pour l'instant, tu ne trouveras pas mieux que moi, ahah... Non je rigole bien sûr !"

Riant un petit peu, Liberté avait fait exprès de faire de l'auto-compliment, même si ce vanter n'était pas dans ses habitudes. Par la suite, Lazzare proposa une très bonne idée et Liberté était toute contente de pouvoir tester en direct les capacités de Kalita, mais malheureusement, cette dernière refusa, ce que son père trouvait dommage.

"Oh non, ce n'est pas grave du tout !"

Ne voulant pas d'histoires, elle n'eut pas d'objection à ce que sa nouvelle amie ne soit pas d'accord, cependant, cette dernière, prise au vif, lui attrapa les mains et lui dit que si elle l'aidait, elle répondrait à toutes ces questions sur l'équipage.

"Oh... Euh... D'accord ! Je vais faire de mon mieux pour ne pas te faire trop mal aux pieds !"


Sur le sable fin de l'île, quatre enfants regardaient les étoiles scintiller dans un ciel dégagé et sans nuages, leur permettant ainsi d'admirer la lune.

- On ne devraient pas être ici, tu le sais très bien.

- Oui, mais c'est beau de voir les étoiles avec vous, ça vaut bien toutes les punitions qu'ils pourraient nous infliger.

- Si on étaient des adultes, on seraient rentrés d'un bal, où tu aurais dansé toute la nuit à mes côtés, avec une blle robe de satin rouge !

"Oui, mais je sais pas danser Espoir, tout ce que je sais faire, c'est me battre, chanter et travailler à la mine, je serais jamais une grande dame en me comportant comme un garçon ihih !"

- Mais c'est pas pour ça que tu peux pas devenir une grande dame ! Papa à dit un jour, qu'on s'en sortiraient tous et qu'on pourraient enfin vivre nos rêves.

"Dans ce cas, si Amitié le dit, c'est que je peux croire en mes rêves. Je veux devenir une grande chanteuse et une grande musicienne et je vous ferais tous danser sur des airs populaires que vous me redemanderez à tous mes concerts ahahahah !"

- Si tu deviens célèbre, je pourrais sortir avec toi.

- Ah non Courage, j'avais déjà dit prim's !

- S'il vous plait, ne vous battez pas, j'existe moi aussi et puis, l'importance, c'est qu'on reste ami pour la vie !

Liberté croyant fort aux paroles d'Amitié, qui avait pratiquement toujours raison, scruta la lune en ce promettant d'arriver à libérer tous ses amis de l'oppression de ces deux tyrans pour pouvoir enfin faire ce qui leur tenait le plsu à coeur


Liberté, au début de la danse, avait été très maladroite, mais au final, elle semblait bien ce débrouiller, et avait même fini par fermer les yeux quelques minutes, avant de ce mettre à sourire, tout en les ouvrant à nouveau en ce disant qu'au final, c'était elle qui dansait à leur place, tout en espérant qu'ils aient bien réussi leur vie de leur côté. Quelques minutes après la danse, le médecin arriva en semblant être tout essoufflé, comme s'il avait cherché la demoiselle partout dans le navire.

- Oh non ! Mademoiselle qu'est-ce que vous faites ? Ce n'est pas du tout raisonnable ! Vos blessures risques de s'ouvrirent à nouveau ! S'il vous plait, revenez au lit, vous ne risquerez rien, je veux juste que vous, vous reposiez, vous en avez véritablement besoin ! S'il vous plait, réfléchissez aux conséquences de ce qu'il pourrait arriver si jamais vous perdez à nouveau du sang ? C'est vraiment dangereux, venez avec moi je vous prie !

"Ok, mais du coup, je bouffe quand moi ? J'ai la dalle et si je me vide de mes forces en ne mangeant rien de la soirée, je pourrais m'évanouir et être encore plus mal en point que je ne susi sensée l'être !"

Le médecin, semblant ce faire beaucoup de soucis pour la jeune fille, semblait vouloir trouver tous les prétextes du monde pour la faire revenir au lit, mais ce qu'il n'avait pas prévu, c'était que la demoiselle trouverait une réplique incroyable, qui le laissa au dépourvu, car il n'avait pas prévu qu'elle lui dirait cela. Semblant être bien emprunté, la miss ce mit à sourire, avant de rigoler un petit peu, étant amusée de voir la têt que faisait le docteur de l'équipage.

HS : C'est dommage, car tu as tapé dans le mille, c'est exactement ce genre de chansons que j'aime beaucoup ! =)

Liberté étiat bien d'accord, elle pensait ne rien risquer en faisant quelqeus petits pas de danses, enfin elle le pensait, innocente comme elle l'était, elle ne pensait pas à mal. Cependant, en voyant Kalita ce mettre devant elle en lui prenant le poignet, comme pour l'empêcher de partir, la demoiselle ce senti alors rassurée, tandis que le médecin haussait un sourcil.

- Tout va bien Kalita ? Je crois que je vais devoir contrôler très bientôt ta température.

Dit-il en ce demandant si la jeune femme allait bien puisque d'habitude elle n'agissait pas de la sorte envers les jeunes de son âge qui étaient parfois présent à bord de ce navire. Ensuite, quand Kaita dit ce qu'elle pensait, Liberté mit une main devant sa bouche pour s'empêcher de rire, car la façon dont elle venait de dire les choses venait de l'amuser, tandis que le médecin ce frottait le menton en ayant l'air songeur face à ce petit problème qui lui faisait face.

- Hm, bon, bon dans ce cas, tu as raison, il faut qu'elle reprenne des forces. Tient d'ailleurs, il est vrai que tu as une taille très fine, je pense que cela ne te fera pas de mal de manger un peu.

Liberté aviat envie de lui dire qu'il n'avait pas à s'inquiéter et que c'était tout à fait normal qu'elle ait cette taille aussi fine après tout ce qu'elle avait enduré dans sa vie, masi préféra ce taire pour éviter d'aggraver son cas. C'est ensuite que Lazzare dit que le repas allait bientôt être servit, ce qui réjouit la jeune chanteuse.

"Oh super ! C'est trop cool !!!"

S'exclama très vivement et joyeusement l'ingénue, qui semblait vraiment mourir de faim à cet instant. Ce mettant au milieu de Lazzare et Kalita, Liberté fut quelque peu mal à l'aise en voyant que le médecin s'asseyait également à leur table, mais ce mit à penser que cela devait être normal, alors elle prit sur elle pour faire comme si de rien n'était. Tournant son regard vers les couverts, elle pu voir qu'ils étaient basiques, mais assez étincelants pour qu'ils donnent envie d'être utilisés. Toutefois, ce qui eut l'air de la ravir fut de voir la serviette pliée en une sorte de fleur, comme quoi, les membres de cet équipage savaient bien accueillir leurs invités.

"Comme c'est ravissant ! Oh on ce croirait au... Euh... restaurant, c'est bien ça ? En tout cas, c'est vraiment charmant comme la table est préparée. Je suis sûre que le cuisinier va ce surpasser, comme il a l'habitude de le faire, enfin... Je n'en doute absolument pas !"

Ne ce rendant pas compte que son blabla prenait de la place, elle disait ce qu'elle pensait, n'hésitant pas à dire du bien de ce qu'elle avait devant les yeux. Par contre, ayant déjà entendu que lorsqu'elle disait quelque chose de mal sur la nourriture et qu'on la reprennait, on lui disait souvent qu'elle n'était pas au restaurant, ce dont elle avait très bien comprit la signification de cette phrase à force qu'on la lui dise. Cependant, au bout de quelques minutes, elle pu voir le médecin noter quelque chose sur son carnet, ce qui la rendit dubitative, avant de remarquer son regard intéressé.

"Vous faites quoi là ? On dirait que vous êtes en train de m'étudier, arrêtz s'il vous plait, c'est très gênant"

- Excusez-moi, c'est votre discourt, il m'a passionné, je ne voulais pas l'oublier.

"Ah ? Cool c'est trop bien ! Je vais continuer alors à dire ce que je pense !"

Etant plus que surprise par les dires du médecin, son regard changea d'expression, semblant être à nouveau toute joyeuse, n'ayant vraiment rien comprit, car l'homme venait de lui raconter n'importe quoi et elle n'avait même pas remarqué et encore moins son petit sourire au coin de ses lèvres, surtout lorsqu'elle lui répondit d'un ton naïf, ce qui eut l'air de l'amuser.

Dès que la nourriture arriva, Liberté s'accrocha la serviette dans son décolleté pour éviter de ce salir, puis après avoir répondu à Lzarre, elel commença à manger doucement, mais sûrement, en ce coupant des petits botus de viandes, ce qui donnait l'impression de voir un oiseau manger, ce qui pourrait être amusant à voir, car elle semblait en plus tèrs joyeuse et c'était limite si elle n'allait aps ce mettre à siffler pour exprimer son bonheur de manger un bon repas.

Soudainement, l'ambiance devint plus sombre lorsque kalita posa une question à son père. Elle ne le vit pas e figer, car elle était en train de manger, mais en entendant le silence pesant, elle releva la tête, l'air interrogateur, ce demandant ce qu'il ce pasait, tout en fouillant dans ses souvenirs, car cette lettre ne lui était pas inconnue. En écoutant la réponse de Lazzare, elle continua de réfléchir, avant de prendre la parole.

[color=lightpink]"Oh, c'est drôle, c'est la même lettre que le prénom de celui qui a entraîné Akainu et ses deux amis ! Il m'en a parlé, une fois, je ne sais plus pourquoi, mais c'est pas possible que ça soit la même personne, il doit être mort depuis ce temps le vieux crouton"[/colro]

Elle ce mit à sourire, après avoir dit ces mtos avec un air gêné, puis ria même un petit peu, ce disant que c'était impossible que cela soit la même personne qui soit de mèche avec eux. Ce remettant à manger un petit peu, elle ne se senti tout d'un cou pas très bien, et ce leva en posant la serviette sur la table, qu'elle plia bien.

"Hm, si quelqu'un peu m'indiquer où sont les wc, ça serait bien gentil"

Peu de temps après avoir posé sa question, le médecin lui donna une indication très précise et après l'avoir remercié, elle utilisa une technique du Rokushiki, le Soru, pour aller plus vite. Une fois dans les wc, elel eut à peine le temps de mettre sa tête vers la lunette, qu'elle vomit à l'intérieur. Ayant alors des sueurs froides en ne ce sentant pas très bien, la miss resta quelques minutes agenouillée devant le trône en attendant que cela passe, ne sachant pas très bien ce qu'il lui arrivait. Après avoir tout nettoyé, elle passa ensuite un long moment sur le trône, ce qui la gênait affreusement, car même si elle ne comprenait pas totu, elle savait très bien que cela faisait une éternité que ce genre de choses ne lui était plus arrivées. Dès qu'elle fut enfin revenue, au moins trois quart d'heure s'étaient écoulés et presque tout le monde avait sûrement terminé de mange.r

"Excusez-moi, je crois que j'ai un peu trop forcé sur le repas, je ne sais pas ce que j'ai, mais je n'ai plsu trop faim, mais ce que j'ai mangé était exceleltn"

Elle dit ces mots en s'asseyant à nouveau à table, et en écoutant ses proos, il y avait de quoi rire, car elel n'avait pas mangé grand chose. Le médecin, en la voyant toute pâle, lui prit directement sa tension en prenant son pouls, espérant qu'elle n'avait rien de grave.

Dès qu'elle revint, Lazzare prit les choses en main, surtout en voyant qu'elle n'allait pas très bien. Il lui dit qu'il ferait passer ses remerciements au cuisinier, puis lui dit qu'il était temps de ce reposer avant qu'elel ne s'écroule.

"Oui, vous avez raison"

Répliqua la miss en semblant trop mal en point pour refuser. Par contre, quand il la prit par la main pour la redresser et quand il la porta comme une princesse, elle fut surprise. Rougissant un petit peu, elle fit un au revoir avec sa main en direction de Kalita. Une fois sur le lit, Lazzare lui donna une explication en lui demandant si elle était d'accord.

"Ok..."

Dit Liberté, avant de s'écrouler de fatiguer, la tête la première sur le coussin du ld'infirmerie. En voyant cela, le médecin ne savait pas s'il devait rire ou être inquiet ou gêné, mais en l'entendant ronfler faiblement, il ce rendit compte qu'il s n'avaient pas à craindre pour sa vie.

- Oh, elle était bien plus fatiguée qu'elle n'en avait l'air. Cette fille cache vraiment bien son jeu, lle est fascinante, vous ne trouvez aps ?

Demanda le médecin à Lazzare, tout en profitant qu'elle soit bien endormie pour vérifier si elle allait bien, ce qui était le cas. La jeune fit dormit de nombreuses heures, avant de ce réveiller, vers 16h de l'après-midi, le lendemain matin à cause d'un cauchemar. S'étant réveillée en criant, la miss était toute transpirante et tremblante.

- On a fait un mauvais rêve ?

Demanda le médecin, qui venait tout juste d'entrer dans la pièce avec un verre d'eau, qu'il déposa sur un plateau, avec un ou deux comprimés, semblant dissimuler un sourire, comme si cela l'amusait de jouer le rôle du père rassurant. La demoiselle, le fixa, puis détourna la tête.

"Même si je vous racontasi, vous ne pourriez pas comprendre..."

- En effet, je suis médecin, pas spécialiste dans la signification des rêves, mais en parler, ça fait toujours du bien.

"C'est le passé, ça vous regarde pas"

- Ok, c'est comme vous voulez. En attendant, votre blessure semble s'être bien refermée, sauf que j'aimerais que vous avaliez ceci avant de faire quoi que ce soit d'autre.

"D'accord.... J'ai dormis combien d'heures ?"

- Assez pour que votre blessure ne soit plsu un danger.

Alors que le médecin insistait, Liberté semblait de plus en plus réticente à en parler, comme si elle faisait un blocage. Tout en prenant les médicaments que lui donnait le médecin, elle ce mit à ce demander jusqu'à quand elle rêverait encore de ces affreuses journées à passer sur cette île maudite en compagnie de ces deux tirants de colosses dont elle ne pourrait jamais oublier leur visage.

Le médecin hocha la tête, semblant être d'acocrd avec Lazzare, puis il hocha à nouveau la te^te, semblant avoir bien comprit ses directives. Lorsque le lendemain, sa fille arriva en trombe pour savoir ce qu'avait Liberté, le médecin haussa les épaules.

Je n'ai rien fait. Elle a juste fait un cauchemar, mais elle refuse de me dire ce qu'il ce passe, je ne susi peut-être pas assez digne... Enfin bref, je vais aller prévenir votre père, comme il m'a dit de le faire

Il s'en alla, après avoir dit ce qu'il avait à dire à la jeune femme. Lorsqu'elles furent seules, Liberté scruta un moment sa nouvelle amie, puis après quelques minutes de silences, elle reprit enfin la parole.

"Avant de me faire adopter contre mon gré, je devais travailler tous les jours, jusqu'à tard dans la nuit, dans des conditions misérables, depuis, il est très rare que je ne passe pas une nuit sans que je ne cauchemarde à ce sujet... Tout le monde ce faisait maltraiter, c'était horrible... C'est bien pour cette raison que je veux apporter la paix et la joie, pour que cela ne ce reproduise plus jamais..."

En lui racontant tout cela, elle semblait avoir peur, au début, puis ensuite, elle semblait être triste et à la fois déterminée dans son but d'apporter un peu de joies dans le coeur des gens grâce à ses chansons. Pendant ce temps, le médecin toqua à la porte de son suéprieur, et lorsqu'il fut certain qu'il allait l'entendre, il prit la parole.

- Comme promis, je suis venu vous avertir que la fille était réveillée

Il préférait ne pas en dire plus, car il trouvait cela inutile. Après tout, même si la miss ne voulait aps tout lui dire, du côté du physique, elle allait mieux, donc pour lui, c'était ce qui importait le plus.