CHAPITRE I: La Rencontre
C'était par une matinée ensoleillé,que je me réveillais dans ma case. Je m'étirais doucement en me tournant du côté où les rayons du soleil rentrait par la fenêtre. Je levais vite mon coude pour cacher mes yeux du soleil en poussant un petit gémissement. Allongée, je pensais à ce que j'allais bien pourvoir faire aujourd'hui. Déjà, aller prendre un petit déjeuner chez Nyon, ma mère adoptive, remplacement ma mère biologique, morte à ma naissance. Puis je devrais surement chasser avec ma meilleure amie. En me levant doucement, je baillais en m'étirant à nouveau, les nuits sur un lit de Kujas, sont difficile, mais j'ai pris l'habitude. Je sortais donc de ma case, et me dirigeait vers la maison de Nyon. Je devais traverser la forêt, car elle habitait en dehors du village. Je me rendais donc chez elle, sous ma forme de panthère pour courir assez vite. Sur le chemin, je passais devant la cascade, tiens il faudra que je me lave après!
Quelque minute plus tard, j'arrivais chez ma mère. Elle était en terrasse, journal dans la main, avec le petit déjeuner prêt sur table.
Bonjour Maman.
Nyon leva la tête et me sourit:
Bonjour Tissia, bien dormis?
Tout en m'installant à table, je lui répondis:
Oui très bien!
Parfait, sers toi, c'est déjà prêt.
Merci! répondais-je en ayant attraper une tartine à la confiture de baies. Je la mettais dans ma bouche pour pouvoir me servir en thé, le meilleur que j'ai pus goûter, celui de Nyon était un délice! Elle prenait toute sorte de plante de l'île et en faisait un parfait mélange. Je m'avalais en deux seconde quinze ma tartine , et prit ma tasse de thé encore les mains. Je regardais Nyon, comme à son habitude, lisait le journal.
Quoi de beau ajourd'hui??
Oh rien de spécial, des nouvelles mises à prix des pirates, la marine qui essayer de chopper des pirates, la routine..
J'aimerais bien rejoindre l'équipage de l'impératrice ! Dis-je rêveuse.
Nyon, posa le journal sur la table et ferme les yeux:
Ne te fais pas d'illusion ma petite, tu n'es pas assez forte pour rejoindre cette équipage, tu connais Boa.
Oui je sais... répondais-je en soupirant.
Je posais mes pieds sur ma chaise en pliant les jambes et en m'adossant au dossier de la chaise tout en tenant la tasse entre mes mains. J'aimerais tellement rejoindre cette équipage, partir voyager sur les mers. Rester ici toute ma vie, rien que d'y penser, ça me faisait déprimer. Un soupire sortit de ma bouche et je buvais mon thé en silence. Nyon se servait aussi en thé tandis que son serpent s'approchait de moi, je tournais donc la tête vers l'animal et lui sourit en lui caressant la tête. Le serpent aimait ça et se laissait faire en souriant. D'un coup, une voix familière me fit tourner la tête vers la forêt, c'était Margareth. Je la saluais et buvais vite mon thé avant de la rejoindre. Je remercias Nyon pour le petit déjeuner et lui précisa que je repasserais dans la journée. Elle acquise d'un simple hochement de tête. Margareth et moi, courrons dans la foret, grimpait dans les arbres. C'était un petit rituel entre amie, histoire de s'amuser un peu. J'adorais sauter d'arbre en arbre,de branche en branche jusqu’à arrivé à la cascade. Nous grimpons la falaise pour pourvoir sauter du haut de la cascade. Arrivée en haut, je pris toujours le temps de regardais la mer, je trouvais cela tellement magnifique, elle me faisait rêver, rêver de voyage sur ces eaux bleues.
Puis Margareth me sorti de ma rêverie en me signalant qu'elle allait sauter. Je la regardais et lui prit la main pour sauter en criant "Youhou". Ya pas à dire, cette sensation de voler, c'est un pur bonheur. Nous atterrions dans l'eau, nageant un peu et sorti de l'eau, je regardais Margareth sortir de l'eau comme une sirène, en jetant ces cheveux en arrière. Elle avait tellement les cheveux longs que le rendu était sublime. Puis nous nous amusons dans l'eau, à s'éclaboussait, nager etc. Après notre petit amusement, nous nous rendons sous la chute d'eau pour nous laver. Quelque minute plus tard, nous sortons de l'eau et alla s'exposer au soleil, près de la mer. Je connaissais un coin où on pouvait profiter du soleil et de la vue sur la mer. J'arrivais la première sur les lieux et me coucha aussitôt sur le dos en fermant les yeux pour laisser le soleil se posait sensuellement sur moi. Mais je regardais mon amie qui ne fit pas comme moi, mais s'approchait plus vers la mer. Je me redressais en penchant la tête et lui demanda:
Un problème??
Margareth tendit son doigt vers la plage:
Des pirates sont sur l'île.
D'un coup, je bondis sur mes pieds pour voir. Effectivement des pirates sont amarrés sur l'île. Il fallait à tout prix prévenir les autres et faire une chasse à l'homme. Je regardais Margareth et lui dit:
Va prévenir les filles, je me charge de les chasser.
Margareth hocha la tête, et part en courant vers le village tandis que mou, je pris l'apparence de panthère avant de courir aussi dans la forêt,en reniflant sol et air, pour détecter la présence des hommes. Ils sont pénibles, ils savaient qu'ils n'ont pas le droit de venir ici, mais ils insistent. J'étais sur la piste d'un homme, essayant d'être la plus discrète possible, je comptais bien le retrouver et lui sauter dessus pour pouvoir le capturer. Dans un silence extrême, je me déplaçais en veillant à ne pas faire bouger les feuilles pour marcher sur une branche pour attirer ma présence. L'odeur était de plus en plus forte, j'arrivais enfin à rattraper l'homme vu qu'il était devant moi. Je m'étant sur à plat ventre sur le sol, je l'observais. Il cherchait sa direction, de dos, habillé d'un simple chapeau et d'un short, avec un tatouage dans le dos.Je m'approchais doucement en le regardant toujours. J'étais à quelque centimètre de lui, qu'il se retourne et me voit. En un quart de seconde, je lui sautais dessus, le faisant tombé sur le dos. J'étais sur lui, les pattes avant à côté de sa tête et le regardais en montrant les dents pour montrer que j'étais pas contente qu'il soit sur mon île. Mais, d'un coup, sans savoir pourquoi, j'arrêtais de grognait, je fixais ces yeux en silence, et je sentis comme un flux de chaleur monter en moi. L'homme, surpris, me fixait silencieusement. Je n'arrivait plus à éloigner mon regard du sien. C'était comme si j'étais envoûter. Je sentis mes joues devenir chaudes et rouges, puis me laissait peu à peu reprendre ma forme humaine. L'homme sourit doucement en me voyant rougir. Mon cœur battait fort,jusqu'à l'entendre dans mon oreilles. Je ne savais pas du tout ce qu'il m'arrivait, j'avais plus cette rage, ni la force et l'envie de l'attraper,de le tuer. Je me contenta de le regarder en silence et je baissais le regard sur son torse musclé. J'avais une envie irrésistible de toucher son torse, ,mais au moment où j'avais levé la main, les filles arrivaient en courant, et s'approchait de nous:
Ha bien joué Tissia, t'es vraiment la meilleure dans ce domaine.
Je me levais donc, en silence pour laisser les filles l'embarquait au village. Pendant tout le chemin, j'avais que le regard fixé sur lui. Pourquoi je suis dans cette état, je ne suis pas comme ça en générale, quand j'attrape un visiteur indésirable. Non je ne comprenais pas ce qu'il s'est passé. J'écoutais les filles rire en disant qu'elles allaient le tuer ce soir. Et, à ces mots, je m'exclamait d'un grand non. Les filles se retourne, et gêné je réponds.
Euuh...bah... bah.. on devrait attendre le retour de Boa! Elle saura ce qu'il faut faire de lui.
Mais elle revient dans une semaine Tissy.
D'après Nyon, son retour sera dans quelque jours, normalement.
Bon d'accord, on le mettra en cage alors.
Involontairement, je souriais. Je ne savais pas pourquoi d'ailleurs, ni pourquoi j'avais mentis sur le retour de Boa, Nyon ne m'avait rien dit du tout à son sujet. Je ne comprenais vraiment pas ce qu'il m'arrivait. Je devais en parler à Nyon, elle a déjà eu affaire avec les hommes, peut être qu'elle pourra me dire ce qu'il se passe. En attendant, je continuais de suivre les filles jusqu'au village, et les observais le mettre en cage. Cela me fit de la peine en le voyant derrière les barreaux. Je restais planter là, à le regarder, les larmes presque au bords des yeux. Margareth s'approchait de moi en riant:
Je vais allée voir si ces amis ne se promenaient pas sur l'île... Euh Tissia ça va ?
Oui oui, t'en fais pas, j'ai juste un petit coup de barre.
Bah va te reposer alors. dit-elle avant de partir vers la forêt.
Je la regardais partir en silence et me dirigeais vers la maison de Nyon. Cette état m'inquiétais fortement, jamais j'éprouvais de la pitié pour un homme, que je me montrais pas aussi féroce. Je devais avoir le coeur nette! Je me mis donc à courir vers la maison de Nyon, aussi vite que je pouvais. Et à peine je suis arrivée chez elle, elle se retourna vers moi, avec son arrosoir en main, elle pencha la tête et me demanda.
Que ce passe t-il, tu fais une de ces têtes.
Je la regardais et m'éventait.
Je me sens pas bien.
Nyon appela son serpent pour me faire une canne afin de me faire asseoir sur les marche de la maison. Elle se posta devant moi et me fixa.
Qu'est ce qu'il t'arrive?
Je ferma les yeux un moment puis les ouvra après avoir souffler.
Je ne sais pas justement, des pirates sont sur île... j'en est choppé un mais, je ne sais pas comment ni pourquoi, je n'étais pas comme d'habitude face à lui..
Nyon croisa les bras en faisant la moue.
Mmh, c'est rien ça va passer.
Je penchais la tête en la regardant, elle l'avait sur un drôle de ton, comme si elle ne voulait pas me dire la vérité. Elle alla donc me chercher un verre de thé, que je bus d'une traite, et ajouta.
Elles ont prévu de le tuer quand ?
Dans une semaine, à l'arrivé de Boa.
Si tard que ça ??
Bah.. disais je en me roulant une mèche de cheveux c'est moi qui à voulu repousser sa dernière heure, je ne sais pas pourquoi d'ailleurs, c'est sorti comme ça.
De nouveau Nyon faisait la moue
Je vois. En tout les cas, évite tout contact avec lui, laisse les filles géraient ça.
Mais pourquoi??
Tu n'es pas en charge de t'occuper de ça de toute façon.
Je vois oui.
Je posais le verre à côté de moi, puis parti vers le village après avoir remercier ma mère de ces conseils. C'était pour moi la voix de la sagesse. Mais dès que je retournais au village, de nouveau mon cœur battait de plus en plus fort, et la cage était au plein milieu du village, je détournais le regard pour faire comme ce qu'avait dit Nyon. Mais c'était plus fort que moi, je le regardais à nouveau. Je courais à la fontaine pour me rafraîchir car j'avais encore une fois les joues toutes chaude. J'allais ensuite dans ma maison pour dormir un peu, en espérant que ça ira mieux après.
La nuit tombé doucement sur le village et les filles allaient toute se coucher. Et, pour une raison qui m'échappe, une petite voix me dit va le voir c'est le moment. Je secouais la tête et attrapa l'assiette qu'on m'avait servi pour manger un bout. Mais, après manger, j'allais donner mes restes au prisonnier, j'en avais ressentie l'envie et mon corps obéissait tout seul. J'arrivée devant la cage, et l'homme me regardait, en penchant la tête, je tendis lentement et silencieusement mon assiette pour lui donner à manger. Un peu hésitant, de peur d'être empoisonner je pense, il accepta quand même de manger. Je le regardais toujours en silence et,soudain, l'homme s'endormit. Je haussais un sourcil, essayant de le réveiller, en lui donnant des coups de doigt dans le bras. Après quelque coup, il se réveilla, terminant ainsi de manger. Il me remercia et je tourna la tête, pour éviter de sourire.
Pourquoi tu t'es aventuré ici, tu ne sais pas que c'est dangereux.
Je voulais voir comment était les amazones.
Et alors ?? répondais-je en tournant la tête vers lui
Elles sont magnifiques, surtout quand elles me sautent sur moi.
A ce moment là, je compris qu'il faisait référence à ma forme animale, et par conséquent il m'avait complimenté, et cela m'a fait devenir pivoine d'un coup, je tournais la tête à nouveau.
De toute façon, tu vas mourir dis-je un air mélancolique
Dans une semaine, ça va. répondit l'homme.
Hochant la tête, je sentis comme une vague de tristesse en moi. Je ne savais pas ce qu'il se passait mais c'était vraiment bizarre. Je le regardais me fixer avec un sourire amusé. Il me rétorqua malicieusement:
Bah quoi tu es triste pour ma peine ? Tu es si sensible de me tuer?
Non!
L'homme compris que je pensais le contraire, il avait capter mon émotion dans la façon où j'ai exprimer le non. Il s'étira en souriant de plus belle, et se coucha sur le côté en se tenant la tête, je le regardais et contesta que son sur bras, il y avait un tatouage. Je m'approchais, ce qui avait fait redresser l'homme,et je lui choppa le bras, pour voir de plus près ce qu'il y avait écrit. C'était "
ASCE", écrit à la verticale. Je penchais la tête en touchant du bout des doigts les lettres. C'est mon prénom écrit, avec le s barré en plus qui signifie la première lettre du prénom de mon défunt frère.
Tu t'appelle Ace alors ?
Oui, et toi ?
Je levais la tête vers lui:
Tissia.
Le voyant sourire, je souriais bêtement aussi.
Jolie prénom pour une panthère, tu as aussi mangé un fruit toi j'imagine.
Hochant la tête je glissais les mains pour les retirer de son bras, mais il me choppa une main avec la sienne. Je le regardais faire, étonné par sa réaction.
Moi aussi regarde !
Il mit ces deux doigt en l'air pour faire la forme d'un pistolet et au bout de ces doigt apparaisse du feu. Je fixais la flamme qui illuminais une peu plus et déposais mon regard sur le sien qui me fixait davantage, j'eus un frisson qui me parcourait dans tout le corps, un sourire se dessinait sur ses lèvres, et je le trouvait vraiment charmant. Son regard était magnifique aussi, avec une petite lueur dû à la flamme, il avait le même regard qu'avant, quand je l'avais attrapé. Je baissais la tête, gêné par le moment, je ne savais pas quoi penser. Il éteint la flamme et me lâcha la main. Je la récupéra et lui déclara que j'allais me coucher. Il semblait un peu triste que je parte et me me souhaita une bonne nuit. Je me relève et me dirigeais vers ma maison, me retournant, le coeur serré de le voir entre les barreaux, mais il resta souriant, et me faisait même un petit signe de la main. Je lui répondais timidement avant de rentrer chez moi. Allongée, je sentais un changement se passer en moi. Pourquoi suis-je bien trop gentille avec lui ? C'est qu'un homme après tout. Mais il avait quelque chose de spécial que les autres ,quelque chose qui me poussais à penser à lui, ou à venir le voir tout le temps. Cela me fait peur mais en même temps du bien. Avant, dès que c'était avec lui, je me suis senti bien. Étrange.