Notre Destin est tracé!

Teach avait un large sourire en écoutant la demoiselle qui juste après semblait ne pas prendre les chose au sérieux. Bien au contraire, car vue ce qu'elle dit cela ne faisait aucun de doute, il y aurait qui en était offusqué ou aurait dit que cela était des sornette. L'homme n’était pas comme les autres et avait connue des choses quand il était encore membre de l’équipage de Barbe blanche qu'il ne pouvait se dire que de telle chose existe. Il se mit a rire de nouveau en tapant dans le dot de la fille manquant de la renverser.

« Zehahaha, ça s'est bien dit , il faut profiter de chaque instant que la vie nous offre, mais je peux te dire que sur ce monde il existe des personne à qui on pourrait se demander s'ils sont encore humains. Comme quoi les véritables monstres ne sont pas véritablement ce qu'on pense. »

Il parlait naturellement des 4 yonkous Kaidou, charlotte Linlin, shank le roux, Barbe blanche, l 'amiral en chef Sengoku de ses 3 amiraux Raitei, Murakuma, Akainu, et bien évidement de Dragon qui a lui seul terrifier le gouvernement. Une fois arrivé à la taverne, il lui demanda enfin sa raison de sa venue en lui faisant comprendre qu'il savait qui elle était une chose pas compliquée quand on se prenait la tête à lire les avis de recherche. Il écouta alors sa réponse trouvant ça complètement logique comme quoi même les révolutionnaires avait besoin de se reposer.

« Je comprends tous les pirates vienne ici pour cette raison, mais je dois juste de dire l'unique règle d'or de cette île. Tu ne dois jamais t'en prendre à un habitant de cet endroit au risque de te faire chasser de l’île. Sinon après fait ce que tu veux sans tout casser bien sûr, car les meubles ne repoussent pas zehahaha ! »

La femme de tout à l'heure qui s’était vautrer sur le sol arriva vers eux et la il put la voir correctement, on aurait presque dit une version de Karyline plus vielle. Une femme qui était plus au goût de l'homme, mais qui dirigea son intention envers la jeune fille. Barbe noire ne fit qu’écoutait la femme qui essayer de faire comprendre à Karyline qu'elle était sa mère avant très peu de tacts d’ailleurs. Une femme de caractère, mais qui se pris une claque à la réponse de la demoiselle qui disait qu'elle avait plus de parents.

« Ha les histoires de familles... Toujours aussi compliqué… »

Teach sembla être assez pensif sur le moment, mais repris son sourire quand la serveuse arriva avec leur commande, une bouteille de rhum avec des tartes aux cerises . Il en prit une pour mordre dedans goulûment et après avoir avalé sa bouchée se mit à dire :

« Je vais peut-être me mêler de ce qu'il ne me regarde pas, mais je trouve que vous vous ressemblez beaucoup toutes les deux, tu es sur que tu a plus de parent ? »

Teach manger une tarte au cerise écoutant alors les deux d'une oreille attentif le nom que donna la femme qui était venu les rejoindre. Il ne pouvait certifier qu'elle était la maire de sa nouvelle camarade mais une chose était sure. Le D était dans son prénom et Teach était loin de croire au coïncidence. Il c’était renseigner plus après sa conversation avec Shank et les rare documentation qu'il avait trouvé sur se sujet parler du fait que cette lettre mystérieuse ne peut être donné que par un membre de sa famille.

« pareille ! Je suis Teach et lui Burgess !  »

Il finit sa tarte avant de s'en recommencer une autre entre deux gorgé de rhum décidant d'un peu détendre l’Atmosphère sentant un léger malaise. Il voulait aussi surtout en savoir plus sur cette fille :

« dit moi Maryline vous êtes aussi de passage dans le coins ? »

HS : Je suis terriblement désolée ! J'ai cru que je t'avais répondu, mais en faites non, et je le vois qu'à présent.

La mère de Kary semblait être enchantée de connaître les amis de sa fille. C'est peu de temps après avoir bu un verre, que Teach lui posa une question, ce qui la fit sourire.

- Oui. Je me suis posée dans cette îée le temps de reprendre des forces. C'est un très grand hasard si je suis tombée sur vous et sur ma petite chérie. J'en suis tèrs heureuse !

Pendant ce temps, elle pouvait voir sa fille manger également de la tarte à la cerise, et elle semblait aimer, même si ce n'était pas des pommes. Ayant peur qu'elle ce fasse des tâches, et voulant la nettoyer un peu, son coté maternelle reprit le dessus, sauf qu'elle ne l'averti pas, lorsqu'elle lui envoya une serviette à la figure, en appuyant sur son visage, un peu trop fort, pour faire partir la crase, ce qui fit tomber Karyline de sa chaise, ainsi que sa mère, qui, imperturbable, continua de lui débarbouiller le visage.

"Fou-moi la paix ! Je peux me nettoyer toute seule !"

- En voilà des manière de parler à sa mère ! ça suffit ! Tu cesses de bouger !

"Mais t'es aussi maladroite que moi ! Tu vas me casser le nez ou les dents avec tes bêtises !"

- Mais non ma petite salamandre, les dragons, c'est solide !

Dès qu'elle entendit les dernières paroles de sa mère, Karyline arrêta de gesticuler et de parler, semblant être choquée par ce qu'elle venait de dire. Alors qu'elle tentait d'être discrète à ce sujet, sa mère venait de divulguer, sans problèmes, ce qu'elle essayait de cacher pour ne pas avoir des problèmes. Restant toujours sans voix, Sa mère, dès qu'elle eut terminé, l'aida à ce relever, la remettant sur sa chaise, puis s'assit à nouveau, tout en continuant de sourire en semblant être toute joyeuse.

- Ohlala qu'est-ce qu'on s'amuse ici ! Je me souviens que quand j'avais son âge, cette île était toujours très animée, on ne manquait jamais une occasion de s'amuser, heureusement que cette atmosphère est restée ! Qu'est-ce que vous voulez savoir d'autre els amis ?

Contrairement à sa fille, Maryline semblait ce moquer de savoir si sa véritable identité était montrée au grand jour ou non, et c'était d'ailleurs pour cette raison qu'elle avait eu autant d'ennuis par le passer, mais cela ne semblait pas vouloir rentrer dans sa tête que c'était peut-être mieux de ne pas dire à tout le monde qu'elle était une dragonne pouvant prendre l'apparence d'une personne humaine. Karyline, fini par ce décrisper et bu une longue gorgée de saké, espérant que cela l'aiderait à ce détendre et à ne pas tuer tout de suite sa génitrice.