Des vacances très animées

Ayant découvert cette île par hasard, Liberté avait accosté son navire, puis elle était partie à la découverte de cet endroit fantastique. Franchement, elle n'avait jamais vu quelque chose d'aussi étonnant que ce lieu de villégiature où tout était fait pour s'amuser. N'ayant pas vraiment eût le loisir de se le permettre jusqu'à présent, Liberté ne connaissait rien des activités qui étaient proposées, alors quand, en marchant, elle vit une balle rouler à ses pieds, elle ne su pas trop quoi en faire, jusqu'à ce qu'on lui dise de la lancer, ce qu'elle avait fait sans trop se poser de questions. Après le rattrapage de la balle, elle avait pu voir des filles jouer au Beach Volley, ce qui l'avait fascinée.

"Je peux jouer avec vous ?"

Avait-elle fini par demander, et bien évidemment, on lui avait répondu "non"... Bien sûr, je plaisante, on lui avait permit de s'incruster dans l'équipe et ainsi, durant un bon moment, elle avait fait travaillé ses muscles et sa rapidité, et sasn même utiliser le rokushiki, elle avait pas mal de facilité, d'ailleurs, ses adversaires furent dégoûtées de voir qu'elle était aussi douée alors qu'elle n'y avait jamais joué auparavant. Riant comme une gamine, elle avait fini par partir, ne voulant pas se faire des ennemies. Se comporter comme quelqu'un de normal, oublier qui elle était véritablement, cela lui avait fait beaucoup de bien.

*Bon, je fais quoi à présent ?*

C'était mise à ce demander la jeune femme, tout en marchant, sans vraiment ce soucier des rencontres qu'elle pouvait faire. Elle était tellement décontractée par l'atmosphère qu'elle en avait presque oublié qu'elle était recherchée. S'en rappelant, elle soupira, pestant intérieurement contre son père adoptif, mais sa bonne humeur revint très vite, surtout lorsqu'elle ce mit à boire une limonade sur une terrasse, car même si ce qu'elle avait fait n'était rien comparé aux entrainements d'Akainu, cela n'empêchait pas qu'elle ait soif.

HRP-Vraiment désolé du retard, j'étais vraiment super occupé-HRP

Léo continuait de s'entraîner sans vraiment se soucier qu'une personne puisse le voir ou non sachant qu'il avait choisi justement cet endroit pour être certain de ne pas être dérangé. Mais visiblement, ils s'est trompé car il entend une voix féminine poser une question. Il relève la tête alors et voit une fille en train de le regarder et cela le gêna un peu car il aime bien sa tranquillité et n'aime pas qu'on le regarde pendant qu'il s'entraîne. Il s'arrête alors pour faire face à la jeune fille avant de lui répondre : "Si je suis venu dans ce coin de l'île, c'est pour pas être dérangé et pour te répondre, je ne risque pas d'avoir du résultat en étant dérangé".

En voyant qu'il était un peu gêné, lorsqu'il remarqua qu'elle le regardait, la jeune fille eût l'air amusée, ne pensant pas qu'il réagirait de la sorte. Par la suite, elle le trouva légèrement rabat-joie dans ses propos, ce qui lui faisait croire qu'elle le dérangeait, mais même si c'était le cas, elle s'en fichait, elle allait rester, parce qu'elle trouvait vraiment très distrayant de le voir s'entrainer.

"Ouais bien sûr, c'est qu'en deux paroles que je t'ai beaucoup retardé ! Si t'a pas de résultats, c'est uniquement parce que t'a rien foutu ces dernier temps !"

Elle lui disait ces dernières paroles sur le ton de la plaisanterie, mais va savoir si elle n'avait pas tort. Ce demandant alors comment faire pour avoir une idée pour qu'il n'ait plus envie de la chasser et continuer à s'entrainer, elle eût une illumination, puis elle parti et elle revint, quelques minutes plus tard, avec deux cordes à sauter.

"Tient si tu veux entrainer tes muscles, commence par ça ! Tous les grands sportifs le font alors je vois pas pourquoi tu échapperais à la règle ! ça travaille ton endurance, ton cardiaque, ta vitesse et la musculation de tes jambes. Enfin tu vas peut-être me dire que c'est un truc de fille, mais sûrement parce que t'es nul dans ce domaine !"

Lui dire tout cela, après lui avoir lancé une des deux, l'amusait, mais en même temps, lui faisait mal, car cela lui rappelait les débuts de ses douloureux entrainements intensifs avec son père ou un autre marine chargé de faire cela en son absence. Ensuite, les entrainements avaient ét de plus en plus dur, donc s'entrainer à la corde à sauter allait être un jeu d'enfant pour elle. Par contre, ce qu'elle ne savait pas, pauvre petite innocente qu'elle était, c'était que Léo était un chasseur de pirate, et que vu que sa tête était mise à prix, s'il était au courant, il porurait se servir des cordes pour la mener le plus facilement au QG, donc sans le savoir, elle lui avait tendu une perche, mais bon, peut-être qu'après ce qu'elle lui avait dit, il allait peut-être essayer de lui prouver ce qu'il valait en étant poussé par son égo, mais bon, il pouvait faire ce qu'il voulait, tout ce qu'elle espérait, c'était de pouvoir continuer à l'observer et à l'embêter.

HS : Pas grave, moi aussi j'étais très occupée =)

Léo reste impassible face à la blague de la fille qu'il ne trouvait pas du tout drôle, préfère ne pas lui répondre car il la trouvait sans intérêt et reprend son entraînement comme si rien n'était, ne voulant plus faire attention à elle. Il constate qu'elle avait finit par partir, surement pour aller vaquer à d'autres occupations. En tout cas, c'est ce qu'il pensait jusqu'à ce qu'elle revienne avec une corde à sauter pour qu'il s'entraîne avant de répondre à ce qu'il avait prévu de dire. Léo réplique alors : "Non, je ne suis pas nulle, c'est juste un truc de gamine, je suis pas un sportif, mais un épéiste et ta corde à sauté".

Rapidement, il la coupe en plusieurs morceaux en disant : "Je la coupe en lamelles".

Quand il voit la jeune fille brûler les restes de la corde à sauter, Léo affiche un air impassible, n'étant pas plus impressionné que ça car il en avait déjà des choses bizarre avec des pirates capable de faire des choses impressionnantes et possédant divers pouvoirs. Quand elle finit par s'asseoir en disant qu'elle resterait tant qu'il ne se serait pas excusé, il réplique : "Et bien tu vas devoir attendre longtemps car je ne m'excuserais jamais car j'estime que je ne t'en dois pas, t'avais qu'à pas me coller".

Elle lui demande ensuite son nom avant de se présenter, Léo répond : "Mon nom ne te regarde pas, par contre, toi, il me semble que ta tête est mise à prix. Je vais donc devoir..."

Il allait dire qu'il allait devoir l'arrêter en s'armant de ses épées, mais il s'interrompe et stoppe son geste quand il entend des bruits de cris venant du village. Il accoure alors et voit que le village était à feu et à sang, attaqué par des pirates. Léo s'arme de ses épée alors et commence à affronter des pirates.

Si lui il la trouvait collante, elle, elle le trouvait extrêmement rabat-joie et pourtant, malgré ce type de caractère, la miss semblait vouloir continuer à rester à ses côtés. Lorsqu'il fit apparaître ses épées en disant que sa tête était mis à prix, la miss ce releva d'un coup sec, ce qui donnait l'impression qu'elle était montée sur un ressort, vu commeeeeeeeeson fessier et ses jambes avaient décollés du sol. Toutefois, après tout ce qu'il venat de faire, elle n'avait pas du tout envie de l'affronter, et heureusement, elle n'eût pas à le faire, car il s'en alla. Ce demandant ce qu'il ce passait, elle utilisa le Soru, ce qui lui permit de voir que le village de vacance était à feu et à sang.

"Vous n'aviez pas le droit de faire ça vils pirates ! Des gens viennent ici pour ce reposer et s'amuser ! Ce que vous avez fait est impardonnable et vous allez le payez très cher !!!"

La petite Liberté semblait être un peu en colère, mais au leu que es pirates aient peur d'elle, ils ce mirent à rire, enfin ceux qui ne combattaient pas Léo. Fronçant les sourcils, la miss approcha sa main des flammes, semblant vouloir comme la toucher, puis elle recula en ayant une idée. Elle ce mit alors en position et ce mit à chanter cette chanson : https://www.youtube.com/watch?v=iOew2k4_yoQ tout en utilisant une partie de ses pouvoirs pour éteindre le feu, ce qui fit qu'il n'eût pas le temps de brûler ce qu'il y avait à l'intérieur des maisons. Tout le feu qu'elle avait prit au passage, avec son microphone, elle le déversa sur les pirates, qui furent obligés de ce jeter à l'eau pour ne pas flamber sur place. Lorsque sa chanson fût terminée, presque tout l'équipage était à l'eau, ce qui la fit bien rire.

- Sale gamine ! Je vais t'apprendre à te moquer de mon équipage !

"Vous n'auriez pas essayé de tout détruire sur votre passage, rien de tout cela ne serait arrivés et encore, je n'ai fais que m'amuser ! Estimez-vous heureux, vous auriez pu tomber sur mon père !"

- Le père d'une petite excitée ne vaut rien face à mes hommes !

"Peut-être, sauf qu'il est très haut gradé dans la marine, mais je ne vous en dirait pas plus !"

Liberté semblait vraiment ce moquer de l'homme en lui disant de telles paroles, mais ce n'était pas le cas, elle avait juste voulu le mettre en garde, seulement, il ne l'entendit pas de cette oreille. Etant le second de 'équipage, il ce disait qu'il n'allait pas ce laisser traiter de la sorte pour une jeune fille, mais en voulant la punir en lui tirant dessus, il pu voir que les balles ricochèrent lorsqu'elle utilisa le Tekkai, randant ainsi son corps très dur, ce qui fit, qu'en voyant son air déconfit, elle ne pu s'empêcher d'en rire. [/color]

Léo continuait d'affronter les pirates et il n'avait pas vraiment de difficulté car ils étaient de piètres escrimeurs. Il se met alors à la recherche du capitaine, mais il ne semblait pas sur les lieux, surement car il a préféré rester sur son navire et laisser la salle besogne à son équipage, cela arrivait par moment. Cependant, il repère le second qui faisait face à Liberté, il fonce pour l'attaquer, mais un des pirates présents l'assomme par derrière avant d'attacher ses mains au dos et le porter sur son épaule. Le second voyant qu'ils avaient ce qu'ils voulaient, sourit et dit : "Désolé, Milady, mais on doit y aller à présent, on a des choses importantes à faire!"

Il court alors sur un canot avant le reste de l'équipage et Léo et ils se rendent au navire qui part en mer.

Sans qu'elle ne s'y attende, le jeune homme ce fit assommer, ce qui la surprit et la fit sursauter, car elle ne s'y attendait pas. Voyant qu'on l'attachait et qu'on l'embarquait, Liberté ne pu s'empêcher de réagir, car malgré tout ce qu'il c'était passé jusqu'à présent, elle avait du mal à le laisser partir comme ça, sans réagir.

"Hey mais où-est-ce que vous allez comme ça ?! Je vous conseil de le relâcher et immédiatement !"

Quand on lui répondit brièvement, la réponse ne lui plu pas du tout, trouvant qu'elle était trop vaste. Leur criant de revenir, ils ne l'écoutèrent pas, ils lui lancèrent même une bombe fumigène, ce qui fit qu'elle ne vit plus rien durant quelques minutes. Après avoir plusieurs fois toussé, lorsque les effets ce dissipèrent, elle ce mit à courir en direction du bateau, mais lorsqu'elle fût au port, elle pu constater que le bateau venait de partir, et que du coup, elle l'avait raté.

*Ils croient vraiment pouvoir s'enfuir ? Quels imbéciles !*

Pensa la demoiselle en riant, avant d'utiliser le Soru et le Geppou, deux techniques du Rokushiki très utiles dans ce genre de situations et en plus, bien utilisées, elles donnaient l'impression que l'utilisateur ce téléportait, ce qui choqua les pirates lorsqu'elle ce posa dans leur bateau, comme une fleur. Bien sûr, elle ne fût pas très bien acceuillie, elle s'en doutait bien.

"Ok, je sais, je sais on s'est quitté en mauvais terme ! Ecoutez les gars, c'est pas parce qu'on a eût un différent qu'on ne peut pas revenir à zéro ! Je suis comme vous, je suis également recherchée ! Pour vous montrez ma bonne volonté, je vais vous chantez une chanson qui va vous plaire !"

Les pirates n'eurent pas l'air chauds, mais ils la laissèrent quand même faire, ce disant que si elle chantait mal, ils la balanceraient à la flotte. La miss ce mit donc à chanter cette chanson : https://www.youtube.com/watch?v=qHvlpwX_oe4 après que leur musicien ait été bien gentil de ce proposer de jouer la mélodie, après qu'elle lui ait dit ce qu'elle voulait chanter. La manière dont elel chantait était tellement flamboyante et sexy que la plupart des pirates eurent les yeux en forme de cœur et la goutte de sang qui coula du nez. Lorsqu'elle eût terminé, ils eurent l'air enchantés, ce qui la fit soupirer de soulagement. Bon, la démarche pour ce faire accepter sur le bateau était déjà bonne, maintenant, il allait falloir qu'elle gagne leur confiance, car elle ce doutait bien qu'ils ne la laisseraient pas délivrer le chasseur de prime avec de la facilité.

Après que Liberté ait réussi à monter sur le navire des pirates, le second vient la voir et lui dit : "La capitaine veut que vous diniez avec lui et il vous demande de porter ça".

Il lui passe alors une belle robe rouge élégante à la jeune fille avant de lui dire : "Il veut que vous portez ça sans discussion et si vous refusez, il a exigé à ce que vous mangiez avec l'équipage et complètement nue. Donc je vous conseille d'aller dans son sens. Vous pouvez vous changer dans sa cabine et l'attendre".

Il lui ouvre la porte de la fameuse cabine du capitaine. Pendant ce temps, Léo est jeté dans les cages du navire. Il se réveille doucement et regarde autour de lui en disant : "Mais où est-ce que je suis?"

Il n'eut pas la moindre réponse car il était à présent seul.

HS : Pour une fois, j'avais envie d'illustrer, bon c'est a peu prêt comme la description.

Spoiler:

La jeune femme scrutait tout le monde avec une mine réjouie. Elle avait réussi la première phase de son plan, il ne restait plus qu'à faire le reste, mais ça allait être plus complexe de le faire que le dire ! Alors qu'elle ce demandait qui aborder en premier, le second du capitaine lui adressa la parole, lui disant que le capitaine désirait qu'elle dine avec lui. Voilà par où elle allait commencer, elle n'espérait pas mieux pour débuter dans ses investigations pour sauver Léo.

*Quelle aubaine !*

Songea la demoiselle, avant de scruter la robe qu'elle devait porter avec un regard émerveillé, et à la fois mélangé entre le sceptique, l'incrédule et la nervosité, car elle n'avait jamais porté une telle parure, elle avait presque peur de rater le rôle qu'elle ce devait de jouer pour son nouvel ami, même si les sentiments n'étaient peut-être pas partagés, Liberté aimait bien le jeune homme, même s'il n'avait pas été tendre avec elle. En entendant la menace, elle eût un léger sourire.

"Pas besoin d'autant d'animosités envers ma personne, je ne comptais pas refuser son invitation. Pour être honnête avec vous, j'ai plus peur de porter ceci que de rencontre votre capitaine, je n'ai jamais porté pareille merveille, j'espère qu'elle m'ira et que votre capitaine sera content de me voir la porter"

Apèrs lui avoir dit cela, la jeune fille, suivit le second dans la cabine du capitaine. Une fois seule, la miss regarda de tout les côtés, pour être sûre qu'elle était vraiment bien toute seule, puis en scrutant une fois de plus la robe, la demoiselle s'imagina être une princesse de contes de fée, que lui racontaient les esclaves sur l'île où elle avait vécu l'enfer, et bien évidemment, dès qu'elle avait le temps pour les écouter et les adultes pour lui raconter, elle écoutait toujours avec attention, aimant beaucoup ces histoires, malgré le fait qu'elle n'était et ne deviendrait jamasi une princesse.

Cependant, cette robe l'inspirait beaucoup et étant assez créative, elle ce mit à s'imaginer ce que cela serait si elle en était vraiment une, ce qui donna cette chanson : https://www.youtube.com/watch?v=XkJcvRqI7O8 qu'elle chanta tout en ce déshabillant, puis en revêtant cette sublime robe. Mettant également les manches ouvertes qui allaient avec, elle sorti par la suite un élastique de ses autres vêtements, tout en mettant bien à l'abri son mégaphone, pensant ne pas en avoir besoin pour ce soir. Elle ce fit ensuite un chignon, puis elle arrêta de chanter, ce regardant dans un miroir en ayant l'air choquée.

"Oh c'est moi ça ?"

Ne pu s'empêcher de dire la demoiselle à haute voix. Il n'y avait pas à dire, mais la transformation était flagrante. Elle avait déjà porté quelques robes, mais jamais aussi belles. Ce demandant ce qu'en penserait son père adoptif s'il la verrait ainsi habillée, elle ce dit que pour une fois, il serait peut-être fier d'elle. Soupirant, elle préféra ne plus y songer, ne voulant pas gâcher ce beau moment, avant de ce rendre compte que si elle était ici, c'était pour Léo, alors elle revint un peu sur terre, ce mettant à attendre sagement son hôte, ce demandant bien à quoi il pourrait ressembler.

Quand Liberté dit au pirate qu'il n'avait pas besoin de la menacer car elle allait accepter la proposition du capitaine, il lui jette la robe à la figure en disant : "Le ferme et contentes-toi d'enfiler ça!"

Il s'en va alors en fermant la porte de la cabine quand elle y est entrée à l'intérieur. Quelques heures plus tard, alors que Liberté s'admirait, le capitaine, un homme d'un certain âge, barbu, ayant un chapeau de pirate et avec un singe sur son épaule, arrive et dit : "Magnifique, vous êtes vraimet ravissante".

Il montre une chaise qui était à une grande table garni de plein de nourritures et dit : "Installez-vous, vous devez avoir faim".

Alors qu'elle s'admirait, elle entendit la voix d'un homme qui la complimentait. Ce tournant vivement, elle faillit trébucher sur sa robe, ce qui montrait bien qu'elle n'avait vraiment pas l'habitude de porter ce genre d'accoutrement. L'homme semblait avir déjà bien vécu, mais pourtant, il avait encore beaucoup de prestance.

"Merci, vous aussi vous n'êtes pas mal capitaine, d'ailleurs j'aime bien votre chapeau. Je suis ravie que vous appréciez ce que cela donne quand je porte une robe"

Liberté pensait ce qu'elle disait, malgré le fait qu'elle trouvait préférable d'aller dans son sens plutôt qu'inversement. Il lui montra alors une table et lui demanda de s'installer, alors elle s'assit sur la chaise, enfin elle essaya, mais elle ce rata et fini les fesses par terre.

"Non, non ce n'est vraiment pas pour me rendre intéressante, c'est que je n'ai vraiment pas l'habitude d'en porter"

Ce justifia la demoiselle en ayant honte. La deuxième fois, ce fût la bonne, ce qui la fit soupirer de soulagement, lorsqu'elle fût enfin installée, comme demandé.

"Merci pour votre invitation, mais il y a tout de même des questions que je me pose... Déjà qu'est-ce que c'est cette créature sur vous ? J'en avais encore jamais vue auparavant"

La demoiselle pourrait peut-être avoir des milliers de questions à lui poser et pourtant, celle du singe vint la première, ce qui montrait bien que les animaux la fascinaient. Ce demandant s'il allait lui répondre, elle balaya la table des yeux, avant de replonger son regard dans celui du capitaine.

"Et puis, je me demandais aussi pourquoi vous aviez envie que je mange avec vous alors que j'ai quand même mit plusieurs de vos hommes à la mer quelques minutes auparavant. Vous avez l'air sympa avec moi et pourtant, quelques minutes avant, vous avez mit le feu à un village de vacance, je suis dasn une totale incompréhension, pouvez-vous m'éclairer sur ce sujet s'il vous plait ? Et puis, je me demandais aussi pourquoi vous avez enlever le chasseur de prime... Enfin voilà, vous n'êtes pas obligé de me répondre."

Elle venait de délier sa langue pour poser des questions bien pertinentes, elle espérait qu'il ne le prendrait pas mal et qu'il répondrait au moins à l'une de ses questions, que son déjeuner avec lui ne soit au moins pas une perte de temps. Parce que l'heure tournait et il y avait toujours Léo à sauver, mais heureusement, elle ne semblait pas l'avoir oublié.

Liberté complimenta le capitaine, ce dernier répond alors : "J'apprécie toujours les jolies femmes, surtout quand elles sont à leur avantage".

Il l'invite ensuite à s'installer, lui montrant la table pour qu'elle s'installe, mais elle le fait assez maladroitement. Elle dit alors ne pas avoir l'habitude de porter des robes, et le capitaine répond alors : "C'est bien dommage car ça vous va à ravir".

Elle termine de s'installer avant de le remercier et lui demande ce qu'était l'animal sur son épaule, il répond alors : "Lui? C'est une singe, plus exactement un ouistiti. Ce sont des animaux malins et intelligents".

Elle se met ensuite à l'interroger sur la raison pour laquelle il l'a invité et qu'il a capturé Léo, il répond alors : "Comme je vous l'ai dit, j'aime la compagnie de jolies femmes et puis, au moins, si je vous ai avec moi, je vous aurais à l'oeil et je suis donc certain que vous n'êtes pas en train de faire évader. Pour ce qui est du jeune homme..."

Il sort de sa poche un médaillon et le pose sur la table.

"Ce médaillon n'est pas un médaillon ordinaire. C'est de l'or aztèque maudit. L'une des 882 pièces identique livrées dans un coffre de granit à Cortez lui-même. D'après la légende, ce coffre se trouve sur île de mort que ne peuvent trouver que veux qui savent déjà où elle est. Mais on l'a trouvé. Le coffre nous attendait...remplit d'or. Et on a tout volé! Dépensé, marchandé, tout dilapidé. En nourriture, boisson et plaisante compagnie. Et plus on semait aux quatre vents, plus on s'apercevait qu'en fait, notre soif n'était pas satisfaite".

Il se lève de sa chaise et commence à marcher autour de la table tout en continuant de parler.

"La nourriture devenait cendre dans notre bouche. Nous sommes maudits, mademoiselle. La cupidité nous aveuglait autrefois et maintenant, elle nous consume à jamais".

Il s'arrête et se tourne vers elle en affichant un sourire narquois.

"Il y a néanmoins un moyen de conjurer le sort. Toutes les pièces d'or aztèque disséminées dans le monde doivent être réunies et replacées dans le coffre. Et pour chaque âme ayant touché une pièce du trésor, le sang devra être versé en offrande".

Il s'approche alors d'un fenêtre de sa cabine.

"Mademoiselle, durant dix ans nous avons sillonné chaque lieue de ces eaux, chaque ville, chaque village, prenant pour cible les pêcheurs comme les colons. Nous avons retrouvés 881 pièces, mais nous désespérions de trouver la dernière. Pendants toutes ces années, vous étiez à l'abri, dans votre lit, lisant des histoires de pirates, rêvant d'aventures en haute mer, alors que nous endurions des tourments pire que la mort!"

Il se retourne pour la regarde de nouveau.

"Maintenant, nous avons la dernière pièce...enfin. Quand ce médaillon retournera dans le coffre, nous serons libre de voguer sur les océans en tant qu'hommes".

Il commence à avancer.

"Nous ne serons plus des fantômes!"

Quand la jeune fille dit qu'il se trompait à ce sujet car elle a en réalité fuit de chez elle où elle vivait l'enfer, le pirate répond : "Silence! Vous ne savez rien de notre malédiction!"

Il tape violemment sur la table qui s'écroule sous le coup qu'il venait de donner. Il la regarde dit : "À cause de cette malédiction, nous ne faisons pas partie des vivants, nous ne pouvons donc mourir. Mais nous ne sommes pas morts pour autant. Depuis trop longtemps mon corps brûle d'une soif que je ne puis étanché! Depuis trop longtemps je meurs de faim sans pouvoir mourir! Je ne peux rien ressentir! Ni le vent sur mon visage! Ni les embruns de l'océan! Ni la chaleur de la chevelure d'une femme! J'ai souffert trop longtemps!"

Puis, la jeune dit clairement qu'elle s'opposait au fait qu'ils sacrifient Léo et propose même de prendre sa place, ce qui fait bien rire le capitaine pirate dit : "Désolé, l'échange est refusé. Voyez-vous, c'est du sang de ce garçon dont nous avons besoin".

Quand la demoiselle propose d'aller voir Léo pour lui dire adieu en lui apportant à manger, le capitaine affiche un sourire amusé et dit : "Je vous donne l'autorisation. Par contre, pas d'entourloupe, sinon, on va être dans l'obligation de vous envoyez faire un petit tour sur une île déserte et vous y laisser. Je tiens à vous prévenir, l'éclat de la lune nous révèle tel que nous sommes et ce n'est pas vraiment beau à voir".

En effet, en dehors de la cabine, sur le pont, le membres de l'équipage qui travaillaient qui étaient sous la lumière de la lune étaient transformés en squelettes et cela pouvait faire peur plus d'un. Léo, lui, était dans a cellule, recroquevillait sur lui-même, ne sachant pas quoi faire pour sortir de la situation dans laquelle il se trouvait car il n'a jamais été dans ce genre de situation.

Lorsque le capitaine lui donne l'autorisation, Liberté avait l'air contente. Il la prévint cependant que si elle les arnaquaient, elle finirait sur une île déserte, ce qui la fit légèrement rire, car il pensait qu'elle ne s'en sortirait pas, mais il avait tort. Il lui dit ensuite qu'à présent, tout le monde avaient leurs véritables apparences, donc elle risquerait d'avoir un peu peur, mais cela n'eût pas l'air de la décourager pour autant. Elle enlaça le capitaine.

"Merci beaucoup de m'accorder votre confiance ! Ne vous en faites pas pour moi, cela devrait aller !"

Après avoir dit ces paroles, elle prit une assiette et mit quelques victuailles, encore fraiches, à l'intérieur, puis elle s'en alla, d'un pas pressé, ce qui fait qu'elle faillit ce casser plusieurs fois la figure. Une fois à l'extérieur, la miss ce figea sur place, dès qu'elle vit l'un des gardes ce présenter à elle.
k]"Mais... Euh... Vous..."

- Oui, des squelettes, tel est notre fardeau depuis que nous, nous sommes fait tous maudirent ! Vous ne devriez pas sortir de la cabine.

"Le capitaine me l'a déjà expliqué, d'ailleurs, il m'a permit de sortir pour aller voir Léo !"

- Dans ce cas, je vous accompagne, sait-on jamais, surtout que vous êtes vraiment à croquer dans cette tenue...

"Ayez encore ce semblant de regard lubrique en me regardant et je ferais de vos os un xylophone !"

- Comprit... Bien comprit mademoiselle !

Au début, elle fût surprise, puis au final, elle devint fascinée par ce que devenaient les gens touchés par la malédiction des pièces du coffre. Ayant une brève discussion avec l'un d'entre eux, la miss fini même par avoir l'audace de menacer l'un des soldats du capitaine, qui préféra abdiquer plutôt que d'avoir de potentiels ennuis, on ne sait jamais ce qu'il peut arriver. Une fois au niveau des cellules, la miss pu voir qu'il y avait quand même deux gardes prêts à agir au cas où le jeune homme arriverait quand même à s'enfuir.

"Bonsoir mes.. Euh... Enfin... Je suis venue avec l'autorisation du capitaine, je peux entrer et donner ceci au jeune garçon ? Oh, vous ne semblez pas convaincus, pourtant c'est la vérité... Je suis vraiment très sincère ! Oh vous acceptez ? C'est trop gentil ! Par contre, ça vous dérange de vous éloigner un peu ? C'est que je dois faire mes adieux à mon petit-copain, alors vous voyez, on aimeraient être tranquille un moment"

Faisant du charme aux gardes, elle en profita pour emprunter la clef des menottes discrètement. Après avoir enfin obtenu ce qu'elle voulait, elle pu constater que les gardes avaient l'air d'être compréhensifs, bien qu'elle avait dû insister, c'était comme s'ils voulaient absolument voir ce qu'ils allaient ce passer. Enfin, une fois seuls, Liberté ouvrit la cellule et posa l'assiette par terre, devant Léo.

"C'est drôle, j'ai l'impression de nourrir un animal ! Par contre, je t'apporte pas des bonnes nouvelles. Tu étais au courant que tu possédais un médaillon possédant la dernière pièce d'un trésor maudit ? Bah juste à cause de ça, ils vont te sacrifier, c'est pour ça que je suis venue te dire un dernier adieu mon amour, ça va être dur sans toi, mais je saurais être forte ! Tu veux bien jouer deux minutes la comédie ? J'y connais rien dans ce domaine, alors soit convainquant."

Elle venait de lui dire ouvertement ce qu'il allait ce passer, essayant d'avoir une mine pas trop triste après lui avoir fait une petite blague. Jouant la comédie, elle le prit dans ses bras et lui chuchota à l'oreille de faire pareil. Elle en profita donc pour déverrouiller les menottes le plus discrètement possible.

"Ne les enlèves que lorsque ça sera le bon moment, sinon je ne pourrais plus t'être d'une grande utilité, car le capitaine à prévu de me jeter sur une île déserte si je t'aide à t'échapper. A bientôt et le plus tard possible mon cher ange !"

Liberté lui chuchota à nouveau ces paroles à l'oreille, avant de dire à haute voix des paroles qu'elle ne pensait absolument pas, puisqu'elle faisait tout pour éviter qu'il meurt. Repartant ensuite, elle fit semblant de verrouiller la porte de la cellule, puis remit la clef à sa place, ce mettant alors à sortir du cachot en espérant ne pas à avoir recourt à ses propres pouvoirs pour sauver le jeune homme, car si c'était le cas, ils risqueraient tous de périr en pleine mer, ce qui ne serait pas des plus idéal.

Quand Liberté voulait le prendre dans ses bras, le capitaine la repousse et dit : "Contentez-vous de faire ce que je vous ai dit. Allez-y maintenant avant que je ne change d'avis".
Léo était toujours dans sa cellule et relève la tête quand Liberté vient le voir en prétendant qu'il était son petit-copain, faisant un cinéma qui ne lui plaisait pas du tout car il n'aimait pas du tout les criminels. Mais il savait comment à la fois jouer son jeu tout en la repoussant. Quand elle termine de lui parler discrètement et lui donner ses consignes, il la repousse en disant : "Arrêtes! Je t'ai déjà dit qu'il n'y avait rien entre nous et qu'il n'y aura jamais rien. Maintenant, fiche-moi la paix une bonne fois pour toute".

Elle sort alors des cachots et il la regarde faire avant de regarder ses chaînes, réfléchissant au bon moment pour agir.

Le navire des pirates s'arrête sur une île rocheuse, l'Île de la Muerta. Les pirates semblaient ravi que la cérémonie ait lieu, pensant qu'ils allaient enfin être libérés de cette malédiction qui ne leur permet pas de vivre. Léo était toujours dans sa cellule et regarde le pirate qui le gardait.

"Pourquoi est-ce que vous me tuez juste pour un simple médaillon?"

"Il y a plusieurs années, ton père faisait partie de notre équipage, il était le second de notre premier capitaine qu'on a abandonné sur île après lui avoir fait une mutinerie. Cela n'a pas plu à ton père, il était trop honnête et cela ne plaisait pas du tout à notre nouveau capitaine".

"Mon père n'était pas un pirate, je n'y crois pas du tout".

"Crois ce que tu veux. Bref, pour en revenir à notre histoire, quand nous avons été maudis, ton père a envoyer une des pièces à toi et nous a dit que nous méritions d'être maudits pour ce que nous avons fait. Le capitaine lui a donc tiré une balle dans la tête et il a dit bonjour à ce bon vieux Neptune. Bien sûr, c'était avant de savoir qu'on avait besoin de son sang pour lever la malédiction".

Le capitaine arrive avec ses hommes et fait emmener Léo jusqu'à l'île où il est emmené dans une remplie de leur butin et au milieu, sur un gros rocher, il y avait un coffre rempli de pièces qui son identiques au médaillon de Léo. Léo se fait monter sur le rocher devant le coffre et là, le capitaine se met à faire un discours.

"Chacune des pièce qui s'étaient égarés a été rendue..."

Il montre le médaillon qu'il avait entre les mains.

"Sauf celle-ci. Et maintenant, le sang va être versé pour nous libérer de cette malédiction à tout jamais".

Il penche la tête de Léo en avant, prend un couteau et allait l'égorger quand Léo se libère de ses chaines et lui donne un coup de pied pour le pousser.