Le début de la piraterie [PV]

Il y a de cela quelques mois, Jérémy Raitei avait appris l'existence du fils de Shanks Le Roux, Thomas Le Roux, qui habitait à Shell Town. Jérémy avait vu là une excélente occasion de réussir à capturer son frère jumeau qui n'est autre que Shanks lui-même. Voulant que personne ne connaisse leur lien de parenté, Jérémy s'était présenté sous un autre nom en rejoignant la Marine et il s'est juré de traquer son frère sans relâche jusqu'à ce qu'il paie pour ses crimes. Enfin bref, sachant que la base de cette ville n'avait pas de chef depuis que Morgan a été renvoyé pour abus de pouvoir, Jérémy avait décidé de prendre le commandemant. En se rendant à Shell Town, Jérémy n'avait pas perdu de temps pour aller retrouver Thomas dans la taverne tenue par sa mère pour l'arrêter. Le gamin n'avait pas voulut se laisser faire mais Jérémy n'a pas eut de mal à le battre pour finalement l'emprisonner dans la prison de sa base en l'enchaînant avec des chaînes en granot marin pour l'empêcher d'utiliser ses pouvoirs. Après sa capture, il l'a annoncé à tout les journaux exprès pour que Shanks soit tenu au courant et vole au secour de son fils et le piéger alors, bien que aucune trace de lui n'a été apperçue pour le moment. Maintenant, il était assis à son bureau, Kid et Hak Foo debout à ses cotés. Il se sert un verre de rhum, se relève de sa chaise en tenant son verre de rhum d'une main, se retourne et regarde la fenêtre en murmurant : "Allé Shanks, viens sauver ton fils et m'affronter si tu en as le cran".

Cela fesait plusieurs jours, voire une semaine, que Ondine a rencontré Shizuka, une fille à moitié chatte, qui a été la première à accepter de rejoindre son équipage et de voyager avec elle à traver les mers. Elles étaient à présent en pleine mer en train de naviguer sur un petit bâteau de pêche que la tutrice de Ondine lui avait passé quand elle est partie. Un oiseau livreur de journaux passe dans le coin. Ondine l'appelle et achète un journal. Elle se met à lire le journal met ne lit que la première qui parle du fils du célèbre Shanks Le Roux qui se serait fait arrêter. Ondine eut une idée, le sauver et l'engager dans son équipage. Un immense sourire se dessine sur ses lèvres quand cette idée lui vient en tête. Elle passe le journal à Shizuka en mettant la première page en évidence en disant : "Tiens, regardes un peu ça".

Ondine se lève pour se tenir debout sur son bâteau et dit en regardant l'horizon et en mettant ses mains à sa taille : "Un petit tour à Shell Town, ça te dit?"

Sans attendre de réponse, elle accélère l'avancée de son bâteau avec ses pouvoirs de l'eau jusqu'à arriver à la fameuse île de Shell Town. Elles ont eut de la chance, elle n'était pas loin. Elle arrête le bâteau au port et l'y accroche avant de se rendre au village. Ayant une grosse soif, elle s'arrête à une taverne poue boire un verre de perrier.

Jérémy continue de regarder l'horizon devant lui à travers la fenêtre de son bureau quand il entend quelqu'un frapper à la porte. Jérémy se retourne, se rassoie sur son bureau, boit un cul sec son verre de bière et dit : "Entrez".

Un homme auc cheveux verts entre dans la pièce, il sort de son ventre une bouteille d'alcool qu'il pose sur la table. Jérémy ne fut pas surpris et ne montre pas d'air choqué car, étant un marine haut gradé, il avait déjà entendu parler de ce type qui n'était autre que Utsuro Taichigiri. Il avait déjà lu son dossier il y a longtemps donc il savait que c'était un cyborg. Jérémy prend la bouteille et dit : "Je sais qui vous êtes Colonel Utsuro. Quant à moi, je suppose qu'il est inutile de me présenter, si vous êtes là et que vous êtes au courant de ma mutation dans cette base vous devez déjà connaître mon identité donc nous pouvons passer les banalités des présentations. Je vous en prie, assayez-vous et buvez avec moi cette excélente alcool que vous avez apporter. Kid un verre en plus. Hak Foo, une chaise".

Jérémy claque des doigts. Hak Foo lâche un grognement en gardant son habituel air sévère et grognon, ouvre un placard et en sort une chaise pliante qu'il déplie et pose derrière le nouveau venu. Kid, lui, lâche un petit ricanement aiguë et sort du placard un petit verre qu'il pose sur le bureau. Les deux bras de droits de Jérémy quittent ensuite la pièce pour surveiller l'entrée, veillant à ce personne ne dérange leurs supérieurs. L'homme aux cheveux rouges débouche la bouteille d'alcool et sert la boisson dans le verre de son invité puis dans le sien. Il pose la bouteille, prend son verre, met ses pieds croisés sur son bureau et penche sa chaise en arrière pour prendre un air décontracté.

"Laissez-moi deviner, je parie que vous êtes venu voire ma prise. D'ailleurs je ne serais pas surpris que c'est ce que vous avez fait en venant ici. Vous n'êtes pas le premier à l'avoir fait".

Thomas garde la tête baissée, désespéré. Plusieurs mois s'était écoulés depuis qu'il avait été enfermé dans ce cachot et il n'a pas eut le moindre signe de son père qui viendrait le sauver. Il était à la fois désespéré mais aussi déçu car il avait l'impression que son père se fichait de se qui pouvait bien lui arriver. Ce qui l'étonna car ce n'atait pas du tout son genre, enfin, c'est ce qu'il croyait en tout cas. Thomas entend quelqu'un s'approcher, se doutant que cela devait être encore un marine venu spécialement le voire comme si il s'agissait d'une bête de foire, il relève légèrement la tête pour voire un homme aux cheveux verts qui lui lança un sachet de biscuits pour le requinquer et lui demande ce qu'il avait fait de mal. Ça, Thomas se posait la même question après s'être fait arrêter jusqu'à ce qu'on lui explique les raison de son arrestation qui est qu'il est là juste pour servir d'appat pour attrapper le gros poisson qui est son père. Mais bon, ce n'était qu'un détail. Il répond juste : "Je n'ai rien fait de mal à part être le fils d'un pirate".

L'homme s'en va sans rien dire de plus, peut-être qu'il devait le trouver pitoyable mais Thomas s'en fichait. Il regarde le paquet de gâteaux mais n'y toucha pas. Il n'avait pas du tout faim, ni l'envie de manger car il n'avait pas trop le moral. Pendant ce temps, Luna, la mère de Thomas, se trouvait dans les cuisines de sa taverne en train de pleurer. Depuis que son fils lui a été enlevé par la Marine, elle ne cessait de pleurer. Elle les retenait à peine devant ses clients qui voyaient ses yeux rougis par les larmes. Elle entend la cloche qui indiquait qu'un client était entré. Elle sèche ses larmes, les retient et rentre dans la salle pour s'appprocher de la jeune fille aux cheveux bleus qui venait de entrer.

"Bonjour, vous voulez quelque chose?"

Il avait l'air content, bien c'était le principal. Taichi regarda les deux sbires s'affairer pour lui faire de la place et lui sortir un verre tout en se demandant pourquoi l'un des deux ricane. Une fois les deux sbires sorti, le colonel s'assit le plus délicatement possible pour ne pas plier la chaise à cause de son côté droit qui n'est pas léger, puis il continue à observer l'homme en train de verser l'alcool qu'il lui a amené, tient il fait bien de l'ouvrir, c'est une bonne occasion pour faire la fête ! Par la suite, il l'entend parler du sujet qu'il voulait aborder, ce qui est une bonne chose, même s'il ne pensait pas en parler si vite.

"Oui, j'ai été lui rendre visite, il n'avait pas l'air d'aller bien, alors je lui ai donné un peu de friandises pour lui remonter le moral et le retaper un peu. le but, ce n'est pas qu'il meurt, d'ailleurs je dois vous avouez que voir un gosse derrière les barreaux me met un peu mal à l'aise... Désolé, je faiblis un peu, je reviens tout juste de mission, j'ai dû utiliser pas mal d'énergie pour coincer mon gaillard, une prime pas très grande, tout juste 50.000.000B, il faut que je me recharger"

Suite à ces paroles, il ouvrit à nouveau son ventre et en sorti un paquet de biscuit qu'il avala assez vite, lorsqu'il eût terminé son paquet, au bout de dix minutes, il rangea ce dernier dans son ventre, referma la porte en ayant l'impression de péter la forme, si des ennemis tentaient de s'en prendre à Jérémy, ils s'en mordraient les doigts, car avec l'énergie qu'il venait de recevoir, il était prêt à affronter tout type de situation sans aucuns problèmes.

*Comme c'est navrant, je n'ai que 23 ans et je commence déjà à me rouiller, va falloir que je m'entraine un peu*

"Vous voulez coincer son père, mais êtes-vous sûr que vous utilisez la bonne méthode pour l'appâter ? Il n'est pas encore venu rechercher son enfant, peut-être faudrait-il le motiver.... Si vous faites paraître un article dans le journal délivré par le martin facteur en déformant un peu la vérité, il devrait enfin montrer le bout de son nez... S'il est écrit dans le journal que son fils a perdu un bras, il devrait se sentir coupable et rappliquer en vitesse pour le sauver."

Comment pouvait-il dire de telles atrocités ? Taichi ne se reconnaissait plus et il avait l'impression d'être au même niveau qu'un kidnappeur ou qu'un de ces mauvais pirates qu'il aimait capturer. Se sentant un peu mal à l'aise par apport à sa façon de penser qui n'était pas tout à fait honnête et qu'il allait essayer de rectifier pour qu'elle soit enfin juste que sa propre justice qu'il fait subir à tout ceux qui ne respectent pas la loi et tout ce qu'il y a autour. Pour ne plus penser à ce qu'il venait de dire, il fit santé avec son verre, puis bu une goutte de son alcool qui lui plu, car il était content de ne s'être pas trompé dans son choix, car n'étant pas un grand connaisseur, il arrivait souvent qu'il se trompe et prenne quelque chose de moyen, mais bon, dans une fête, mélangé à d'autres alcool, ça passait toujours, donc les gens ne se plaignaient pas trop de son manque de goût. Après avoir bu sa gorgée, il reposa le verre sur la table, toujours avec sa main gauche pour éviter de casser le verre, tout en se demandant ce qui allait se passer suite à ses paroles un peu trop familières qu'il avait prononcées quelques minutes plus tôt.

Jérémy écoute les dires de Taichigiri et ses paroles ne lui dirent rien du tout. Jérémy était loin d'être sentimental et de pouvoir montrer de la pitié, bien au contraire et le fait d'être face à un gosse n'y changeait rien du tout. Ce gamin est le fils d'un pirate, rien que ça, cela fait de lui un hors la loi. Si il le garde en vie, c'est uniquement pour attirer son père, sinon, il n'aurait pas hésité une seule seconde à le tuer quand il en avait l'occasion. Jérémy regarde en buvant silencieusement son verre d'alcool silencieusement le colonel se recharger en mangeant des friandise. Cet alcool était bon, il fallait l'avouer, il en commandera d'autres bouteilles, étant un grand amateur de ces mets raffinés. Enfin bref, Taichigiri donne une suggestion qui ferait venir Shanks. Le vice-amiral affiche sur son visage un sourire sadique et mesquin avant de dire : "J'ai une meilleure idée, une idée qui fera venir expressément ce pirate de pacotille. Je vais condamner son fiston à mort et faire parraître la nouvelle sur toute les mers. Tel que je le connaîs, quand il verra que son fils est vraiment en danger, il viendra pour le sauver. Hahaha! Son habitude à sauver ceux qui lui sont chers le perdra. Je toucherais un point sensible qui lui fera perdre la raison. Et quand il viendra, je tuerais lui et son petit bâtard. Une bonne chose de faite, n'est-ce pas?"

Jérémy décroche son téléphone escargot et demande à ses soldat de transmettre la condamnation à mort de Thomas Le Roux dans une semaine. Une fois cela fait, Jérémy se resserre un verre, le lève en disant : "Santé".

Et il le boit.

Thomas désespérait de plus en plus au fond de sa cellule mais en même temps, un mauvais pressentiment le parcourait. Il le sentait, il ne devait absolument pas rester en ces lieux, il ne savait pas pourquoi il sentait ça mais c'était comme ça. Il se lève alors, bien qu'il ne l'avait pas fait depuis un moment, il n'avait pas eut de mal à se remettre sur ses jambes. En revanche, il a des fourmis à ses jambes du coup, ce n'était pas grave, c'était une sensation désagréable mais ce n'était pas bien grave. Il prend ses chaînes et se met à tirer dessus en espérant pouvoir les briser. Cela était innefficace évidemment, mais il continuait quand même de tirer de toute ses forces. Pendant ce temps, Luna fut surprise par la remarque de la fille aux cheveux et ne savait pas du tout quoi dire ou quoi répondre car elle ne voulait pas ennuyer ces étrangers avec ses problèmes. Ensuite, une fille avec des oreilles et une queue de chat arrive. Elle demande un verre de lait avant de se mettre à chanter. Luna ne fit pas attention à la chanson qui ne lui faisait ni chaud ni froid et se rend derrière le comptoire pour préparer les verres et les boissons qui lui ont été commandé. Cela ne lui posait pas de soucis de servir des boissons non alcoolisé, elle l'a déjà fait. Bien spur, les ivrognes ne comprenaient pas puisque peu d'entre eux avaient des enfants. Thomas buvait des fois de l'alcool en cachette de sa mère qui préférait lui faire boire du coca qui était sa boisson préférée. Une fois qu'elle eut finit, elle retourne en salle avec un plateau et pose les verres sur la table des jeunes filles.

"Voilà, un perrier et du lait. Ne pas servir de l'alcool ne me pose aucun problème, au contraire, je préfère ça que rendre les gens ivres morts. Quant à mon problème, cela ne vous regarde pas".

Elle tourne les talons et allait retourner derrière le comptoire quand elle entend un marine passer en disant : "Oyé! Oyé! Je vous annonce que dans une semaine, Thomas Le Roux, fils de Shanks Le Roux, sera comdamné à mort, fusillé dans une semaine. Quiconque tentera de le sauver sera considérer comme hors-la-loi et subira la même peine pour aide à un fils de pirate!"

Luna se retourne vivement en ayant les yeux ronds, pétrifiés. Ses membres tremblaient. Elle lâche son plateau qui tombe au sol.

"Mon fils...Mon petit garçon...Condamné à mort..."

Elle ferme les yeux, perd connaissance et tombe au sol. Marin, un vieil homme portant une tenues de vieu pêcheur et un bonnet bien enfoncé sur la tête, barbu et moustachu et qui connaissait bien la famille, rattrappe la femme pour éviter qu'elle se fasse mal.

"Ho, la pauvre petite. Thomas Le Roux est son fils. Il y a quelques mois, après que Morgan ait été écroué, le vice-amiral Raitei et venu pour prendre le commandement de la base marine de notre île. Sans raison particulière, il a arrêté Thomas et on ne l'a plus revu depuis ni eut de nouvelles jusqu'à aujourd'hui".

Ondine attendait une réponse ou qu'on lui serve ce qu'elle avait commandait quand Shizuka la rejoind et se jette sur elle pour lui faire un calin. sur le coup, Ondine se penche en arrière ce qui fait qu'elle de sa chaise en arrière. Quand Shizuka la lâche, la jeune fille se relève en s'époussetant, en remettant son châpeau correctement et en disant : "Shizuka, je t'ai déjà dit que m'appeler par mon prénom et de me tutoyer. Combien de fois je dois te le répéter?"

Ondine se rassit et écoute Shizuka chanter pour essayer de remonter le morale de la tavernière qui ne semble pas du tout faire attention à cette dernière ou elle l'ignorait, c'était dommage car Shizuka chantait bien tout de même; Quand elle eut finit, Ondine dit : "Tu chantes très bien, dommage que certain ne semblent pas apprécier les bonnes choses".

La tavernière apporte leur commande avant de leur demander de se mêler de ce qui regardait, la fille aux cheveux bleus hausse les épaules, elle ne pouvait pas la forcer à partager ses soucis. C'est alors qu'une nouvelle est criée dans le village. Celui de la condamnation à mort de Thomas Le Roux, ce qui sembla beaucoup affecter la serveuse qui perd connaissance. Un homme qui rattrappe la femme leur explique la situation. Ainsi donc, elle serait la mère de Thomas Le Roux, fils de Shanks Le Roux. Et bien, quel hazard. En tout cas, Ondine ne comptait pas laisser ce garçon dans la mouise, vu que son idée d'origine était justement de l'engager, elle le sauverais et aujourd'hui même. Ondine boit cul sec son perrier, se lève, fait un signe de tête à Shizuka pour qu'elle la suive et quitte la taverne pour se rendre à l'entrée de la base Marine. Elle met ses mains à sa taille et dit : "Bon, t'as une idée pour entrer?"

Quand Taichigiri dir à Jérémy qu'il n'avait aucune chance de mettre Shanks Le Roux hors d'état de nuir, Jérémy se met à éclater de rire car il trouvait cette hypothèse fausse et infondée. Une fois qu'il fut calmé, il dit : "Je connais toute les tactiques de combats de Shanks Le Roux ainsi que toute ses faiblesses contrairement à lui. Pourquoi penses-tu que j'ai enlevé son fils? Certainement pas pour faire joli. Quand il viendra, je saurait comment l'accueillir".

Taichigiri lui parle alors d'une certaine Atarashi Yume et lui montre même son avis de recherche. Jérémy regarde la photo de l'avis de recherche, prend une loupe et met le verre de la loupe au niveau de la poitrine de la fille pour avoir une meilleure vue de ses forme. Alors que le colonel lui donnait des informations sur cette fille. Jérémy, extasié par ce qu'il regardait ne put s'empêcher de dire : "Hmmm...oui, une très jolie poitrine..."

Se rendant compte qu'il avait parlé à vois haute, il retire la loupe, redresse sa tête et se racle la gorge pour reprendre son air sérieux en disant : "Ahem, si je croise cette fille, je m'occuperais d'elle comme il se doit. En attendant, je me centralise plutôt sur mon plan pour capturer Shanks. Bon, je vais aller voir le gamin. Je vousrais voire sa tête en lui apprenant sa mise à mort".

Il se lève de sa chaise et se rend dans les cachots, accompagné de Hak Foo, qui lâche un grognement, et de Kid, qui lâche un ricanement aiguë. Une fois dans les cachots, Jérémy voit Thomas essayer de briser ses chaînes. Le vice-amiral lâche un léger rire narquois.

"Ne penses pas t'enfuir mon garçon, tu as déjà perdu d'avance. Tu mouras la semaine prochaine et rien ni personne ne pourra empêcher cela".

Thomas continuait de tirer sur ses chaînes pour essayer de se libérer encore et encore en utilisant le plus de force qu'il avait. Au bout d'un moment, il fut totalement épuisé. Il se laisse tomber au sol à genoux en étant essoufflé. Il regarde les anneaux qui retenaient ses chaînes au mûr, ils étaient tordus. Il y était presque, encore un petit effort et il arriverait. Il entend alors une voix derrière lui. Il se retourne et vit Jérémy raitei, le vice-amiral, c'est lui qui l'avait emprisonné après l'avoir battu dans un duel. La nouvelle q'il lui annonça ne plut pas du tout au jeune homme. Et sa mère, sa pauvre mère...elle sera anéantit en l'apprenant. Le rouquin s'efforce de se mettre sur ses pieds malgré la fatigue, ne voulant surtout pas se montrer faible face à ce sale type, le regarde droit dans les yeux et dit : "Alors c'est comme ça que vous espérez appater mon père, même si il vient, il ne se fera pas piéger facilement par vos petites magouilles. Seulement, au cas où je devais ne pas survivre, je vous demande de me laisser revoir ma mère pour pouvoir lui dire au revoir".

Taichigiri préféra ne rien dire face à sa petite remarque sur sa proposition. Par la suite, il se demanda ce que son supérieur allait faire avec la demoiselle s'il la trouvait avant lui, à son avis, ce qui était sûr, c'était qu'elle risquerait plus de se retrouver dans son bureau que dans un cachot, ce qu'il ne pouvait pas lui reprocher, car c'était vrai qu'elle était jolie la petite fugitive. Il hocha la tête quand Jérémy lui dit qu'il avait quelque chose à faire de plus urgent, alors quand il se leva, il le suivit comme son ombre, comme un brave toutou obéissant, car il était curieux de savoir ce qu'il allait faire du prisonnier. Arrivé au cachot, il se rendit compte que les gardes qui gardaient la cellule de Thomas n'étaient plus les mêmes. Intrigué par ce petit détail qui n'eût pas l'air de choqué le vice-amiral qui se concentrait sur son invité d'honneur. Voulant être sûr de lui, il se mit à fixer l'un des gardes avec son œil droit et après l'avoir analysé, il eût l'air plutôt surprit.

*Une fille ?! Mais qu'est-ce que... Oh je vois*

"Pouvez-vous me voir deux minutes très chers gardiens ? J'ai un mot ou deux à vous dire, mais montons, nous n'allons pas déranger votre cher supérieur pour quelques broutilles"

Ayant remarqué qu'il ne s'agissait pas d'un homme, mais d'une femme, Taichigiri s'était douté que quelque chose de louche clochait, alors, après avoir fait son gars froid et sérieux, il entraina Shizuka et Ondine, si elle avait suivit sa cuistot, hors des cachots pour les conduire dans une pièce déserte qu'il avait remarquée en rentrant dans la base. Ceci étant fait, il referma la porte derrière lui, puis après s'être assuré qu'il n'y avait pas de caméra dans la salle, il regarda la miss avec un air moins glacial que tout à l'heure, a vrai dire, cette situation l'amusait plus qu'elle ne l'énervait, c'était une sacrée aubaine qu'il ne devait pas laisser filer.

"Vous savez, je ne suis pas né de la dernière pluie, le coup du déguisement on me l'a déjà fait plus d'une fois, ne vous en faites pas, je ne vais pas vous arrêtez pour autant, en faites, vous tombez à pic, c'est vous que l'on accusera de la fuite du jeune Roux, ça m'arrange. Savez-vous au moins à quel danger vous, vous exposez en voulant délivrer le gamin ? Je ne vais pas vous donnez un coup de main sinon je risquerais de perdre ma place, mais je peux tout de même vous avouez que mon supérieur est attiré par la gente féminine, sachez le séduire et vous n'aurez pas trop de problèmes à obtenir de lui ce que vous voulez"

Suite à ces paroles, il ouvrit la porte, raccompagna les deux gardes jusqu'au cachot, puis parti de la base en disant haut et fort qu'il allait faire un tour dehors pour aider les autres à chercher tout ceux et celles qui tentaient d'aider Thomas le Roux à fuir son funeste destin. En faites, c'était juste une déformation de vérité, car s'il était sorti, ce n'était pas pour faire que ça, mais aussi pour brouiller les pistes et éviter que ses collègues ce méfie de lui, mais aussi qu'ils puissent témoigner qu'il était bien avec eux au moment où Thomas serait en train de s'enfuir de la base.

Ondine croise ses bras en attendant Shizuka ainsi que connaître son plan. Quand elle revient avec des vêtements Marine, ce plan ne plus pas vraiment à la capitaine des Dauphins car elle n'aimait pas du tout le fait de devoir porter un vêtement de la Marine. Bah oui, elle était une pirate, donc la Marine était ses ennemis même si elle n'avait pas encore fait d'actions contre eux, ça ne lui disait pas de faire ses début de piraterie en se déguisant en Marine. Mais, elle le fait quand même histoire de parvenir à entrer à l'intérieur, mais c'était en faisant la mou et à contrecoeur qu'elle le faisait. Elle entre sans encombre à l'intérieur avec Shizuka et prennent le poste des gardes qui sont sensés surveiller les cachots. Une fois qu'il n'y avait personne, la fille au cheveux bleus dit : "Bon, on devrait passer à l'action maintenant".

Ondine allait entrer quand elle entend des voix s'approcher, elle se redresse alors et se tient droite et voit quatre Marine entrer à l'intérieur. Seul celui aux cheveux verts reste en retrait et demande ua x deux jeunes filles déguisées de le suivre. Allons bon, qu'est-ce qu'il leur voulait celui-là? Ondine hausse les épaules et le suit jusqu'à une petite pièce vide. D'après ses dires, il aurait tout compris. Quand il eut terminé, Ondine croise ses bras.

"Je sais à quel danger on s'expose et je m'en fiche. J'ai une tête à jouer les allumeuses? Gardez vos conseils pour vous, on se débrouillera sans. Pour commencer..."

Ondine retire ses vêtements de la Marine pour se retrouver avec sa simple robe blanche à bretelle et se saisit de son châpeau de  paille qu'elle avait caché sous ses vêtements. Elle retir sa casquette Marine, laissant ainsi ses longs cheveux bleus tomber en cascade sur ses épaules et elle met son châpeau de paille sur la tête en montrant un air déterminé et donne un coup de pied au tas de vêtements Marine.

"Je me débarasse de ces vêtements, ils m'étouffent".

Sans attendre, Ondine quitte la pièce et  se rend au cachot. Elle envoie alors un puissant jet d'eau vers le vice-amiral et ses deux laquets pour les projeter contre le mûr du fond et les assommer. Suite à cela, elle prend les clefs qui étaient accrochés à un clou et ouvre la cellule de Thomas avant de le détacher de ses chaînes.

"Viens, ne perdons pas de temps".

Ondine lui fait un signe de tête de le suivre et commence à courir pour quitter les cachots et cour travers les couloirs.

L'homme n'avait pas l'air méchant, c'était la première pensée qu'eût Shizuka en entendant les paroles du colonel de la marine. Ondine ne voulant pas suivre ses conseils, enleva son déguisement, alors la demoiselle enleva son déguisement et fit réapparaître sa queue et ses oreilles de neko, car elle se sentait plus à l'aise avec ces dernières, sans elles, elle avait l'impression de ne rien entendre et de ne pas avoir d'équilibre, ce qui était assez déstabilisant. Elle fit un clin d'œil pour remercier l'homme et parti à la poursuite de sa capitaine pour pouvoir la seconder si jamais elle avait besoin d'aide. Une fois arrivées vers les cachots, elle la vit assommer le vice-amiral d'une facilité déconcertante, non ce n'était pas possible qu'il soit aussi faible, il devait sûrement faire semblant, alors, tandis qu'Ondine libérait le prisonnier et l'aida à s'échapper, la miss surveillait les hommes.

*J'ai un mauvais pressentiment*

Pensa laneko en les regardant s'éloigner. Par la suite, par réflexe, elle se retourna et agrandit ses ongles grâce à son fruit du démon à une longue étonnante , qu'elle croisa devant elle pour contrer ce soi-disant ennemi. S'il fallait se battre jusqu'à la mort ou à l'emprisonnement définitif pour aider Ondine et Thomas à s'enfuir, elle le ferait, après tout, rien ne pouvait être plus terrible que le couple Kagari et son affreuse auberge.

"Je pense que tu ne t'y attendais pas n'est-ce pas ? Pour le moment, c'est moi ton adversaie ! Alors que vas-tu faire contre une fille ?"

Cet air déterminé et cette affirmation qui ne semblait pas être ébranlée... Décidément, elle ne manquait pas de culot pour parler et tenir tête à son ennemi tout en ayant un petit sourire ironique et en ayant pas peur de lui montrer sa poitrine si elle pouvait le battre en jouant sur la fourberie pour permettre à Ondine de mettre Thomas à l'abri, de toute façon, elle savait très bien qu'elle ne partirait pas sans elle, donc elle savait très bien qu'elle pourrait prendre son temps pour combattre.

Quand Thomas dit que son père ne se laisserait pas piéger facilement mais qu'il voulait voire sa mère au cas où il ne survivrait pas, Jérémy éclate de rire, s'approche des barreaux et dit : "Ne compte pas trop là-dessus, je connais les faiblesses de Shanks Le Roux. Il préfèrera sacrifier sa vie plutôt que celle de son fils. Quand à ta putain de mère, sois heureux que je ne la condamne pas également à mort pour avoir coucher avec un pirate!"

Jérémy s'était un peu emporté sur la fin, mais il détestait tellement les pirates que le fait qu'un civil en ait cottyé un le répugnait plus qu'autre chose et pour lui, ces civils devaient être concidérés comme des hors-la-loi, même sont des hors-la-loi. Mais bien sûr, puisque les civils cottoyant ou aidant des pirates sont bien plus nombreux que les soldats de la Marine, le Gouvernement ne fait pas grand chose de ce coté-là et Jérémy pense qu'ils ont tort car si ils commencent par punir ces civils, les pirates seraient sûrement moins nombreux. Bref, suite à cela, sans qu'il s'y attende, de l'eau à grande quantité et à forte pression l'envoie se cogner contre un mûr, le redanr confus un petit moment. Quand le vice-amiral reprit ses esprits, il remarque que la cage où se trouvait Thomas était vide et qu'une jeune fille avec des attributs de chats lui faisait face. Il se relève en affichant sur son visage un sourire charmeur. Il prend une des mains griffues de son opposante avec douceur, lui fait un baise-main et dit : "Pour commencer, pourquoi pas une petite danse?"

https://www.youtube.com/watch?v=ic4PQ-tnwJw

Il la fait tourner sur elle-même et se met à danser le tango avec elle. Au bout d'un moment, il prend discrètement des menottes attache rapidement la pirate aux barreaux avant de s'éloigner.

"Désolé, je n'avais pas d'autres bijous à vous offrir. Une prochaine fois peut-être, en attendant, on m'attend. Au revoir".

Il fait un clin d'oeuil charmeur et s'en va à la poursuite des fuyards.

En entendant les paroles de Jérémy, Thomas serre les poings tellement il était en colère. Il ne supportait pas qu'on insulte sa mère. Il voulait donner un coup de poing à la figure de ce sal type mais ses chaînes le retenirent. Ça l'agaça assez car il aurait bien voulut apprendre ce qu'il en coûtait d'insulter sa famille. Finalement, une jeune fille arrive dans la pièce et rend confus le marine durant un petit moment avant de le libérer. Le rouquin n'hésite pas une seconde à la suivre. Tout en courant à travers les couloirs, Thomas demande à la fille aux cheveux bleus : "Qui es-tu? C'est mon père qui t'envoie?"

S'attendant à ce qu'il y ait de l'animation dans le QG, Taichigiri se tenait prêt à faire son entrée en scène lorsque ça serait nécessaire, même si ce n'était qu'un gosse et qu'il trouvait dégoûtant qu'on l'enferme, ce n'était pas pour autant qu'il n'allait pas tenter de le combattre à la loyale pour l'enfermer à nouveau, enfin s'il arrivait à ce battre sérieusement contre ce satané gamin. Pensant qu'il allait tenter de retrouver sa mère, il questionna le premier inconnu qui passait dans la rue et lui demanda où se trouvait la génitrice du jeune Thomas, craignant pour sa vie, le type lui avoua très vite tout ce qu'il savait, ce qui lui évita de faire des vacances dans la prison du coin. Ayant donc obtenu les informations qu'il désirait, il s'en alla tout de suite trouver la gérante d'une beuverie qui semblait plaire aux saoulons du coin vu qu'elle ne semblait pas désemplir. Trouvant une ressemblance avec le jeune homme qu'il avait été trouver plus tôt, il alla tout de suite questionner une femme qui venait tout juste de se réveiller d'une perte de conscience.

"Thomas, c'est votre fils n'est-ce pas ? Inutile de vous évanouir, ce n'est pas aujourd'hui qu'il perdra la vie, deux anges gardiens veillent désormais sur lui et seront bien plus apte que vous et moi de le protéger, cependant, avant qu'il ne puisse prendre la mer, il devra m'affronter, vous comprenez je l'espère ? Bien c'est parfait"

En prononçant ces paroles, il avait l'air très gentil et aimable, ensuite, il s'assombrit au fur et à mesure que sa phrase touchait à sa fin, ce qui fit que le ton de sa voix donnait un aspect inquiétant et stressant, mais ça, il s'en moquait, car il avait fait exprès de paraître aussi peu sympathique, car après tout, s'il se faisait prendre en train de faire ami-ami avec la mère d'un vil pirate recherché pour un crime puni par la peine capitale, il perdrait toutes crédibilités, ce qu'il ne voulait pas, il tenait bien trop à son boulot pour se faire renvoyer. Il soupira avant d'apercevoir un homme, a peu prêt son âge, bien habillé, s'approcher de lui en tenant un parchemin dans sa main droite qu'il lui présenta avec un grand sourire aux lèvres.

- Tenez beau ténébreux, une lettre d'une certaine Haneko.

"Haneko ?! Ma sœur ! Merci beaucoup !"

- Mais de rien mon chaton après tout c'est bien normal de s'entraider entre filles huhuhu. Dit-moi serais-tu libre ce soir ? Après tout, je mérite bien une récompense après tout le temps que j'ai passé à t'attendre tu ne crois pas ?

Taichigiri était tellement impatient et content d'avoir reçu une lettre de la part de sa petite sœur qu'il n'avait pas remarqué que l'homme qu'il avait en face de lui était habillé et maquillé comme une fille, pas de doute possible, cet homme, enfin cette femme devait sûrement avoir un lien avec les habitants de la deuxième île des femmes, surnom très bien donné à cet endroit rempli de travestis. Après avoir arraché sauvagement la lettre des mains de son interlocuteur, toute son excitation était retombée après avoir entendu la suite de la conversation qu'il faisait avec cet étrange personnage. Ne s'y attendant pas, il était choqué et avait des yeux ronds comme des soucoupes en ne sachant plus quoi faire ni quoi dire, car c'était bien la première fois qu'on lui faisait une telle proposition. Lorsqu'il redémarra, il paniqua un peu et assomma son messager avec son bras mécanique, bien sûr sous le regard indigné de tout ceux et celles qui avaient trouvés la scène cocasse.

"Roh la la vous n'allez pas me faire tout un fromage pour si peu ? Si ? Je n'ai rien à me reprocher, c'était de la légitime défense. Bon reste plus qu'à attendre le gamin"

Pour lui, c'était de la légitime défense, mais dans la tête de certains, c'était sûrement de l'irrespect envers des personnes ayant choisit une voie différente. Se fichant complétement de leur pensées, Taichi avait haussés les épaules, puis avait prit son messager par la taille et l'avait calé derrière le comptoir de la gérante, comme ça, il ne risquerait pas de se faire marcher dessus s'il devait se battre à l'intérieur. Ceci étant fait, le colonel se mit à attendre de pied ferme l'arrivée de Thomas, enfin en espérant qu'il viendrait, en ayant un léger petit sourire aux lèvres après avoir lu la lettre qu'il avait rangée immédiatement dans un endroit sûr.

Pendant qu'ils couraient à toute allure à travers les couloirs, Thomas lui pose une question que la jeune fille répond : "Bien que j'en ai déjà entendu parlé, je ne connais pas ton père donc ce n'est pas lui qui m'envoie. Je m'appelle Ondine et si je suis venue te libérer, c'est pour que tu rejoignes mon équipage. Vu que tu risques d'être recherché sur cette île, ça serait mieux pour toi et tes proches de la quitter plutôt que te contenter de te cacher. Donc tu y gagnes en acceptant ma proposition".

Ondine continue des courir. Des soldats tentent de les arrêter mais la fille aux cheveux bleus n'eut aucun mal à s'en débarasser en quelques coups de poing et coups de pied bien placés. Ils finissent par sortir. Vu que les gardent du portail ont déjà été mis hors d'état de nuir, ressortir était facile.

Lorsqu'il se montra très poli et lui fit un baise main, Shizuka émit un léger feulement, ça aurait été dans d'autres conditions, ce geste lui aurait beaucoup plus, ça lui aurait beaucoup plu, après tout, ce faire charmer par un beau jeune homme, c'était une sacrée aubaine, mais vu que ce n'était qu'un méchant, elle nne pouvait pas accepter, non elle ne le pouvait pas, ça aurait été trahir sa capitaine que de faire ami-ami avec un type pareil ! Continuant dans sa fourberie, l'homme la prit au dépourvu en lui faisant danser un tango, oh bien sûr, durant la danse elle aurait bien aimé lui planter ses griffes dans son corps séduisant pour le neutraliser un bon moment et éviter le pire à Ondine, mais malheureusement, elle n'y arriva pas. Profitant de sa mise en scène, il la prit de vitesse et lui posa des menottes en granit marin, ce qui ne plu pas du tout à la demoiselle.

"Bandit ! Fourbe ! Reviens ici de suite nous n'avons pas terminé notre combat !"

Lui cria la demoiselle en le voyant partir tout en forçant sur ses menottes pour tenter de les arracher des barreaux, ce qui n'eût pas grand effet. Si ce qui la retenait aurait été des menottes tout à fait ordinaires, elle n'aurait pas eût de mal à se transformer en chatte et l'aurait rattrapé sans aucuns problèmes, mais il devait être habitué à ce genre de situations, voilà pourquoi il avait choisit des bijoux qu'il était sûr et certain qu'elle porterait et qu'elle ne risquerait pas de casser. Shizuka soupira en ayant l'air profondément ennuyée de n'avoir pas pu le retenir plus longtemps, mais bon, le principal était que les deux autres avaient réussi à s'en sortir. Ce qui l'ennuya encore plus de n'avoir pas réussi à protéger ses amis, fût d'avoir une apparence tout à fait banal, car ses pouvoirs du fruit du néant étant annulé, elle ne pouvait plus utiliser son mode hybride, ce qui fait qu'elle ne pouvait plus faire apparaître sur son corps ses oreilles et sa queue de chat et elle ne pouvait non plus pu allonger ses ongles pour se défendre, d'ailleurs ces dernier avaient reprit une taille normal.

*Et je fais comment à présent pour me sortir de ce mauvais pas ?*

ça, c'était une bonne question, merci Shizuka de l'avoir posée. Ne pouvant donc pas s'enfuir, il ne lui restait plus que prendre son mal en patience et attendre que le maître des lieux revienne ou bien que sa capitaine remarque qu'il lui manquait un membre dans son équipage ou encore, qu'un allié inattendu vienne lui donner un petit coup de patte, mais si aucunes de ces options n'étaient envisageable, il lui restait toujours le choix de faire la conversation avec les sbires de Jérémy, s'ils erraient dans les environs, car a part eux, il n'y avait pas beaucoup de prisonnier présent pour faire la conversation, pour faire simple, il 'n'y en avait aucun... C'était sûr, la miss risquerait de trouver le temps bien long, mais tant pis, c'était le prix à payer pour aider ses amis.