^^Moi^^
Prénom : LauraAge : 23 ansMangas favoris : death noteJeux vidéos préférés : Je ne joue pas beaucoupAime : le chocolat et les calins ¨^^Déteste : Les faux culs et le poissonPersonnages préféres de One pièce : Zoro^^Mon personage^^
Nom : Black Prénom : Calidora LibertySurnom : CalamitySexe : FémininOrientation : Les femmes et les enfants dehors ... Je n'aime que les hommesÂge : 20 ansClasse :PirateRang : SniperEquipage : Aucun pour le moment Fruit du Démon : [non obligatoire, voir avec l'Admin]Haki : Kenbun-shokuAutres pouvoirs : artilleurPhysionomie : Cali est jolie, tout le monde vous le dira. Elle possédé de long cheveux noirs et bouclé souvent emprisonnés dans un turban. Ses yeux, d'un vert envoûtant, sont le reflet parfait de ce qu'elle pense. Mettez la en colère et vous verrez la haine se dessiner dans son regard. Faites la rire et vous verrez ses yeux s'illuminer. Ainsi il lui est quasiment impossible de dissimuler la moindre de ses pensées. Son corps est bien celui d'une femme. Des hanches courbées et des lèvres rouges. Cali plais, et elle le sais. Elle n'aime pas mettre son physique en avant mais si il le faut elle n'hésiteras pas.
Points forts : excellente tireuse et un peu cartomancienne. Points faibles : Peu être un peu trop grand gueule. Ce compare un peu trop a sa mère.
Psychologie : Calidora voudrais ressembler au souvenir qu'elle a de sa mère, grande gueule, courageuse et téméraire, il arrive pourtant a la jeune femme de ce montrer un peu lâche. Si elle parle fort et ce fait remarquer c'est surtout pour ne pas passer pour une faible femme. Calidora veut donner l'impression d’être une femme de cran mais elle est plus efficace en restant discrète. Elle ce sert aussi de son don de « lire dans les cartes » pour ce faire des amis et surtout pour soutirer un peu d'argent a ceux qui ont la naïveté de la croire. Persuasive et bonne oratrice Calidora est assez bonne manipulatrice.
Rêve : Retrouver le bateau de son père le « freedom of the soul » me débarasser des squatteurs et en devenir le nouveau capitaine.
Histoire :
« Ho-hisse et Ho ! Miséricorde ! Pour nous tenir au bout d'une corde, Faudra d'abord nous attraper,
Faudra d'abord nous aborder... Ho-hisse-ho ! Pavillon noir ! Ho-hisse-ho ! Pavillon haut !
Tant que le vent pousse la frégate, y a du bon temps pour les pirates. Ho-hisse-ho ! Pavillon noir ! Ho-hisse-ho ! Pavillon haut ! »
C'est le genre de chansons qui a bercer mon enfance. Je suis née sur une petite île au large de grand line. Mon père était l'illustre Capitaine du
« freedom of soul » Vildiur Black. Quand a ma mère, c'est elle qui m'a élevée. Frydrine Black une femme qui ne supportait pas qu'on la sous-estime . Si vous saviez le nombre de fois ou j'ai vue cette femme virée quelques malotrus a coup de rouleaux a pâtisserie de sa taverne. Moi j'ai grandi la, dans cette taverne courant après les poules et aidant parfois maman a la vaisselle. J'aimais cette endroits. Le mieux c'était quand mon père revenait. Je voyait nettement le visage de ma mère ce détendre, comme si elle ne risquait plus rien quand il était prés d'elle. Ces deux la s'aimaient il n'y avais pas de doutes. Je n'ai jamais entendu ma mère ce plaindre a papa des mauvais traitement qu'elle pouvait parfois subir quand l'un ou l'autre de ses clients avait trop bu. Une fois je me rappelle qu'elle m'a crier de sortir de la pièce. J'ai compris en grandissant qu'elle ne voulais pas que je la vois ce faire frapper par cet brute. D'ailleurs je ne l'ai jamais revue depuis cet crapule. Quand papa revenait, elle semblais apaiser et lui semblais heureux, j'aimais ces moments la ou, assise sur les genoux de mon père, je les écoutait raconter leurs aventures maritimes. J'aimais la vois tonitruante de mon père. Un jour je remarquait qu'il y avait un nouveau parmi les pirates de l'équipage. Je m'approchais de lui et lui demandais pourquoi il portait un masque. Je savais bien que la réponse qu'il m'avait donner n'était pas la vérité mais je n'osais pas le reprendre devant son capitaine. Il s’appelait Nostro, je l'aimais bien, comme j'aimais tout les hommes de papa.
Un jour, mon père débarqua comme une furie dans le bar et hurla
« Le roi ! Le roi des pirate en personne viens nous rendre visite, il faut tout nettoyer »
Je passait deux bonnes heures a aider ma mère a nettoyer la taverne. J'allais enfin rencontrer Gold Roger, depuis le temps que j'en entendait parler. Il m'apparut immense mais il n'impressionna pas ma mère qui n'hésita pas a lui donner un coup de son fameux rouleau a pâtisserie lorsque celui ci lui pinça les fesses. Mon père et le roi passèrent la soirée a boire et a rire.
Mon enfance heureuse ce stoppa net quelque jours après le passage sur nôtre ile du roi Roger Je revois encore tout ses hommes bien habillé ce ruer de leur bateau en hurlant Mon père et son équipage leur tint tête le plus longtemps possible mais je vis ma mère ce faire tirer une balle en plein tête et mon père ce faire arrêter. A cet instant il ce tourna vers Nostro, l'un de ses plus fidèle allié et lui hurla quelque chose qui n'aurais paru clair a personne d'autre qu'a un membres de l'équipage du freedom of soul. Il bloqua quelque secondes les quatres énormes bras qui le maintenais et regarda son équipier droit dans les yeux et murmura
" Protège ma liberté "
Les quatre bras recommencèrent a l'emmener et il cria alors
" Tu m'entend Nostro, protège ma liberté "
Je fus alors soulever de terre dans les bras de Nostro qui continuait de ce battre avec force puis il m'éloigna pour me cacher a l'autre bout de l’île. Il me cacha dans une vieille grotte et murmura a mon oreille
" Ne bouge pas d'ici temps que tu entend du bruit. Tu me le promet Calidora ne bouge pas d'ici temps qu'il y a du bruit "
Je fit oui d'un rapide mouvement de tête et il disparût en un éclair après avoir déposé un baiser froid sur mon front.
Enfin le silence. J'avais l'impression d'avoir attendue des heures quand enfin je pus sortir. Je me retrouvait aux milieu des bois. Je ne pouvais quand même pas être la seule survivante a cette attaque. Je marchais durant quelques heures avant d'enfin croiser quelqu'un. Une grande femme a l'air revêche, elle semblais chercher quelqu'un.
" Qu'e ce'tu fait la ma p'tiote "
Cette femme m'a recueillis chez elle. Il ce trouvait qu'elle était la femme d'un des hommes de mon père.
J'ai grandi avec cette femme, Louisiane, qui comme m'a mère m'appris a me faire respecter et surtout a manier une armes a feu
" Une femme qui vis entourer d'hommes elle a jamais la paix ma p'tiote rappelle t'en ... "
Je suis devenue ce genre de femmes qui n'a pas froid au yeux et qui ne ce laisse pas faire. Louisiane me parlait souvent de mes parents, elle les connaissais bien et s'entendait particulièrement bien avec ma mère. Puis j'ai commencer a m'émanciper et a m'éloigner d'elle. Elle ne me l'a jamais dit mais je suis certaine qu'elle a fini par me conciderer comme sa fille. J'ai appris il y a peu que lorsqu'elle m'a retrouver c'était en fait sa fille qu'elle cherchait la pauvre n'avais pas eu ma chance et avait été retrouver éventrer dans une ruelle.
Maintenant je suis seule, Louisiane est morte il y un mois, et j'ai en tête de retrouver le bateau de mon père si t'en est qu'il existe encore et d'en virer les squatteurs. Je serais pirate ...
* s'éloigne en chantonnant *
"Tant que le vent pousse la frégate, y a du bon temps pour les pirates."