Princess Sand

L'équipage de Lucky avait bravé nombres de danger avant d'arriver au Cap des Jumeaux où un vieux monsieur, Crocus, il s'occupait d'une baleine, d'ailleurs, ils avaient faillit se faire avaler par cette dernière, mais heureusement, ça n'avait pas été le cas. Ce vieux bonhomme fort sympathique leur avait indiqué la route à suivre et à force de navigué, ils étaient arrivés au point le plus crucial de la vie de leur jeune cuistot. Cette dernière, se rendant un peu trop tard qu'elle s'était faite trahir par Ryô, profita que tout le monde était occupé pour prendre son élan et sauter à l'eau. Cette dernière préférait mourir plutôt que de retourner auprès de ces sauvages. En entendant un gros bruit sourd, Ryô se précipita jusqu'à la rambarde. Il chercha Sara des yeux, puis lorsqu'il remarqua les petites bulles au-dessus de l'eau, il devint livide.

- Kuso ! Sara !!!

Il ne savait pas quoi faire. Devait-il la sauver et la déshonorer encore plus ou bien devait-il la sauver en acceptant de suivre ses foudres ? Il fini par sauter à l'eau. En nageant le plus vite qu'il le pouvait, il pouvait voir le corps de la jeune femme chuter dangereusement vers le fond marin. Il réussi à la sauver à temps et à la ramener à la surface, mais dès qu'elle eût récupérer un peu de force, elle lui donna un coup de pied pour qu'il la lâche, vu qu'elle avait perdu une bonne partie de sa force à cause du sel marin, Ryô ne risquait pas grand chose, bien que ce coup lui avait quand même fait un peu mal.

"Ryô ! Lâche-moi sale traitre !!! J'veux pas y aller ! T'avais dit qu'on irait sur l'autre île, pas sur celle-là ! J'te déteste ! J'te déteste ! J'te déteste !!!"

- Sara j'y peut rien, j'étais obligé ! ça sert à rien de me gueuler dans les oreilles, ça n'y changera rien ! Je vais pas non plus te lâcher, je t'aime trop pour te laisser mourir !

"Je m'en fou ! En ce moment, tu vaux pas mieux que Sanji !"

En entendant ces paroles, il fût tellement choqué qu'il la lâcha. Se rendant compte de ce petit détail qui avait toute son importance, il alla très vite la rechercher pour aller la poser sur le sable fin d'une plage où l'y attendait une femme aux lons cheveux azures. Elle avait l'air très satisfaite de voir la jeune fille aux cheveux blonds sur cette île.

- Te voilà enfin... Sara ! Mère sera contente de te revoir

"J'ai... une sœur ? Depuis quand ? Ryô c'est quoi cette histoire ?"

- Bah j'ai préféré ne pas t'en parler, pour pas te faire encore plus de peine, mais ta mère a adopté récemment cette jeune fille au cas où je n'arriverais pas à te ramener avant le mariage, ce qui aurait signifié ton arrêt de mort, tu sais comme est ta mère, elle ne plaisante pas à ce sujet

"Le mariage ? C'est ton mariage auquel on va assister ?"

- Non le tient stupide cervelle de piaf !

"QUOI ???!!! Pas question !!! Je veux être libre et pas obligée de rester ici pour épouser un parfait inconnu !"

- Mère avait prévu cette réaction

La jeune femme tapa des mains et deux hommes à l'air assez musclés firent leur apparition. Ils placèrent très rapidement des menottes en granit marin sur les poignets de la demoiselle, puis l'emmenèrent avec eux.

"Non je veux pas y aller ! Ryô empêches-les de faire une terrible erreur !"

- Désolé, je ne peux pas...

"LUCKY, NOJIKO, SABO AU SECOURS  !!!"

Sara était désespérée et Ryô avait la tête baissée en ayant vraiment l'air désolé tandis que cette sale sorcière était contente. Ryô se sentait coupable, mais il n'avait pas le choix, il devait la laisser partir. Sara réuni toutes ses forces pour crier le nom de ses nakamas, mais le ton de sa voix qui fût le plus déchirant et désespéré fût lorsqu'elle appela Sabo. Pour éviter de devenir sourd, ils la baillonèrent, puis l'emmenèrent. Ryô tomba à genoux en serrant les poings, puis serra des dents lorsqu'il se reçu un coup de pied dans le ventre.

- Tu es un mauvais esclave ! Tu devais la ramener le plus vite possible ! Bon maintenant, va falloir tuer vos petits copains un par un, cette cérémonie à lieu ce soir, à la tombée de la nuit, si ma grande sœur n'est pas mariée, je vais aussi en baver, alors y a intérêt à ce que rien ne nous dérange !

Cette fille était cruelle, mais ce n'était rien comparé à la mère, qui avait beaucoup de projets pour ses deux filles, en particulier pour la première qu'elle avait jetée à la mer étant enfant et qui, à présent, pouvait lui être utile,

HS : Voilà à quoi ressemble Azura la sœur à Sara et pour ceux qui veulent rp, il faut laisser l'équipage répondre en premier ^^

Spoiler:

Pendant presque toute la route, Lucky avait passé son temps à dormir. Après, avec toute les émotions qu'il a eu après avoir été pourchassé par la Marine, avoir affronté plusieurs fois Nezumi qui le harcelait, avoir révélé qui et ce qu'il était vraiment à tout son équipage sans exception, il avait bien mérité de se reposer un peu. En plus, maintenant qu'ils avaient un beau navire, il avait sa propre chambre, du coup, il pouvait encore mieux dormir. Au bout de plusieurs jours, il finit par se réveiller, il passe en cuisine en disant après un grand bâillement et un étirement : "Howa! Je meurs de faim moi!"

Il prend un morceau de viande et quitte la cuisine pour se rendre sur le pont. Il voit alors qu'ils s'étaient arrêtés sur une île. Il regarde un moment en mâchant le morceau de viande qu'il avait dans la bouche.

"Tien, on est arrivé?"

Il va dans la cabine pour aller voir Sabo. Il dit alors : "Salut. Je vois qu'on est arrêté. On est sur quelle île exactement?"

Puis, il remarque un truc. Bon, il lui semblait avoir croisé Nojiko, Sabo, il est en face de lui. Par contre, il ne lui semblait pas avoir vu deux personnes.

"Attend un seconde".

Rapidement, il fait le tour complet du navire et cherche partout, même sous et dans les tonneau, mais ne trouve pas les deux personnes qu'il cherchait. Il retourne donc dans la cabine et dit : "Dis, tu saurais pas où sont passé Sara et Ryô par hasard?"

Après de nombreux périples, l'équipage des Menshuus avait rejoint à son tour Grand Line. D'après ce que Nojiko sait, sa soeur, Nami, s'y trouverait avec l'équipage des Mugiwaras dont elle fait partie. Elle espérait bien la croiser. Mais bon, elle se doute qu'elle allait devoir attendre un moment pour ça car ils ont dû prendre bien de l'avance. Bref, après que le navire se soit arrêté à destination, Nojiko s'est rendue en cuisine afin de préparer un bon plat pour que l'équipage reprenne des forces avant de partir explorer l'île. Après tout ce qu'ils ont vécu et plusieurs jours en mer, c'était normal. Nojiko était tout de même surprise du fait que Sara ne soit pas encore venue la rejoindre en cuisine, elle qui était d'habitude la première aux fourneaux, ce n'était pas normal. Elle n'a pas non plus croisée Ryô depuis un bon moment. Elle espérait que Sara ne soit pas encore tombée malade. Sabo, lui, s'était enfermé dans sa cabine, sûrement pour étudier les lieux pour ne pas qu'ils se perdent. Lucky, lui, est passé se servir de la viande, chose qui agaça Nojiko car elle trouvait ça impoli, mais elle comptait bien la lui apprendre à sa manière. Elle prépare un beau plateau avec plusieurs assiettes, une pour chaque membre de l'équipage. Elle décide de passer dans la chambre de Sara avant tout pour voir si elle allait bien, mais il n'y avait personne. Elle passe dans la chambre de Ryô, et ce fut pareil. Elle décide donc d'aller sur le pont au cas où et croise au passage Sabo et Lucky.

"Tien! Vous tombez bien, je viens de faire des omelettes pour prendre des forces avant de partir. au fait, Lucky..."

Sans lui laisser le temps de faire quoi que ce soit, elle lui donne un violent coup de poing au-dessus du crâne avant de se redresser en prenant un air normal comme si elle n'avait rien fait de spécial.

"C'est impoli de prendre de la nourriture sans demander. Si tu continues à vider nos réserves comme ça, je vais finir par fermer tout à clef".

Une fois ceci dit, elle décide de passer au sujet de l'intrigue.

"Au fait, je n'ai vu Sara nulle part, pas même en cuisine. Ryô n'est pas ici non plus. Ce n'est pas normal. Vous les avez vu quelque part?"

Soudain, elle entend un cri leur demander à l'aide. Elle sursaute sur le coup puis dit : "Vous avez entendu ce cri? On aurait dit la voit de Sara. Elle doit avoir des ennuis. Ça venait de l'île on dirait. Pas le temps de manger, on doit y aller".

Elle laisse tomber son plateau et court pour quitter le navire et partir sur l'île.

Lucky n'était pas trop convaincu par les hypothèses de Sabo. Même s'il est possible que ce soit vrai qu'ils soient allés sur l'île, ça l'étonnait assez qu'ils soient partis ensemble vu comme c'est souvent tendu entre eux. Mais bon, qu'ils soient partis ensemble ou chacun de leur côté, il était assez d'accord du fait de partir à leur recherche. Il suit donc Sabo pour rejoindre Nojiko qui s'était finalement rendu sur le pont pour leur servir un repas. Lucky saliva en voyant les omelettes. Mais bon, il n'eut le temps de ne rien faire car Nojiko lui donne un violent coup de poing qui le fait s'affaler au sol la tête la première, lui offrant une belle bosse au-dessus du crâne. Il se relève en criant : "Non mais ça va la tête?! Qu'est-ce qui t'a pris?!"

Nojiko lui explique la raison et quand elle dit qu'elle finira par tout fermer s'il continue de tout manger il ouvre grand la bouche béat et se retrouve au sol sur la tête. Il se reprend au final et se montre plus sérieux quand Nojiko leur parle de la disparition de Sara qu'elle trouvait bizarre elle aussi. Si elle avait le même instinct que sa soeur pour sentir les ennuis, il ne pouvait que lui faire confiance là-dessus. Soudain, ils entendent Sara crier, et il était bien d'accord avec Nojiko qu'il fallait vite la retrouver. Il allait courir à sa suite, mais s'arrête en voyant les omelettes par terre.

"Dommage, elles avaient l'air bonnes quand même. C'est un peu du gâchis".

Il regarde autour de lui, puis, en moins de temps qu'il n'en faut, il mange toutes les omelette. En se rapprochant du bord du pont du navire pour sortir, il voit Nojiko aux prises avec des gens louches. Quand il entend ce qu'il dit, il comptait certainement pas les laisser prendre leur navire. Avec ses bras, il s'accroche aux deux mats du navire et recule pour les rallonger. Il lâche tout et il fut propulsé vers le groupe et choppant des gardes au passage pour les assommer contre des arbres. Il saute ensuite au-dessus des gardes et cri : "CHEWING RAFALE!"

En allongeant ses bras, il donne une multitude de coups de poing aux gardes pour les assommer avant d'atterrir au sol sur ses pieds. Il regarde la fille aux cheveux bleus et dit : "Hé! Toi là! De quel droit tu rachètes MON navire sans autorisation! Je parie que t'es pour quelque chose dans la disparition de mon médecin et ma cuistot! Alors t'as intérêt de me dire où ils sont?!"

Nojiko courait sur la plage jusqu'à ce qu'elle retrouve face à une femme aux longs cheveux bleus au côté de Ryô. Nojiko ralenti alors en le voyant en disant : "Tiens, te voilà. Tu sais où est Sara ? Je l'ai entendue crier, elle doit avoir des ennuis. Dis, c'est qui cette fille?"

Vu que Ryô était sensé être un allié et un membre de l'équipage, elle ne s'était pas du tout méfiée. Du coup, elle fut très surprise de voir la mystérieuse femme lui tirer plusieurs fois déçu sans lui lais-ser l'occasion de s'enfuir. Heureusement, un homme l'a protégé en se mettant devant elle avec une plaque en métal. S'étant remise du choc, Nojiko sert des dents et dit : "Je commence à en avoir un peu assez qu'on me prenne pour une cible".

Oui, Nojiko a fait ce commentaire par rapport au fait que Nezumi lui avait lui-même tirer dessus la première fois qu'il était venu et le fait que des personnes lui tirent dessus commençait vraiment à l'agacer, surtout quand elle ne demande rien à personne. Bon, pour le coup de Nezumi, c'est parce qu'elle s'était interposée pour protéger sa petite sœur, mais bon, ça n'empêche qu'on lui avait tiré dessus et ce n'est pas du tout une sensation agréable. Bref, alors que des gardes s'approchaient d'eux pour les arrêter, Lucky fait irruption avec Sabo. D’ailleurs, Lucky fait une entrée assez fracassante comme s'il avait été catapulté. Seulement, les soldats à terre sont vite remplacés par d'autres qui les encercle. Sabo demande alors à Lucky de les évacuer, chose qui fait tilter Nojiko qui pouvait très bien s'évacuer toute seule. Elle chuchote alors pour que seul ses alliés l'entendent : "Non, vous n'allez pas faire comme ça. Voilà comment on procède, toi et Lucky vous combattez et dès qu'il y une ouverture, moi et l'autre gars on se casse chercher Sara. Je peux très bien fuir seule, je sais me servir de mes jambes. Bon, pour vous faciliter la tâche, je vais utiliser mes atouts … féminine".

En disant cette dernière phrase, elle affiche un air charmeur. Elle s'écarte ensuite des garçon pour se mettre un peu à part et regarde les différents gardes. Sa sœur lui a appris quelques astuces pour manipuler les garçons, c'est le bon moment pour les utiliser. Elle affiche alors un air charmeur aux hommes parmi les gardes et en même temps horrifié.

"Ho, non! Ne me dites pas que vous allez oser vous attaquer à la faible femme que suis! Les garçons, je comprends, ils savent se défendre, mais moi, je ne suis même pas capable de faire un coup de poing".

Elle se met à faire des yeux à la fois doux et suppliants.

"Je vous en prie. Laissez-moi partir. J'ai jamais demandé à être ici, j'ai peur. Est-ce que les hommes braves que vous êtes êtes prêts à me rassurer et m'épargner?"

HS : Vu que je suis très très contente d'avoir une réponse, je vais essayer de faire un très très long rp =)

Soudain, la porte s'ouvrit doucement, grinçant lentement en laissant entrer dans la pièce un faible faisceau de lumière, puis se referma dans un claquement, ce qui inquiéta Sara, l'heure de son jugement avait sonné. Elle senti son cœur se serrer de plus en plus lorsqu'elle entendit des bruits de pas, qui raisonnaient sur le sol à chaque mouvements, se rapprocher. Qu'est-ce qui allait bien pouvoir ce passer dans la pénombre de cette pièce ? Sara ne le savait pas, bien qu'elle avait une vague idée de ce qui pouvait l'attendre.

- Je suis ravie de te revoir ma chère fille

En entendant cette voix doucereuse lui parler avec ironie, Sara cru que son cœur allait lâcher, surtout lorsque sa mère alluma la lumière d'un coup sec sans crier gare, ce qui fit un contraste très violent pour les yeux de la jeune fille qui croyait voir un ange déchu venant la chercher pour l'emmener faire un tour en enfer. Stressant de plus en plus, Sara voulait être loin, très loin à ce moment, surtout lorsqu'elle s'approcha d'elle pour lui relever le menton, puis lui donner une claque des plus phénoménale.

- Sale petite trainée ! A cause de toi j'ai dû changer mes plans ! Tu aurais du crever au fond de l'eau ! Pourquoi tu n'es pas morte ! Oh c'est simple, c'est parce que tu devais servir à quelque chose ! A quoi ? A contrecarrer mes plans et à les modifier !

"Mère, je..."

- TAIS-TOI !!!

Sara voulait savoir ce qui n'allait pas, elle voulait aussi se justifier, mais ne le pu pas, car sa mère lui cria dessus en lui donnant plusieurs claques qui retentirent comme des coups de fouets. C'était rare, mais Sara se laisait se faire maltraiter, se sentant impuissante contre cette femme hystérique. S'étant enfin calmée, elle reprit son souffle.

- Te souviens-tu fille indigne ? Cette pièce ne te rappelle rien ?

Posant cette question avec un ton sadique, Sara ne pu qu'obéir. Elle scruta de font en comble la pièce avant de se rappeler. Cette pièce, elle ressemblait beaucoup à la salle de torture dans laquelle sa mère l'y emmenait quelque fois pour tenter de la tuer en douce, heureusement qu'à chaque fois qu'elle tentait de la tuer, que ça soit dans cette pièce ou dans une autre, quelqu'un était là au bon moment pour la sauver et l'empêcher de mourir. Se mettant à frissonner d'angoisse et de dégoût, sa mère ricana, ayant l'air satisfaite d'elle.

"Vous êtes un monstre !"

- Oh un compliment ? Comme c'est gentil ! Comme tu peux le constater, j'ai fais construire une salle beaucoup plus grande, beaucoup plus remplie d'objets, comme c'est jouissif tu ne trouves pas ?

"Vous êtes malade !"

- Ah oui ? Dans ce cas, je vais te montrer comme je suis malade sale petite peste !

Sa mère était folle, pas étonnant qu'elle l'ait balancée à la mer lorsqu'elle pensait ne plus pouvoir rien tirer de cette enfant encombrante. Etant prise d'une rage soudaine, sa mère la força à se lever, puis attacha ses menottes et alla chercher un fouet pour entreprendre de fouetter sa fille sans vergognes. Sara serra les dents, essayant de prendre sur elle la folie de sa mère qui la faisait terriblement souffrir psychologiquement. Au bout de quinze coups de fouets, sa mère se calma, puis reprit son souffle en allant s'asseoir sur le fauteuil.

- Ah ça fait du bien ! Sache que l'enfant ratée que tu es seras bientôt mariée à un riche homme pour allier mon terrain au sien, ainsi que d'autres choses dont une fille insignifiante comme toi n'as pas à le savoir. Tu devras bien te tenir, être une épouse docile et parfaite

"Mère, je ne peux pas me marier ! Je suis trop jeune et l'équipage m'attend, je ne peux pas me permettre de perdre du temps !"

- Oh à l'heure qu'il est ton équipage doit sûrement être enfermé dans les cachots ou bien morts, enfin si ma chère Azura à bien fait son travail, ce dont je ne doute pas. Comparée à toi, elle est si merveilleuse ! Elle sert au moins à quelque chose, pas comme toi petite garce !

"Si vous touchez à un seul des cheveux de mes amis je vous jure que..."

- SILENCE !!!

Ses amis, ils ne pouvaient pas être morts, ils étaient bien trop résistant pour se laisser faire sans réagir. Toutefois, cela ne l'empêcha pas de s'énerver, ce qui était rare, surtout lorsqu'elle était face à sa mère, ce qui signifiait qu'elle aimait beaucoup son équipage. N'ayant pas aimé la façon dont elle lui avait parlé, sa mère se leva et se remit à la fouetter, y mettant encore plus d'énergie qu'avant, ce qui commençait à être vraiment très désagréable. Pendant ce temps, Ryô était heureux de voir que l'équipage allait bien et qu'ils avaient un plan pour tenter de sauver Sara. Grâce à eux, il n'avait pas été embarqué par les soldats, ce qui n'avait pas du tout plu à la jeune fille, mais bon c'était ainsi, on ne peut pas toujours gagner. Elle se ressaisit et rit un peu en tendant la facture du navire dans sa main droite.

- Je ne le rachète pas puisqu'il est déjà à nous ! Vous croyez que c'est qui, qui a payé la facture bande d'ingrat ? La grande sœur pensait être maligne en réglant ainsi la note de frais, mais ça n'a pas été le cas. Puisque c'est nous qui l'avons payé, il nous appartient, alors quand on ne sait pas on se tait misérable ! Je sais que vous êtes des pirates, c'est pour cette raison que nous avons mit en place ce système de protection. Maintenant, rendez-vous ou je vais être obligée de vous faire du mal personnellement et avec le plus grand des plaisir vermines !

Pendant ce temps, Ryô scrutait intensément l'homme en noir qui avait sauvé Nojiko. Ce dernier agitait sa plaque devant lui, en hauteur, tout en dansant, comme s'il voulait dire "Essayez de me viser si vous l'osez !" Cet idiot avait l'air de s'amuser alors que le moment était grave, ce qui dépita Ryô qui secoua la tête avant de lui dire enfin quelque chose.

- Erion, espèce d'abruti appelles tes frères pour aider à protéger l'équipage au lieu de faire l'andouille !

Erion arrêta de faire l'imbécile, puis il mit sa plaque sous son bras et avec son autre main, il fit un salut militaire, puis s'en alla chercher ses deux frères. Le trio des ombres pu alors faire son apparition au complet pour castagner les soldats comme des ninjas qu'ils étaient, ce qui déplaisait fortement à Azura, car ils avaient l'air d'être très bien entrainés pour le combat et avaient l'air de savoir où il fallait frapper pour affaiblir le plus l'adversaire. Pendant ce temps, deux soldats eurent des cœurs à la place des yeux lorsque Nojiko leur fit son petit numéro de charme. Etant éblouis par sa beauté, ils la laissèrent passer en lui indiquant où se trouvait la sortie de l'île pour qu'elle puis s'enfuir le plus vite possible.

HS : Voici à quoi ressemble la mère de Sara

Spoiler:

Alors que Sabo venait de les rejoindre, d'autres soldats ne tardent pas à les encercler. Franchement, il n'était pas du tout impressionné par ça, se sentant tout à fait capable de les massacrer tous autant qu'ils étaient. Par contre, les paroles de l'autre fille l'énervait vraiment.

"Ta soeur? C'est quoi cette histoire? Et puis peu importe. C'est moi le capitaine qui ait navigué sur ce navire, donc il est à moi! Ton bout de papier ne signifie rien du tout! Si tu penses qu'on va faire ce que tu demandes, c'est mal nous connaître! Viens un peu si tu veux, je t'attends! Je sais ce que tu as fait à ma cuistot, mais je compte bien la récupérer!"

Il fait alors craquer son poing. Ensuite, Sabo concocte un plan qui avait l'air bon, bien que Lucky aurait préféré faire fermer son claqué à l'autre qui n'arrêtait pas de les insulter.

"Ok, mais j'aurais préféré m'occuper de l'autre cruche qui se permet de me voler mon navire!"

Nojiko, elle, ne semble pas d'accord et Ryô demande à un type de faire appel à ses frères, ceux arrivent et commencent à battre les soldats. Nojiko se met quant à elle à séduire les soldats. En l'entendant dire qu'elle était une une faible femme incapable de faire un coup de poing, il affiche un air dépité et dit à Sabo du coin de lèvres : "Elle se moque de qui là? Y a quelques minutes elle m'a mis un coup de poing et il m'a fait mal".

La stratégie de Nojiko semble marcher puisque deux gardes se font amadoué. Une goutte de sueur apparaît sur son front et il dit : "Heu...il vient de se passer quoi là?"

Puis, voyant qu'il y avait moins de soldats, Lucky court vers la fille aux cheveux bleus et lui donne un violent coup de poing à la figure en criant : "À nous deux maintenant! Dis-moi où est ma cuistot!"

Suite aux paroles de la fille, Lucky fut encore plus énervé, ne faisant pas cas du fait que son coup de poing n'est rien fait. Il dit alors : "Elle ne vous appartient pas non plus! Elle est une membre des Menshuus! Cela signifie Liberté! Tout mon équipage rêve de liberté et je ferais en sorte que Sara retrouve la sienne en la libérant de vos salles pattes!"

après ça, Azura lui tire dessus. Évidement, cela ne lui faisait rien du tout vu qu'il était en caoutchouc grâce à son fruit du démon. Heureusement que ce n'était pas des balles en granit marin ou pointus, sinon, là, ça aurait été une autre histoire.

"Désolé, mais je crains pas les balles, j'ai mangé le fruit de l'ange du caoutchoutier!"

Par contre, il fut choqué en la voyant cibler Sabo. Son sang ne fait alors qu'un tour et il cri : "Sabo! Attention!"

Puis, Ryo s'interpose et se reçoit la balle. Du sang se met alors à gicler. Une goutte est envoyée au loin avant de tomber sur une des joue de Lucky qui avait les yeux ronds comme des soucoupe. Il passe sa main sur son visage pour essayer la goutte et le sang s'étale sur ses doigts qu'il regarde. Il sert alors les poings et ses yeux se froncent, montrant un regard plein de haine.

"Tu viens de faire une grave erreur...personne ne s'en prend à mes amis".

Comme si la colère augmentait sa force, il se retourne vers la fille pour lui donner un violent coup de poing au visage. Cela ne projette pas, mais ça abime assez son armure. Il enchaine ensuite en levant un pied qu'il étire avant de le faire s'écraser sur la fille.

Dans les couloirs, les gardes faisaient des aller et retours, ce qui rendait la tâche difficile pour Nojiko. En plus, madame circulait dans les corridors avec toute sa prestance et sa grâce naturelle de fille de bonne lignée. A force de longer les couloirs, elle se rendit au salon, une pièce magnifique, où était en train de lire monsieur. La dame s'approcha de lui en ayant l'air de faire la moue.

- Encore une fois c'est moi qui doit m'occuper de tout ici ! Qu'est-ce que vous lisez mon cher mari ?

- Une histoire, ça parle d'une sorcière blonde, j'ai l'impression qu'elle vous ressemble.

- Coquin ! Préparez-vous, nous sommes attendu ce soir, il faut que vous soyez encore plus beau que vous ne l'êtes déjà !

L'homme leva ses yeux de son bouquin, l'air exaspéré qu'elle veuille tout contrôler, puis inventa une réponse avec une grande rapidité, ce qui amusa sa femme qui lui ébouriffa les cheveux, puis l'embrassa. A voir comment elle agissait avec lui, on aurait pu croire qu'il n'y avait que lui qu'elle aimait véritablement. Lorsqu'elle fût partie, il soupira, à voir son air, il avait l'air contre les agissements de sa femme, mais ne faisait rien pour la contredire, c'était un homme soumis au plus grand amour de sa vie. Pendant ce temps, toujours dans les couloirs, si Nojiko pouvait tendre l'oreille, elle pouvait entendre une conversation entre deux femmes de chambres.

- Dit Angeline, tu as vu la princesse ? Elle est belle ? Je n'ai jamais eus l'occasion de voir l'ainée

- A ce qu'il parait Marie, elle l'est, mais elle n'est pas en très grande forme.

- Pourquoi ? Qu'est-ce qu'il lui est arrivé ?

- A ce que j'ai entendu, elle a des blessures sur tout le corps, j'espère que le mariage ne sera pas annulé.

- Moi non plus, j'ai trop hâte de pouvoir y assister ! Enfin en le regardant par la fenêtre, il ne faut tout de même pas rêver !

L'une des deux femmes était une véritable espionne, car elle avait l'air de tout savoir sans avoir pu y assister, ce qui n'était pas le cas de l'autre qui semblait être inquiète de l'état de santé de Sara, et qui avait l'air d'être aussi un peu moqueuse, car elle savait très bien qu'elles ne pourraient pas assister officiellement au mariage que la reine de cette île avait prévu pour sa fille aînée. Quant à la principale intéressée, cette dernière était en plein calvaire, car l'eau et le savon sur des plaies ouvertes, ça fait mal. La jeune fille souffrait tellement qu'elle était en train de se demander si se faire achever ne serait pas la meilleure chose qui pourrait lui arriver. Lorsque les servantes décrétèrent que la jeune fille était propre, et qu'elles en avaient assez d'entendre sa voix qui commençait à devenir très fatigante, elles la séchèrent, puis lorsque la blonde qu'elles voulaient lui mettre une robe, ce fût pour elle la goutte d'eau qui déborda du vase.

"Non mais ça va pas ?! Vous voulez pas me mettre cette horreur ?!"

- Il faut bien vous habiller mademoiselle, vous n'allez pas aller à votre réception nue comme un ver ? Si ?

"Parfaitement ! De plus, je n'ai aucunes envies de me marier !"

- Vous dites ça sous l'effet de l'émotion. Allez soyez gentille.

"NOOOON !!!"

Sara gueula un bon coup, mais rien n'y fit, elles ne lâchèrent pas prise et réussirent finalement à lui enfiler la robe. Pff quelle honte ! Les servantes se mirent par la suite à lui sécher les cheveux, la coiffer, puis se mirent ensuite à la maquiller. Ainsi habillée et pomponnée, la demoiselle était bien plus jolie et féminine qu'à l'accoutumée, ce qui ne lui plaisait pas du tout. Pendant un autre temps, dehors, le combat faisait rage. Azura ne comprenait pas que Lucky tienne autant à sa nakama, de plus, elle n'avait pas l'air de comprendre l'importance du mot "liberté", un mot qui lui semblait être des plus insignifiants. Par contre, elel comprit très bien le coup de poing qui l'envoya valdinguer quelques mètres plus loin. Lorsqu'elle se releva, elle se rendit compte que son armure était un peu fendue, mais était encore en bon état de marche. Elle pu aussi voir que plus de la moitié de ses hommes avaient été décimés, ce qui ne lui plu pas du tout.

blue]- Alors bande de bon à rien on vous paye pas à rien foutre !

- Vous nous payez pas mademoiselle !

- SILENCE ! Je veux du résultat pas des jérémiades !

- Bah vous voyez mademoiselle, on commence à en avoir marre !

- Ouais et pis, maintenant, il est l'heure qu'on ait aidé aux préparatifs alors débrouillez-vous !

- Quand mère saura ça, elle vous fera tous pendre !!!

- Pas du tout, parce qu'elle nous a dit qu'à cette heure-ci on devait se rendre à la salle pour aider les autres esclaves à tout préparer avant ce soir. Venez les gars on y va !

- OUAIS !!!

Azura était terriblement en colère contre les soldats, mais elle ne pouvait rien faire pour les punir, car c'était des ordres précis de sa mère, car elle ne pensait pas que la bataille prendrait autant de temps. Ils s'en allèrent tous en laissant la jeune fille seule contre les hommes de l'équipage qui était venu récupérer Sara. Azura se senti un peu seule, puis tenta tout de même de garder son sang-froid et tenta une percée en tirant sur les ennemis. Pendant ce temps, Ryô souriait, il avait terriblement raison le Sabo. Par chance, Erion fini par revenir avec un médecin qui s'occupa très vite de retirer la balle et de soigner le médecin, tandis que les trois hommes tous vêtus de noir regardaient la scène sans rien dire. Lorsque Ryô fût tiré de ce mauvais pas, le médecin vint s'occuper des soldats encore en vies et qui pouvaient être soignés, bref tout semblait bien s'arranger, maintenant il ne restait plus qu'à récupérer Sara, ce qui ne serait pas une mince affaire.

HS : Voilà à quoi ressemble la robe de Sara

Spoiler:

Lucky dû étouffer un rire en voyant les gardes partir et laisser leur supérieur toute seule. Lucky dit ensuite : "Tu vois? Moi, les membres de mon équipage ne m'auraient jamais laissé tomber comme tes gardes l'ont fait. Et tu sais pourquoi? Parce qu'ils sont mes amis et on ne laisse jamais tomber ses amis".

La fille se met à tirer, un geste de désespoir? Allez savoir. En tout cas, cette fois-ci, Lucky ne comptait pas la laisser blesser une autre personne. Il se met à gonfler en inspirant l'air. Devant un ballon gigantesque juste devant ses compagnons et les protège ainsi en encaissant les balles qui rebondissent. Il se dégonfle en soufflant un grand ouragan vers la fille. Il allonge ensuite son bras pour la saisir par le col et la raccourcis à à grande vitesse de sorte à ce qu'à l'arrivée elle frappe son poing. La vitesse ajoutait bien sûr de la force à l'impacte. Il se met alors à la secouer comme un prunier en semblant être en colère au point d'être fou.

"Dis-moi où est Sara! Vous avez intérêts à ne pas lui avoir fait du mal sinon je vous tue! Allé! Dis-moi où elle est!"

Alors que Nojiko parcourait les couloirs, elle surprend une conversation entre deux femmes de chambres. Elles parlent d'un mariage et d'une princesse qui serait blessée. Nojiko se demande s'il s'agissait bien de Sara. Si c'était le cas, la situation devenait vraiment urgente. Nojiko continuait de parcourir les couloir et finit par arriver au salon où se trouvait un homme en train de bouquiner, espérant qu'il ne s'agissait pas d'un garde, Nojiko affiche un air gênée et dit : "Ho! Excusez-moi, monsieur, je me suis encore perdue. Je cherche la chambre de la princesse pour la préparer au mariage, mais ces couloirs se ressemblent tous décidément".

Lorsque Nojiko s'adressa au père de Sara, ce dernier ne répondit pas tout de suite,, car il terminait sa page, puis lorsque ce fût fait, il plaça un marque-page à l'intérieur, qui semblait être une enveloppe colorée avec une lettre à l'intérieur. Il posa ses yeux sur Nojiko, yeux qui étaient de la même couleur de ceux de Sara, puis après l'avoir jugée du regard, il se mit à sourire, puis se redressa en se mettant plus prêt du bord, pour pouvoir être encore plus proche de la jeune fille.

- Tu perds ton temps, elle n'est pas dans sa chambre. Allons jeune fille ne me dit pas que tu es une simple femme de chambre ?! Tu vaux mieux que ça. Oh elle revient déjà ? Tais-toi et laisse-moi parler si tu veux avoir la chance de pouvoir aider la jeune fille. Prend juste un air effrayé lorsqu'elle posera les yeux sur toi, tu as l'air de bien jouer la comédie, tu devrais t'en sortir

Après avoir dit ces paroles, il pu voir sa femme revenir au salon avec un tuyau en métal dans la main, ce qui eût l'air de surprendre l'homme, qui était en train de ce demander ce que cette folle-dingue avait encore fait, mais en la voyant revenir avec un regard triomphant, il se dit qu'elle n'avait pas fait quelque chose de très glorieux. Lorsqu'elle le vit toujours à la même place, mais beaucoup moins affalé qu'avant,e lle soupira, l'air exaspérée

- Encore planté ici ? Vous devez vous pressé ! Et qu'est-ce que c'est que ça ?

- Un premier cadeau de mariage, j'attendais ici pour le réceptionner.

- Une esclave pour ce déchet ?! Hummmm... j'aime beaucoup son regard... Quel gâchis de lui donner ceci !

- Oh vous savez, moi j'y peux rien si ce colis n'est pas pour nous. Dites, vous avez fait quoi avec ce tuyau ?

- Vous n'y pouvez jamais grand chose ! Et bien c'est évident ! Vu que cette saloperie de blondasse a quand même essayé de s'enfuir, je l'ai dévissé et je lui ais cassé la jambe avec. Pour être honnête avec vous, je ne pensais pas que c'était possible, car ce tuyau ne semblait pas être aussi solide que je ne le pensais, mais heureusement, il a tenu le choc.

- Vous... Vous... Vous avez cassé la jambe de votre fille ? Mais vous êtes consciente de ce que vous avez fait ?!

- Exactement ! De plus, ça permettra à son futur mari de s'en occuper un peu, pour lui faire croie qu'il l'aime, comme ça, ça lui permettra de la dresser un peu et puis lorsqu'elle sera rétablie, elle sera bien conditionnée pour ses tâches de femme au foyer !

- Et en ce moment, elle est où ?

- Et bien, en faites j'hésitais entre la stocker dans un placard ou bien la mettre à la cave ou dans le grenier, mais puisqu'elle doit rester propre, je l'ai enfermée dans sa chambre. Soit, allez stocker son nouveau jouet où vous voulez et allez vous préparer !

La femme avait pointé du doigt Nojiko, puis avait ensuite abaissé son index et l'avait regardée en ayant l'air de beaucoup aimé son regard. Par contre, lorsqu'elle avoua avoir cassé la jambe de Sara en parlant à son mari d'une voix très décontractée, comme si elle venait de lui énumérer sa liste de course, ce qui choqua l'homme qui était en train de se demander s'il avait épousé une humaine ou bien un monstre, mais en acceptant de s'unir par amour à une Dragonne Céleste, il devait s'attendre à partager avec elle le meilleur et surtout le pire. Lorsqu'elle s'en alla, l'homme se pencha en avant en mettant ses deux mains sur son front en ayant l'air dépité.

- C... comment elle peut faire autant de mal à sa propre fille ? Je suis désolé, je ne suis qu'un poltron, je n'ai rien osé lui dire et toi tu dois être choquée n'est-ce pas ? Au final, elle se trouve bien dans sa chambre et tu ferait bien de te dépêcher si tu veux la sauver à temps ! Sa chambre ? A l'étage du dessus tout au fond à droite, c'est une porte rouge, tu ne peux pas te tromper !

L'homme avait l'air d'être sur le point de pleurer, il se releva, puis parti en laissant son livre sur la table. Pour être ému à ce point et ne rien oser faire alors qu'il était en état de choc, cela voulait dire qu'il manquait vraiment de courage, car s'il l'aurait voulu, il aurait réussi à lui faire regretter son geste. Pendant ce temps, Sara était dans chambre en étant en pleure. Cette femme, ce n'était pas sa mère, elle allait se réveiller, c'était un cauchemar, elle allait se réveiller ! Voilà ce qu'elle était en train de penser en ne pouvant même pas bouger de son lit tellement elle avait mal à sa jambe cassée, et dire qu'elle avait juste tenté de se tirer au moment où sa mère arrivait, décidément, elle n'avait pas de chance en ce moment même. Pendant ce temps, du côté d'Azura, cette dernière se faisait secouer comme un prunier par Lucky qui tentait de lui faire cracher le morceau. Par sa faute, son armure était cassée, car elle n'avait pas résister à l'impacte de ses coups. Pff si elle aurait su que c'était de la mauvaise qualité, elle l'aurait faite renforcée, mais bon en même temps, elle ne pensait pas rencontrer des gens aussi puissant que cet équipage

- Des larbins restent des larbins et ils se doivent d'obéir, alors inutile d'être ami avec ! Sara ? Elle est dans le château, par contre, c'est trop tard, notre mère ne l'aime pas, alors tuez-moi tout de suite, mais ça n'y changera rien

Pour cette fois, elle avait raison, car la tuer ne changerait pas au fait que sa mère n'avait pas torturé sa propre fille. Pendant ce temps, Ryô avait été impressionné par l'attaque de Lucky, décidément, il n'était pas le capitaine pour rien, il savait quand agir et comment se débrouiller pour sauver son équipage. Sabo lui dit par la suite sa façon de penser, tout en lui posant des question et en lui faisant une demande, à laquelle il ne pouvait pas dire non.

- Je t'examine dès que je peu. Sara doit être mariée pour ce soir au fils d'un homme crapuleux et à la méchanceté sans limites. Sa mère a besoin de ce mariage pour obtenir plus de terres et de richesses. Sa mère est une Dragonne Céleste et ça, Sara n'a toujours pas digéré le fait d'en être aussi une. Cette femme s'ennuyant un peu trop, est partie en mer pour devenir pirate et à force d'étendre sa cruauté et son ingéniosité un peu partout, elle a réussi à devenir la reine de cette île, alors faire des mariages arrangés, c'est pas quelque chose d'anodin chez eux, de plus, c'était pour elle une bonne façon de s'en débarrasser, mais moi, je n'ai jamais été pour

- Tu n'es pas obligé de dévoilé la vie de mer devant eux espèce de sale chien galeux !!!

[color=orange]- Si je le suis Azura ! Ce n'est pas parce qu'elle t'a acheté dans un marché aux esclaves que tu dois tout le temps être de son côté ! [/color¨]

- ça non plus tu n'étais pas obligé de le dire ! Mécréant !

- Si tu le dis... Leur mère a tout le temps essayé de tué sa propre fille aînée, car elle avait une santé fragile à l'époque. Et moi, je ne vaux pas mieux qu'elles, car je l'ai ramenée ici... J'étais obligé, car elle avait menacé de tuer mon meilleur ami et mon disciple. Puisqu'elle n'est jamais du genre à plaisanter, il fallait bien que je fasse ce qu'elle avait dit, surtout qu'elle allait aussi tuer ces trois abrutis. Erian, Arnulf, Citrine, est-ce qu'il va bien ? Vous l'avez protégé durant tout ce temps où j'étais pas là et que j'avais pas besoin de vous en mission ?

- Oui ! Oui nii-san !!!

- Alors je suis rassuré

Depuis où elle était, Azura avait entendu ce qu'avait raconté Ryo sur sa mère et elle n'avait pas du tout apprécié. Par contre, lorsqu'il dit d'où elle venait, elle trembla, puis faillit pleurer, elle avait l'air terriblement en colère contre Ryô et dès qu'elle en aurait l'occasion, c'était plus que certain qu'elle le tuerait, mais le médecin se fichait bien de ce qu'elle pouvait penser et continuait à parler. En sachant que son ami était sain et sauf, il avait été si heureux qu'il en avait été tout ému. Un jour, avec son père, il avait trouvé le trio des ombres, comme il aimait les appeler, ainsi qu'une drôle de créature qui semblait être le croisement entre un chien et un humain. Ces quatre personnages s'étaient enfuit de l'île de Végapunk où l'on avait fait plusieurs expériences sur eux. Ils étaient sensés mourir, mais son père et lui avaient fait le maximum et grâce à eux, ils étaient encore en vie. N'ayant pas de nom, il leur en avait donné et s'en était occupé comme un grand-frère l'aurait fait avec des petits frères et une petite sœur. Et oui, maintenant vous savez ce qu'il faisait entre les consultations, les visites à Sara et les révisions pour être un bon médecin.

Suite aux paroles de la fille au sujet des larbins, Lucky dit : "Des larbins, hein? Et bien si c'est tout ce qu'ils sont pour toi il faut pas t'étonner de finir toute seule!"

Ryô finit par leur expliquer la situation et en profite pour raconter un peu l'histoire de Sara. Il fut d'ailleurs étonné d'apprendre qu'elle était une Dragonne Céleste, mais il s'en fichait. Elle restait tout de même son amie et sa cuistot quoi qu'il en coûte. Et cette femme qui faisait du mal à Sara, quitte a attirer un amiral de la Marine, il ne laisserait pas ses actes impunis. Il prend Azura et la lance violemment au loin. Tellement loin qu'elle arrive au château sans toucher le sol. Lucky eut un regard sombre et dit aux autres : "Allons-y, on va sauver Sara et empêcher ce mariage".

Il parle d'un ton calme, ce qui devait d'ailleurs être un peu effrayant pour ceux qui le connaissaient car cela voulait dire qu'ils allaient passer aux choses sérieuses. Lucky commence alors à avancer doucement, les poings serrés.

HRP-J'ai repéré le lien, par conte, ça aurait été mieux que tu mettes la version française je trouve. ^^-HRP

Suite aux paroles de l'homme, Nojiko tressaillit car à l'entendre, il semble avoir compris la véritable raison de sa présence et eut peur sur le coup qu'il appelle les gardes. Mais au final, il lui fait comprendre qu'il veut l'aider à sauver Sara et lui donne des consignes avant l'arriver d'une femme belle, mais Nojiko voit dans son regard que ce n'était qu'une beauté cruelle. Quand elle la regarde en la complimentant, elle se contente de détourner le regard sans rien dire. Par contre, quand elle avoue avoir casser une des jambes de Sara, une des jambes qui faisait partie de ses armes redoutables, elle serra les poings et les dents, sentant la rage monter en elle, tellement qu'elle en trembla. Sans le vouloir, elle faisait bien son rôle de fille apeurée car les tremblements sont des signes de peurs, sauf qu'en réalité, elle n'avait pas peur, mais elle était très en colère. Elle trouvait cette femme monstrueuse, aussi monstrueuse que Arlong. Elle se calme et desserre les poings quand la mère de Sara s'en va et écoute le père de Sara.

"Merci de votre aide. Si vous voulez un conseil, vous devriez arrêter de jouer au petit chien obéissant avec elle et vous rebeller un peu, affirmer un peu mieux votre position. Qui sait? Peut-être qu'elle vous aimera encore plus en mâle dominant et en plus, ça aiderait mieux Sara".

Sur ces mots, Nojiko s'en va et se rend à la chambre de Sara où elle la voit en mauvais état.

"Mon dieu! Ma pauvre Sara, vient, les garçons nous attendent dehors. Je sais que tu as mal, mais je suis là, tu peux t'appuyer sur moi. Ho et puis, me raconte pas des histoires, il te suffit de te transformer en sable et t'envoler pour partir d'ici. Allé".

Nojiko s'approche et l'aide à se relever.

HS : J'ai trouvé le lien, par contre pour moi, y a pas besoin de vf, je connais ce passage par cœur =) Oh et pardon pour le post d'avant, l'île c'est Punk Hasard et pas Végapunk

Le père pensait qu'elle avait peut-être raison, mais n'osait cependant pas s'affirmer, il avait trop peur. Lorsque Nojiko réussi à ouvrir la porte fermée à clef, sûrement la clef avait été oubliée sur la porte, ce qui ne serait pas la première fois, car pour ce genre de détail, sa mère avait la tête en l'air. Lorsqu'elle ouvrit la porte et se mit à lui parler, Sara sursauta, puis leva la tête en la regardant avec un regard remplis de larmes, ce qui changeait de son regard fier et de son caractère survolté, surtout pour les bastons ou pour corriger Lucky lorsqu'il allait se servir la nuit dans le frigo sans demander la permission, ce qui ne changeait pas vraiment de la journée, il fallait vraiment mettre une serrure pour régler le problème. Enfin bref, pour l'instant, il y avait plus urgent.

"Je peux pas ! J'ai des menottes en granit marin aux poignets, ça m'empêche d'utiliser mon pouvoir et le comble c'est que la clef a été oubliée sur la table de de chevet ! Et puis, vous auriez mieux fait de partir ! Oh Nojiko ! C'était horrible ! Ma mère ne m'aime pas et ça me fait super mal, enfin je sais pas si c'est la jambe ou mes sentiments qui me font le plus mal en ce moment... Désolée, tu vas devoir faire la cuisine à ma place"

Sara parlait de faire la cuisine alros qu'il y avait plus important que ça en ce moment même, mais bon, quand on aime faire à manger pour ses amis, il était tout à fait normal qu'elle soit un peu triste de ne pas pouvoir faire grand chose durant ces prochains jours. Lorsqu'elle fût libérée, Sara pu s'appuyer sur l'épaule de son amie en serrant les dents, n'ayant pas encore la force d'utiliser son pouvoir. Tout en marchant comme elle le pouvait, sans se plaindre, elle se mit à déambuler dans les couloirs. Arrivant au premier étage, avec beaucoup de peines, il y avait encore le rez-de-chaussée à descendre, ce qui semblait être impossible à franchir, car plusieurs gardes leur bloquèrent le chemin.

- Halte-la ! Où allez-vous avez la princesse ? Pas de kidnapping ici ! Allez la remettre dans sa chambre !

"Mais j'étouffe moi ! Il me faut de l'air sinon je vais mourir asphyxiée entre ces quatre murs ! Et vous savez, pas de princesse, pas de mariage, ma mère va vous tuer si vous me laisser faire un malaise !"

- Euh... à votre avis les gars ?

- C'est du bluff !!!

- C'est bien ce que je me disais... De plus, si vous, vous échapper, on va quand même se faire tuer, donc, on va ouvrir les fenêtres et vous reconduire dans votre chambre ! Allons pas de discussions, on vous veut en pleine forme princesse ! Et arrêtez d'avoir ce regard si triste, ça nous donne le cafard

Sara jouait un peu la comédie en disant qu'elle manquait d'air, mais en voyant que ça ne fonctionnait pas et que les gardes étaient gentils avec elle, elle eût l'air super triste, car la plupart des gens étaient symap sur cette île, ce n'était que par la faute de sa mère s'ils étaient aussi détestable. En voyant que la détermination de tout à l'heure venait de faire place à des regards pleins d'empathies, la jeune femme regarda brièvement son amie en se disant qu'avec son charme, ils n'auraient pas de problèmes pour passer. Cela aurait été plus simple si une ombre n'avait pas surgit, ce qui les avait fait trembler de peur en voyant une panthère noire s'approcher d'eux en ayant l'air pas contente du tout.

- Oh non voilà Lily, les yeux de notre reine !

"Tient, elle est pas morte ? Hey Lily ça boum ? Euh non s'il te plait ne va pas chercher ma mère ! Hey revient ici sale bête ! Pff les gars, quoi que vous fassiez, vous êtes cuit"

- Ouais, on sait ! Bon dans ce cas, autant vous aider à passer les escaliers, ça sera plus rapide !

Lily ne parlait pas, mais savait très bien se faire comprendre par sa maîtresse et meilleure amie. Elle était ainsi surnommée "Les yeux de la reine", car lorsqu'elle passait, dans les quelques minutes qui suivaient, la mère de Sara était au courant de ce qui ce passait et débarquait dans la pièce pour juger les malfrats. Les gardes se sentant condamnés, préférèrent aider les jeunes filles à s'enfuir. Ils n'eurent pas le temps de descendre des escaliers pour arriver au rez-de-chaussée que la mère de Sara était déjà là, et bien, elle était rapide, tout allait donc se jouer au premier étage, évidemment, l'ayant vue monter, ils avaient bien reculé avec les demoiselles pour qu'il ne leur arrive rien, mais cela ne fût pas le cas, car dès qu'elle les vit, elle envoya un de ses doigts contre l'épaule de Sara, ce qui la transperça comme si elle lui avait tiré dessus. Sa mère savait utiliser le Rokushiki ? Pas étonnant qu'elle sache se faire entendre de ses hommes, même si elle n'utilisait pas tout le temps ses techniques, car elle préférait les utiliser pour un véritable combat et elle allait être servie avec Lucky et sa bande qui allait bientôt arriver. Sous l'effet de surprise, les hommes s'éparpillèrent, ce qui fit que Sara tomba par terre, ce qui lui arracha un cri de douleur. Bon dans son malheur, elle avait de la chance, car son fruit du démon était en train de refermer lentement le trou qu'elle avait à l'épaule, ce qui voulait dire que ses pouvoirs étaient en train de revenir, ce qui était plutôt bon signe.

- Espèce d'infidèles ! Vous deviez la ramener dans sa chambre et pas l'aider à s'échapper ! Désobéissez-moi encore une fois et ce soir, à la fin du mariage, on allumera un grand feu pour célébrer ce nouvel union. SARA ! Vient par là sale trainée ! Tu avais interdiction de sortir de ta chambre et tu vas y retourner illico-presto !

Les hommes, préférèrent retourner à leur poste de travail plutôt que de finir brûlé vif pour faire office de spectacle ce soir, et vu que c'était déjà arrivé pour d'autres gens de son petit personnel, ils savaient que ce n'était pas que des menaces en l'air. La mère lui donna plusieurs coups avec son pied, puis la releva de force et la tira par le bras pour tenter de la ramener dans sa chambre. Bien évidemment, Sara n'arrivait pas à se défendre, elle avait trop peur et elle avait trop mal. Pendant ce temps, Ryô avait hoché la tête, puis s'était relevé et avait suivit Sabo en marchant à ses côtés sans rien dire, tout en étant très sérieux. Ils étaient escorté par le trio des ombres, qui semblaient être prêt à en découdre pour aider leur "grand-frère" dans cette quête pour libérer Sara. Lucky voulu passer, mais on ne le laissa pas entrer, alors Sabo déblaya le passage, ce qui permit à toute la clique de pouvoir avancer, ils pouvaient maintenant pénétrer dans l'immense bâtisse sans problèmes, car ayant vu comment leurs collègues s'étaient fait casagnés, ils préférèrent s'abstenir et les laisser rentrer.