Retour à la case prison

Sujet: Retour à la case prison Mer 5 Sep 2012 - 22:50

Trop c'est trop, il ne la supportait plus ! Assez ! Qu'elle disparaisse de sa vie ! Bon il devait faire son travail de marine et s'occuper de cette furie, ce qui était tout à fait normal, mais là, il n'en pouvait plus. Quand il ne l'assomait pas pour avoir la paix, cette cinglé se jetait sur les barreaux de sa cellule pour les latter sans relâche pour tenter de les briser et elle n'arrêtait pas de râler où de trouver un autre pretexte pour els rendre aussi cinglés qu'elle, c'était donc la raison pour laquelle il fallait qu'il s'en débarasse avant qu'il ne la tue de ses propres mains. Il aurait bien aimé envoyer Elysa faire la sale besogne et décharger ce boulet à sa place pour éviter de se faire surprendre par Reito Takashi, car si ce dernier le voyait, il allait mettre sa menace à execution et comme il n'était pas tant chaud pour la recevoir, il était aussi normal qu'il veuille envoyer sa surbodonnée à sa place, mais cette dernière n'était pas disponible. Pour quelle raison me demanderez-vous ? Et bien, la principale intéressée lui avait dit qu'elle avait un rendez-vous diplomatique avec ledit sous-directeur empoisonné, mais Edward n'était pas dupe. Ah bah oui, on ne la lui fait pas à lui ! Parce que, tout de même, rentrer cinq jours plus tard ,alors qu'il en avait dit qu'un, en ayant un grand sourire béat et en ayant de la peine à marcher, il ne lui avait pas été difficile de comprendre que les deux compères avaient conclus et qu'elle ne pouvait plus se passer de lui. Cependant, ce qu'il ne savait pas, c'était qu'elle avait utilisé ce pretexte pour rejoindre l'équipage de Mordekaiser... Enfin bref, quoi qu'il en soit, il devait faire le boulot lui-même et ça l'ennuyait tellement qu'il trainait les pieds par terre.

*Pourquoi c'est toujours à moi que ça arrive ce genre de chose ? J'en ais marre d'avoir la poisse !*

Après avoir émit un grand soupir, il se mangea une bonne partie de sa boite de cookie pour se donner du courage. Lorsqu'il fût boosté, il se dirigea vers les prisons d'un pas un peu plus rapide. Une fois arrivé à l'endroit prévu, il prit un trousseau de clé, puis il s'approcha à pas de loup pour tenter de ne pas réveiller le monstre, mais c'était peine perdue, car dès qu'il arriva en face de la cellule, il la trouva sur son lit de fortune, collée contre le mur en ayant les bras appuyés dessus et en ayant l'air essouflée. Bon au moins, un point positif, c'est qu'il pourrait profiter qu'elle se repose pour pouvoir la transporter jusqu'à Impel Down.

"Salut la lionne t'es en forme aujourd'hui ? Tu sais, ça ne sert à rien de t'abimer les pieds, je vais te faire sortir, mais... pour t'ammener dans une nouvelle cellule. Tu vas voir... euh ça va être rigolo, tu vas pouvoir emmerder d'autres marines, c'est pas génial ? Il paraît que tu n'as pas fumé pendant deux mois et que ça te met de mauvais poil, alors si tu es sage, je t'offre une cartouche entière de clopes, ça te va ?"

Elle avait l'air de s'en contrefoutre de sa proposition et semblait même ne pas avoir envie de changer de cellule et de personnel, enfin, jusqu'à ce qu'il lui promit de lui offrir une cartouche remplie de cigarettes, ce qui la fit tout de suite changer d'avis. Edward avait prononcé le mot magique et il savait qu'elle se tiendrait à carreau durant le voyage, disons plutôt qu'elle essayerait d'être sage. Quand il ouvrit la porte de sa cellule avec le trousseau de clé et qu'il lui fit signe avec sa main d'en sortir, la jeune femme se leva, puis elle marcha d'un pas lent en mettant ses mains dans ses poches en n'ayant pas l'air pressée, juste pour le faire enrager une dernière fois, ce qui fonctionna parfaitement. Dès qu'il s'énerva et voulu la prendre par le poignet pour la faire avancer plus vite, la demoiselle se retourna et lui donna un coup de pied dans le ventre, mais elle se fit plus mal qu'autre chose, car Edward avait utilisé le Tekkai en se doutant bien que cette sauvageonne tenterait de l'agresser. Après avoir fortement espéré qu'elle s'était cassé le pied, Edward avança et la demoiselle dû le suivre en boitant. Une fois sorti de la prison, le blondinet l'emmen sur l'un des bateaux de la marine avec une petite escortes de subordonnés. Une fois qu'elle fût installée, il lui donna sa cartouche qu'il lui avait promit et grâce à cette dernière, il n'eût pas d'ennuis durant le trajet. Une fois arrivé à Impel Down, il fit descendre la demoiselle du navire et lui tint bien fermement le poignet pour éviter qu'elle ne s'échappe, puis tout deux attendirent l'arrivée de l'un des deux sous-directeurs ou du directeur de la prison qu'il avait contacté avant de venir leur rendre une petite visite

Invité

Ilpalazzo s'ennuyait, seul dans son bureau. Flemme d'aller torturer un prisonnier, pas envie de jouer de la musique, non. Ilpalazzo attendait, affalé sur sa chaise, les pieds sur le bureau, fixant l'horloge.

-Bientôt l'heure...

L'heure de quoi? Eh ben, pour ca faut retourner quelques heures en arrière, alors que le directeur convoquait le transdémonique dans son bureau. Visiblement, un certain Nightmare Edward fesait de nouveau appel à eux, pour cette fois ci accueillir Sara Akatsuki, la cuistot des Mugiwara. Bien sûr, le jeune directeur confia cette tâche à Ilpalazzo, qui sortit du bureau après un "oui, chef, bien, chef". Et le voici à attendre. Dix minutes plus tard, il se leva et commença à traverser l'entièreté de la prison pour se retrouver à l'entrée d'Impel Down, la ou l'attendrait Edward. Le voyant de loin avec une bonde au longs cheveux, il s'approcha.

-Ilpalazzo Krichevskoy, sous-directeur d'Impel Down. Vous êtes Edward Nighmtare, si je me trompe pas. Et la jeune fille.... Sara Akatsuki, c'est ca?

Quelque chose qui aurait pu surprendre le marine aurait été qu'Ilpalazzo ne portait pas l'uniforme d'Impel Down, comme toujours. Mais il ne le met que si son supérieur l'y oblige. En attendant...

Sujet: Re: Retour à la case prison Ven 7 Sep 2012 - 0:12

Sara était couchée sur son lit de fortune et rêvait à son ancienne vie où elle vadrouillait d'îles en îles avec son équipage. Lorsqu'elle eût terminé de dormir, elle se réveilla et fût démoralisée en voyant les mêmes barreaux et les mêmes menottes en granit marin qui l'empêchaient de s'enfuir. Tout en s'étirant et en se levant, elle se posa une question existentielle : Quel marine allait-elle faire tourner en bourrique ? Vu que cela faisait depuis deux mois qu'elle n'avait plus de clopes et que ces imbéciles de gardes ne voulaient pas lui donner un autre paquet, il fallait bien qu'elle s'occupe pour faire passer le temps. En attendant de trouver quelqu'un à embêter, elle se vengea sur les barreaux de sa cellule. De cette façon, elle continuait à faire du sport et ne perdait pas les mouvements des techniques qu'elle avait apprises, de plus, en passant ses nerfs sur les barreaux, elle se doutait bien qu'un jour ou l'autre, ils finiraient par céder, alors c'était la raison pour laquelle elle ne perdait pas espoir. Au bout de deux heures d'entrainements, elle était essouflée, alors elle s'était mise en position assise sur son lit de fortune tout en callant son dos sur le mur de sa prison tout en y appuyant ses deux bras écartés. Toutefois, elle n'eût pas le temps de se reposer, car quelqu'un fit son apparition. Ce quelqu'un, c'était Nightmare Edward, chic elle allait pouvoir l'embêter ! Elle l'écouta parler, mais sa proposition n'eût pas l'air de l'intéresser, enfin ne l'intéressait pas du tout jusqu'à ce qu'il prononce le mot magique.

"Ah parce que l'état de mes pieds t'intéressent à présent ? Première nouvelle... De plus, cet air enthousiaste en dit bien long sur ta façon de penser, mais ça, fallait y réflechir avant de m'attraper tadier ! Cependant, je vois que tu me prend par les sentiments, pour une cartouche, je suis prête à me prostituer, alors ne t'en fais pas, je serais sage"

Dit-elle en ayant une forte envie de mettre sa main droite derrière son dos et de croiser ses doigts. Ensuite, elle se leva et traina les pieds pour sortir de la cellule que l'Edward lui avait ouverte. Une fois dehors, il voulu la prendre par le poignet pour la forcer à avancer plus vite, mais elle n'apprécia pas son geste, alors elle s'écarta et se retourna pour lui donner un coup de pied dans le ventre, ce qui fût le plus bel échec de sa vie, car dès qu'elle le toucha, il utilisa le Tekkai pour se protèger. Ayant donc frappé du diamant, la demoiselle émit un petit cri de douleur et resta sur place durant quelques minutes en attendant que la douleur passe. Lorsque ce fût le cas, elle le suivit en boitant jusqu'à l'embarcation qui allait les mener à Impel Down. Edward l'installa dans un coin et lui donna sa caayrtouche de cigarette, le plus beau cadeau que le colonel avait pu lui faire dans sa vie. Ses yeux étant remplis d'étoiles, la demoiselle aurait embrassé ce sale type s'il n'aurait pas été de la marine. Savourant donc sa drogue, son corps était présent, mais pas son esprit qui était complétement ailleurs. Une fois arrivé à destination, la demoiselle rengea la cartouche dans l'une de ses poches ainsi que son briquet et suivit le colonel sans faire de discussions. Bon la cartouche dépassait de sa poche, mais tant pis, l'importance était qu'elle avait sa ration de survie avec elle. Après être descendue du bateau, elle attendit la venue du sous-directeur en se demandant à quoi il ressemblait.

"On est sensé attendre longtemps comme deux paumés l'arrivée de ton "collège" ?"

Râla la demoiselle en ayant marre d'avoir le poignet compressé par la main de son gardien. Quelques minutes plus tard, un beau garçon, enfin disont plutôt, un magnifique jeune homme apparut. Si c'était lui son nouveau gardien, alors elle le suivrait sans problèmes, le coincerait dans un coin, puis après l'avoir amadoué, elle se carapaterait loin, très loin d'Impel Down, si elle y arrivait bien sûr, car il était très complexe d'en sortir et puis, son plan n'était pas au point, donc il faudrait qu'elle trouve quelque chose de mieux pour avoir la chance de revoir un jour ses nakamas.

"Oui, c'est bien mon nom... Hm alors comme ça vous êtes sous-directeur ? Quel boulot ingrat pour un si beau jeune homme comme vous ! Vous savez, si vous, vous ennuyez dans votre bureau, je veux bien vous tenir compagnie."

Ces paroles remplies de sous-entendus n'étaient pas dites au hasard, car la demoiselle faisait exprès d'être charmante pour éviter de se faire tout de suite torturer, car il était tout à fait normal qu'ici on ne lui ferait pas de cadeaux et qu'elle en baverait beaucoup plus que dans son ancienne cellule.

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Sujet: Re: Retour à la case prison Ven 7 Sep 2012 - 0:37

En entendant la demoiselle râler, le colonel soupira d'exaspération et leva les yeux au ciel en priant pour qu'Ilpalazzo vienne à l'heure à leur rendez-vous. Ce dernier était à l'heure, ce qui était une très bonne nouvelle, voir une excellente. Le principal intéressé se présenta tout en ayant l'air de savoir qui ils étaient, ce qui était plutôt une bonne chose, car ce qui était dit n'était plus à redire. Il voulu prendre la parole, mais Sara le coupa en faisant des avances au sous-directeurs. Pour éviter à Ilpalazzo d'avoir les oreilles cassées dès le premier jour, il mit sa main sur la bouche de la prisonnière pour l'empêcher de parler.

"Ne l'écoutez pas, elle est en train de vous menez en bateau. Et oui, malheureusement, sous ces airs angéliques ce cache un véritable démon qui vous fera vivre un calvaire si vous ne la cadrez pas bien dès le début. Sinon, vous ne vous trompez pas, c'est bien mon nom, enchanté de faire votre connaissance. J'ai souvent entendu votre nom prononcé par votre ami, alors j'avais hâte de vous rencontrez, mais aussi de me débarassez de cette chipie !"

Après avoir décrit Sara comme étant une personne mauvaise, il enleva sa main de sa bouche, puis il l'approcha du sous-directeur et la lui confia en ayant l'air soulagé d'en être débarassé, mais aussi de ne pas avoir croisé Takashi dans le coin.

"Tient c'est étrange, vous ne portez pas des vêtements digne de votre classe... Bah ça ne fait rien après tout, moi aussi je ne porte jamais l'uniforme... Bon si tout est en ordre et que vous n'avez pas de questions à me posez, puis-je m'en aller ?"

Il avait dit tout ce qu'il avait à dire sur Akatsuki Sara et il avait réussi sa mission à cent pour cent, mais il ne pouvait s'empêcher d'être un peu inquiet pour Ilpalazzo. Bien sûr, il était sous-directeur et savait s'y faire avec les pirates récalcitrants, mais il se demandait s'il arriverait à en faire façon, ce qui éviterait à ses subordonnés de pêter des câbles.

Invité

Juste après que le Gardien eut fini de parler, la dénommée Sara essaya d'amadouer Ilpalazzo. Soit elle venait de flasher sur lui, soit elle avait prévu de charmer le démon pour fuir en douce. Ce qui serait difficile, Ilpalazzo n'étant pas dupe. Mais le marine fit vite taire la blonde avant de la décrire comme étant un démon sous ses airs d'ange. Il précisa ensuite qu'Ilpalazzo ne s'était pas trompé, et aussi que Takashi avait souvent cité son nom. Normal. Edward conclut en disant qu'il avait hâte de rencontrer le jeune homme, mais également qu'il voulait se débarrasser de Sara. En même temps, elle avait sûrement fait vivre un calvaire au pauvre colonel.

-Elle? Un démon? Que ce soit vrai ou pas, je suis pire qu'un démon... Au sens propre comme au figuré. Taka' vous a souvent parlé de moi? Ça m'étonne qu'à moitié! D'ailleurs, il semble très bien s'entendre avec cette Elysa que vous lui avez amené l'autre fois... Naaan, elle est si insupportable que ca? Vous bossez pas ici, vous.

La fameuse "démone" fut alors confiée à Ilpalazzo qui lui saisit le poignet, mais pas trop fort non plus. Si elle jouait le jeu, tout se passerait bien. Dans le cas contraire... Edward remarqua ensuite que le gardien ne mortait pas son uniforme. Mais visiblement, le colonel non plus ne mettait pas sa tenue professionnelle.

-Ma tenue? Je la mets que quand le Directeur me l'ordonne. J'ai pas besoin d'un uniforme pour faire comprendre aux détenus quii décide. Sur ce, oui, je n'ai pas de questions, vous pouvez y aller.

Il vit le colonel s'éloigner et emmena donc la mugiwara dans sa cellule, le bureau d'Ilpalazzo. Descendre tous ces étages était vraiment fatiguant, mais faut croire qu'ils avaient pas d’ascenseurs, par ici. Alors qu'ils traversaient le dernier couloir menant au bureau du transdémonique, beaucoup de détenus firent des réflexions sur Sara du genre "elle est bien roulée", "beau p'tit cul" et j'en passe. Ils arrivèrent finalement dans le bureau. Ilpalazzo lâcha Sara, puis ressortit de la pièce en fermant la porte à clef.

-Je reviens.

Il était sans crainte, la serrure étant en granit Marin, aucune chance que Sara n'utilise son Logia pour reformer une clé de sable, ce qui n'empêchait tout de même pas la jeune femme de regardait ce qui se passait. Une fois que les détenus étaient à portée, Ilpalazzo demanda bien fort "Un exemple!" avant de désigner quel qu'un du doigt qui se recroquevilla sur lui même en pleurant. Pourtant, sa carrure de colosse avait de quoi impressionner. Ilpalazzo ouvrit la cellule pour le faire sortir puis il le plaqua à terre avant de lui asséner une série de coups de poings violents qui firent hurler l'homme de douleur, puis le tortionnaire prit sa forme hybride de transdémonique et il attrapa l'homme par le visage en lui claquant plusieurs fois la tête contre un barreau, avant de le renvoyer dans sa cellule par un coup de pied qui l'envoya dans le mur. Il reprit sa forme normale et referma la cellule, comme si de rien n'était.

-On ne mate pas les invitées.

Oui, Ilpalazzo ne considérait pas Sara comme une détenue mais comme une invitée, tout simplement car elle n'avait pas été envoyée derrière les barreaux. Enfin, c'est pas pour ca qu'il allait la laisser se barrer de sitôt. Il retourna tranquillement dans son bureau, n'oubliant pas de fermer la porte, puis il s'assit sur sa chaise, ou plutôt s'y affala, et posa ses pieds sur le bureau, comme quand il attendait tout à l'heure. Il y avait dans la pièce son uniforme, accroché à un porte-manteau fixé au mur, une guitare posée contre le mur derrière le bureau, et une chaine hifi ainsi que plusieurs disques. Bref, que des effets personnels. Mais ce lieu de travail était aussi l'habitat du jeune homme.

Sujet: Re: Retour à la case prison Ven 7 Sep 2012 - 19:22

Lorsqu'il eût enlevé sa main de sa bouche, la jeune femme fit des grimaces au colonel pour lui faire comprendre qu'elle n'était pas contente de ce qu'il avait dit et fait, car il venait de la faire passer pour une terroriste alors que ce n'était pas le cas. Elle les écouta parler, puis elle suivit le sous-directeur d'Impel Down en boitant beaucoup moins qu'avant et en tirant un peu la langue, car monter six étages d'afilées sans faire une pause, c'était plutôt crevant. Une fois arrivés au dernier étage, ils durent marcher dans un long couloir pour arriver juqu'au bureau d'Ilpalazzo. En chemin, elle n'entendit que des commentaires sur son physique, ce qui la fit rougir et la firent aussi sourire, car c'était la première fois qu'elle recevait autant de compliments en une vingtaine de minutes, mais elle ne pouvait pas les blâmer, car cela faisait si longtemps qu'ils n'avaient plus vu une femme... Arrivé à l'endroit prévu, Sara se fit enfermer dans le bureau avant que le sous-directeur ne repparte. Où allait-il ? Qu'allait-il faire ? Elle avait envie de le savoir, alors elle regarda par le trou de la serrure et ce qu'elle vit la fit sortir de ses gonds. Comment pouvait-il être aussi sadique ? Ce prsionnier n'avait rien fait de mal ! Le pire dans tout ça, c'est qu'elle voulait l'aider, mais elle ne le pouvait pas.

" Hey tu ne peux pas faire ça ! Arrête de le frapper salaud !!!"

C'était dans ces cas-là que l'on pouvait pas se tromper sur le nom de l'équipage dont elle faisait partie. Les mugiwars étaient toujours prêts à rendre service aux autres, il était tout à fait normal que Sara pête un câble derrière cette porte de bureau qu'elle aurait bien défoncée si ses jambes ne devaient pas se reposer après la montée d'étages qu'elle leur avait fait faire. Après avoir terminé de frapper le colosse, l'homme revint et lorsqu'il ouvrit la porte, la demoiselle essaya de s'échapper, mais elle n'eût pas le temps, car il était tellement rapide qu'il ferma la porte à clé avant qu'elle ne puisse en sortir, ce qui fit qu'elle se cogna violamment la tête contre ladite porte qui la sonna un peu. Lorsqu'elle eût reprit ses esprits, elle se retourna et s'approcha d'Ilpalazzo qui était affalé sur sa chaise de bureau et avait mit ses pieds sur le bureau pour prendre encore plus ses aises. En marchant vers sa direction, le sous-directeur pu sentir de la colère dans le corps de son "invitée". Une fois qu'elle fût très proche de l'homme, la miss le fusilla du regard avant de lui adresser la parole.

"Que vous m'enfermez passe encore, mais que vous frappiez injustement un homme juste par pretexte qu'il vous faut un exemple et qu'il m'a "matée", c'est inacceptable ! C'est dégueulasse de votre part ! La prochaine fois que vous faites un exemple sur un prisonnier, faites-le sur moi ! Pff ça ce dit un homme et ça n'a même pas les c******s de s'attaquer à quelqu'un de sa taille !"

Sara secoua sa tête pour montrer son mépris, puis elle s'alluma une clope et fit le tour de la pièce pour regarder s'il y avait quelque chose à casser pour venger son geste inapproprié. Elle trouva dans le bureau l'uniforme du tortionnaire et entreprit de le fouiller, mais avec ses menottes en granit marin qu'il n'avait pas enlevées, c'était un peu complexe. Malheureusement, elle n'y trouva pas à l'intérieur une clé ou un objet quelconque qui pourrait ressembler à un trousseau. Etant un peu déçue, elle laissa de côté l'uniforme et continua son inspection. Sara trouva une chaine hifi ainsi que des cds. Sa première pensée fût d'en briser un en faisant passer cet acte par un accident, mais elle n'en eût pas l'occasion, car elle trouva une guitare posée contre le mur, derrière le bureau d'Ilpalazzo. Un sourire démoniaque s'afficha sur ses lèvres avant qu'elle ne s'agenouille devant la guitare pour y passer ses doigts sur les cordes et faire exprès de jouer faux pour faire souffrir les oreilles de son hôte.

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Sujet: Re: Retour à la case prison Ven 7 Sep 2012 - 19:54

Edward écouta la première phrase d'Ilpalazzo en regardant sa détenue qui lui faisait des grimaces une fois qu'il avait libéré sa bouche. Restant de marbre, il se concentra plutôt sur ce que venait de dire le sous-directeur.

"Vous êtes pire qu'un démon ? Parfait, c'est ce qu'il faut à cette jeune délinquante ! Ils ne semblent pas que bien s'entendre, je dirais même qu'ils sortent ensemble en cachette, enfin c'est comme ça que je vois l'affaire, car ils ne m'ont rien dit, mais à chaque fois que ma subordonnée revient d'Impel Down, elle a un grand sourire à la con et a son chemisier mal mit et il lui manque souvent son soustif, mais ce n'est qu'un détail... Sinon oui, elle est insupportable ! Je n'en peux plus ! Elle m'empoisonne la vie et je ne sais plus quoi en faire, donc c'est la raison pour laquelle je vous la confie et espère que vous arriverez à la dresser et à lui faire retrouver sa droiture en lui enseignant la discipline !"

Il laissa Ilpalazzo la prendre par le poignet tout en ayant un grand sourire aux lèvres et en ayant l'air soulagé qu'il lui ait enlevé cette épine du pied. Il était sincère, il espèrait fortement qu'il lui enseigne la discipline pour qu'elle change de comportement. Il avait aussi fait un sourire discret et amusé à la fois lorsqu'il avait décrit la relation entre Takashi et Elysa tout en ayant fait exprès de donner des petits détails en plus pour donner la puce à l'oreille au sous-directeur.

"Soit si tout est en ordre, alors je vous souhaite bonne chance, je viendrais la rechercher quelques jours avant la date de vous-savez-quoi"

Il serra la main du sous-directeur et s'en alla en espèrant qu'il avait comprit de quoi il s'agissait. Il n'avait pas voulu dire de quoi il s'agissait tout haut devant Sara, car si elle était mise au courant qu'à cette date précise, elle allait se retrouver sur l'échaffaud pour se faire executer, elle aurait été intenable et le pauvre Ilpalazzo en aurait aussi bavé que lui. Bah mieux vallait qu'elle ne sache rien... Il monta sur le navire qui l'avait transporté jusqu'à Impel Down pour faire le chemin en sens inverse pour pouvoir repartir vers de nouvelles aventures.

Invité

"Que vous m'enfermez passe encore, mais que vous
frappiez injustement un homme juste par pretexte qu'il vous faut un
exemple et qu'il m'a "matée", c'est inacceptable ! C'est dégueulasse de
votre part ! La prochaine fois que vous faites un exemple sur un
prisonnier, faites-le sur moi ! Pff ça ce dit un homme et ça n'a même
pas les c******s de s'attaquer à quelqu'un de sa taille !"

Ilpalazzo soupira. Quand elle parla de se mesurer à quelqu'un de sa taille, il ricana. Ça existe, ca? Pas ici en tout cas. A Impel Down, on ne trouve que les raclures, les déchets, ceux qu'on ne veut plus voir, ceux qui n'ont loupé la peine de mort qu'à peu de choses... Viols, destructions, meurtres, toutes ces larves cumulaient plusieurs de ces crimes. Et ils sont pour la plupart multirécidivistes. Ils étaient pas enfermés ici pour rien. Enfin, il ne réagit que lorsque cette petite p... peste commença à s’intéresser à ses CDs. Elle n'eut pas le temps de briser les oreilles d'Ilpa très longtemps, car en l'espace d'une demi-seconde, il prit sa forme Hybride et plaqua la blonde contre un mur en la choppant par le cou.

-Ecoutes-moi bien, toi, la petite conne qui s'est fait capturer toute seule comme une imbécile, ca fait deux ans que je bonne comme ca et c'est pas toi qui va me faire changer mes habitudes, OK? Les connards enfermés dans ce cercle ou violé, même des petite filles, ils ont décimé des îles entières, ils ont tué, et ce pas qu'une fois... Tout le monde sait ce que je fais aux prisonniers ici, et c'est précisément pour ca que c'est moi leur gardien! Me mesurer à quel qu'un de ma taille? Déconnes pas, y'en a pas un dans toute cette putin de bâtisse qui pourrait m'effleurer. Et puis si tu savais au moins ce que j'avais vécu, tu dirais pas la même chose. Maintenant tu vas te la fermer, capiche? Apprends qui je suis et on pourra parler.

Il lâcha son étreinte puis utilisa les pouvoirs de son oeil pour donner des visions à Sara qui pouvait ainsi voirs quelques instant de la vie d'Ilpalazzo. Ce dernier reprit ensuite sa forme normale puis se réinstalla sur son siège, comme si de rien n'était.

Sujet: Re: Retour à la case prison Sam 8 Sep 2012 - 1:30

Sara eût la peur de sa vie lorsqu'il l'attrapa par le cou et la plaqua contre le mur après avoir prit sa forme de transdémoniaque. Non mais franchement, c'était quoi pour une apparence ? On aurait dit un monstre que l'on pouvait croiser dans les films d'horreurs ! Elle l'écouta parler en tremblant, puis elle regarda les quelques passages de la vie d'Ilpalazzo que ce dernier lui montra. Lorsqu'il eût terminé son action, il retourna à son bureau tandis que la demoiselle resta bouche-bée durant cinq minutes, le temps que les informations montent au cerveau et de comprendre ce qu'il venait de lui arriver. Lorsque ce fût le cas, elle eût l'air légèrement triste pour Ilpalazzo, car ce qu'il avait vécu était horrible, mais ce n'était pas une raison pour en faire baver les prisonniers qui n'étaient pas tous mauvais. Elle s'approcha de nouveau de la guitare et joua l'introduction de son deuxième thème, ce qui était une grande réussite, puis elle se releva et s'écarta de la guitare pour faire le tour du bureau et poser ses mains sur le meuble. Tout de même, heureusement qu'elle avait terminé sa cigarette avant qu'il ne l'agresse, sinon elle aurait mit le feu à la pièce, ce qui n'aurait pas été une bonne initiative.

"Ce que vous avez vécu n'était pas joyeux, mais il est inutile de passer votre frustration sur les prisonniers, si vous n'êtes pas content de votre vie, pourquoi ne pas avoir quitté Impel Down avec votre ami ? Vu que personne ne peux vous égalez, à part votre ami, vous n'auriez pas eût de problèmes à vous enfuir et à recommencer une nouvelle vie. Vous dites aussi que personne ne peux vous effleurez, mais comment le faire avec du granit marin qui nous prive de nos pouvoirs ? Si je ne les avaient pas, je vous aurais assèché sans problèmes et surtout, sans remords, alors au final, vous ne valez pas mieux que vos détenus en vous conduisant comme un lâche. De plus, il y a certainement des prisonniers comme moi dans la masse, alors vu que vous, vous emmerdez dans ce coin paumé, vous les torturez pour vous occupez, tortionnaire ! Mais bon, vu que je dois me taire, faites comme si je n'avais rien dit !"

Après avoir dit ce qu'elle pensait, elle fit demi-tour et se positionna en direction de l'unique fenêtre du bureau pour ne plus voir Ilpalazzo et pour appercevoir ce qu'il y avait à l'horizon. Qu'est-ce qu'elle faisait Mélian en ce moment présent ? Est-ce qu'elle s'était faite attrapée par la marine elle aussi ? Non, elle était beaucoup trop maligne pour se faire capturer. Et puis, qu'est-ce qu'il était advenu de Faust ? De l'ancien équipage des Mugiwaras ? Allaient-ils bien ? Elle l'espèrait... Comme elle aurait aimé les rejoindre à nouveau pour partir vers le large à bord de leur fidèle navire ! Elle soupira en se demandant pourquoi elle pensait à toutes ces personnes maintenant alors qu'elle n'y avait jamais pensé lorsqu'elle était dans son ancienne celulle... Peut-être étais-ce le fait qu'elle était en train de faire une grosse dépression et qu'elle avait besoin de soutient psychologique, mais ça, ça restait encore à prouver, car elle essayait de ne pas montrer ce qu'elle ressentait exactement pour éviter de passer pour une faible. En pensant à la faiblesse, elle repensa aux paroles d'Ilpalazzo et baissa légèrement la tête en se sentant honteuse quelques minutes avant de se rappeler ce qu'il s'était passé. En repensant à ce salaud d'Edward, une question très bête germa dans son esprit et elle devait la poser avant qu'elle l'oublie. La demoiselle releva la tête et se retourna pour faire face de nouveau au sous-directeur.

"Dites, est-ce que les gens faisant partie du gouvernement peuvent être jugés pour les mêmes crimes que vous venez de me citez ? Parce que c'est bien joli d'arrêtez les pirates, mais certains marines ne sont pas mieux et agissent de la même manière. La personne qui m'a arrêtée à voulu me violer avant de m'envoyer en prison et ça, ce n'est pas un crime ? Ah oui pardon, j'avais oublié, pas parler..."

Pour ne pas parler, elle s'alluma une nouvelle cigarette et fit de nouveau face à la fenêtre en ayant le regard dans le vide tout en repensant à ce qu'il avait faillit lui arriver. Oh bien sûr, il était beau, mais ce n'était pas une raison pour avoir agit de la sorte, car avant d'être une pirate, elle était une jeune femme comme les autres, son statut n'était donc pas une raison valable pour jouer le rôle d'un sale type. Cependant, est-ce qu'Ilpalazzo allait comprendre ses idéaux ? Si ce n'était pas le cas, tant pis elle se ferait de nouveau punir et aurait une réflexion qui ne lui plairait pas, mais ce n'était pas grave, elle pensait qu'elle s'y habituerait vite et puis, de toute façon, elle n'avait pas le choix. Elle soupira en se disant pour elle-même "Bienvenue en enfer".

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Spoiler:

Invité

Ilpalazzo ne put s'empêcher de soupirer face à ce qu'avait dit Sara. Elle avait en partie raison, Ilpalazzo aurait bien voulu s'enfuir mais...

-C'est bien beau de vouloir s'enfuir, mais réfléchis deux secondes. D'une, je suis même pas sûr que j'aurais une vie meilleure dehors qu'ici, et j'ai rien qui me donne vraiment envie de partir, et j'ai peut-être dit que ici, personne pouvait me battre, pas même toi, je sais que tu pourrais me sécher que si tu me touches avec la paume de ta main, mais si je me barre, on aura toute la marine aux fesses, et la, autant dire qu'on risque d'en chier, moi et mon pote. Et ouais, je torture. Mais peut-être que tous les pirates sont pas méchants, pourtant, ceux enfermés dans ce cercle ont tous commis les pires atrocités qui soient.

Ilpalazzo fixa ensuite le plafond, n'ayant même pas porté attention au fait que Sara avait touché à la guitare. Tant qu'elle faisait pas une cacophonie... Il y avait également une raison pour laquelle il ne voulait pas sortir de prison. Le regard des autres... La réputation d'Ilpalazzo avait dépassé les frontières de la prison, et la plupart des gens le verraient comme un monstre... Ici aussi, mais pas de la même manière. Ici, les détenus méritaient bien de se faire maraver, mais dans le monde exterieur, il accepterait mal de se faire traiter de démon, même si c'était légitime, et le jeune homme ne voulait pas s'en prendre à des innocents... Sara lui demanda si les marines eux-mêmes ne pouvaient pas être punis en commettant des crimes.

-Bah... Ça, faudra demander à quel qu'un d'autre... J'ai passé les trois quarts de ma vie ici, alors...

Sujet: Re: Retour à la case prison Sam 8 Sep 2012 - 22:14

Sara écouta ses réponses en ayant l'air presque désespérée et en ayant l'impression de parler à un type qui en avait rien à foutre d'elle. La demoiselle était un peu d'accord avec lui, mais quand même il pouvait faire un effort ! Enfin bref, pourquoi discuter avec un mur ? ça, c'était une bonne question dont elle aurait bien aimer avoir la réponse. Elle ne répondit rien, puis lorsqu'elle eût terminé cette autre cigarette dont elle mit à nouveau le mégot dans un cendrier qu'elle avait repéré et qui devait être servit que très rarement par les invités, car le tortionnaire n'avait pas une tête à fumer autant de clopes qu'elle. La jeune femme s'approcha par la suite de la porte, puis lorsqu'elle fût prêt d'elle, la miss se retourna de nouveau pour se mettre face à son interlocuteur.

"Vous dites ces paroles, car vous n'êtes peut-être jamais sorti de votre prison et puis, qui vous dit que la marine vous rattraperais tout les deux ? Et puis, puisque personne n'arrive à vous battre, pourquoi avoir peur ? De toute façon, vous ne dites que des excuses bidons pour vous donnez le bon rôle. Enfin bref, vous n'avez pas envie de sortir de ce lieu pourrit, ok je comprend, mais moi, j'ai vraiment envie de me casser d'ici ! Y a pleins de choses et de gens qui me donnent envie de m'échapper d'Impel Down. Puisque vous ne voulez rien que je fasse et dise, je vous conseil de me donner les clés s'il vous plait, pour que je puisse me balader dans la prison et accessoirement partir d'Impel Down, sinon je défonce la porte du bureau"

Spoiler:

Elle le regarda avec un regard très sérieux en lui disant ces paroles pour qu'il comprenne qu'elle ne plaisantait pas et qu'elle allait sortir du bureau à sa façon s'il n'acceptait pas sa proposition. Elle attendit quelques minutes, mais il n'eût pas l'air d'être enclin à lui obéir, alors elle haussa un sourcil, puis elle se retourna et inspecta la porte. Elle tira déjà sur la poignée pour ouvrir la porte, mais cette dernière resta fermée puisqu'elle avait été fermée à clé, ce qui était logique. Sara regarda les gonds, puis elle lâcha la poignée et recula un peu avant d'utiliser sur la porte sa technique "Kick Festival". Sara sauta et donna à la porte une série de coups de pieds ravageurs qui firent trembler la pièce. Lorsqu'elle retomba habilement sur ses deux pieds, comme un chat, la demoiselle admira ce qu'elle avait fait en étant pas vraiment satisfaite de son travail, car il manquait un seul coup de pied pour que les gonds de la porte lâchent et que cette dernière s'éfondre lamentablement par terre. Tout de même, Ilpalazzo avait de la chance qu'elle n'était pas très en forme, car si ça aurait été le cas, il ne lui aurait pas fallut autant de coups pour défoncer la porte et elle aurait déjà pu se carapater ailleurs. Dans son geste, il y avait au moins un point positif, c'était qu'elle s'était défoulée et qu'elle s'était fatiguée pour rien, ce qui allait permettre à Ilpalazzo d'avoir la paix pendant quelques minutes ou de la choper encore plus facilement pour lui apprendre à ne pas faire autant de boucans pour rien. Dans toute cette histoire, c'était Edward qui était content, car le sous-directeur avait l'air assez doué pour l'assagir, d'ailleurs, il sera sûrement très surpris en bien en voyant le changement de comportement chez la jeune fille lorsqu'il viendra la récupérer.

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Spoiler:

Invité

Au fin fond d'Impel Down se trouvait une pièce spéciale ou un garde arriva avec un trousseau de clefs pour l'ouvrir. Mais a peine la salle fut déverrouillée que la porte s'ouvrit avec violence, assommant un garde. Une queue de serpent sortit de la pièce pour frapper le ventre du deuxième. Sidona sortit de la salle qui n’était autre sa cellule d'isolement quand le directeur décidait de la punir pour son excès de zèle ou quand elle était trop franche avec lui. Elle s’étira pour se dégourdir la partit haute de son corps, puis le garde lui dit, apeuré, que le sous directeur Ilpalazzo était avec une nouvelle détenue. Un sourire qui fit encore plus peur au garde se dessina sur le visage de la femme-serpent, la demi-démon décida alors de voir par elle même cette nouvelle habitante de l'enfer.

Elle avança avec une grande rapidité et une grande discrétion tel le serpent qu'elle était, créant comme un souffle de terreur dans le cœur des prisonniers quand il l'ont senti passer devant leur cellule. Elle se demandait qui pouvait bien être cette nouvelle « invitée ». Après tout on ne la mettait pas forcément au courant de tout, ce qui avait le don de l’énerver au plus haut point. Elle arriva dans le couloir qui menait au bureau du sous directeur, les prisonniers qui se trouver dans les cellules, d'habitude si braillards se figèrent sur place, c’était comme si on leur avait coupé le son. La porte faisait un boucan du diable comme si quelqu'un tapait violemment dessus. Apparemment cette invitée était farouche alors par pure curiosité, elle décida de frapper a la porte et profitant de ce moment d'attendre qu'il ouvre la porte pour prendre sa forme animal et entrer dans la pièce sans que la jeune demoiselle ne la remarque.

Invité

Ilpalazzo soupira en entendant les paroles de Sara. Elle était stupide ou quoi? Dans cet établissement, personne ne pouvait rien contre lui, mais il y avait des membres du gouvernement beaucoup plus puissant que lui et Takashi hors d'Impel Down, et ca, la jeune blonde semblait avoir du mal à le comprendre.

-T'as pas compris? Hors d'Impel Down, il y a des marines contre lesquels je n'ai aucune chance. Je suis puissant, pas invincible. Et puis ils ont prévu le coup, ces cons, ils connaissent mon plus gros point faible.

Même si en vérité il en avait deux. Le premier était Takashi, le deuxième était son œil transdémonique. Il suffit de le lui crever pour qu'il soit réduit à l'état de sous-homme durant une semaine, le temps que son globe oculaire démonique se régénère. Autant dire qu'Ilpalazzo prendrait énormément de risques en fuyant de cette prison. Il observa alors Sara quand elle s'approcha de la porte. Il soupira en la voyant essayer de la défoncer.

-Tu vois? C'est précisément pour ca que je te laisse les menottes. J'ai pas envie de me casser le cul à te courir après. Allez, écoutes un peu de musique, ca va te calmer.

Il se leva alors et prit un CD au hasard avant de le mettre dans la chaîne hifi. Il appuya sur play, et avant même que le jeune homme n'ait pu se rasseoir, il entendit quel qu'un toquer à la porte. Intrigué, il poussa Sara pour accéder à la porte puis l'ouvrit. Voyant qu'il n'y avait personne, il sourit.

-Oh, une petite visite surprise de mon serpent préféré? Comme c'est gentil...

Il referma la porte et s'assit à son bureau après avoir fermé la porte. Décidément, Sara n'avait pas de chance.

(Hrp: La musique qu'il a mit dans la chaîne hifi: https://www.youtube.com/watch?v=EtOC_tSjfXM&feature=youtu.be )

Sujet: Re: Retour à la case prison Dim 9 Sep 2012 - 18:28

Après avoir reprit son souffle, la demoiselle recommença son cirque lorsqu'il ouvrit la porte, mais elle ne pu s'enfuir, car il la repoussa. Ensuite, quand il la referma, la jeune fille voulu tenter de passer, mais ce fût un nouvel échec, car elle se prit de nouveau la porte en pleine poire. Sara tomba sur les fesses en étant un peu sonnée, puis lorsqu'elle eût retrouvé ses esprits, elle pencha la tête en avant pour voir un serpent passer devant elle comme si de rien n'était. Wtf c'était quoi ce trip ? Elle ne l'avait pas vu avant, heureusement que le sous-directeur lui avait parlé, sinon elle ne l'aurait pas remarqué. Ilpalazzo ne lui avait pas dit qu'il avait un serpent de compagnie ! Bon heureusement, elle n'avait rien contre ce genre de bêtes.

"Bah voyons vous parlez aux serpents maintenant ? C'est la folie qui vous fait délirer ! Pff vous êtes vraiment dégueulasse, prendre un serpent pour empoisonner vos prisonniers, ce n'est pas correct !"

Sara se releva après avoir fait son commentaire et avoir ramassé sa cartouche qui était tombée de sa poche, puis elle contourna le serpent de peur de se faire mordre par ce dernier et se faire empoisonné, puis une fois arrivé au bureau, elle s'assit dessus et écouta la musique en n'étant pas plus détendue pour autant, car cet air n'avait pas l'air de lui plaire. En l'écoutant, elle hésita entre éteindre la radio ou se boucher les oreilles. Elle soupira, puis elle se pencha et regarda les cadres posés sur le bureau et eût l'air de reconnaître les personnes qui étaient photographiées.

"Comment voulez-vous que je me détende avec votre musique de cinglé ? Pourquoi ne pas avoir envie de me courir après ? ça vous aurait fait un peu de sport espèce de fénéant !"

Après avoir dit ces paroles, elle regarda une nouvelle fois les cadres en se disant qu'elle n'avait aucunes photos de son équipage préféré et qu'il fallait qu'elle y remédie lorsqu'ils seraient à nouveau tous réunis, mais qu'il fallait surtout qu'elle en possède une de Faust en particulier, car c'était de lui qu'elle s'ennuyait le plus. Elle baissa par la suite la tête pour reporter son attention sur le serpent en se demandant tout de même ce qu'il faisait ici.

"T'es quoi le serpent ? Un zoan ? T'a un nom ? Je dois peut-être devenir aussi folle que vous sous-directeur, je me met aussi à parler aux réptiles"

Elle rit jaune en se disant qu'il fallait absolument qu'elle se casse d'ici au plus vite avant de devenir dingue comme les occupants de la prison. Cependant, elle ne pouvait pas s'enfuir sans la clé, alors discrètement, elle regarda en arrière en espèrant trouver l'endroit où Ilpalazzo planquait ses clés. Lorsqu'elle les eût repérées, elle se leva et s'approcha comme si de rien n'était vers Ilpalazzo. Quand elle fût tout prêt de ce dernier, elle lui sauta dessus pour tenter de lui arracher les clés qu'il possèdait, mais elle n'y arriverait pas, enfin si le serpent reprenait sa forme humaine pour l'arrêter avant qu'elle n'assome le principal intéressé.

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Spoiler:

Invité

le serpent les regardait tout les deux avec curiosité apparemment il était tombé sur une sacré pimbêche , du genre a se prostituer pour tromper son monde et avoir ce qu'elle veut. L’être humain était vraiment fascinant pour son changement de comportement afin de s 'adapter a son environnement. Ilpalazzo l'avait bien sur remarqué ce qui l’étonnait pas qui d’ailleurs la fit repérer aussi de la pirate qui semblait ressentir une certaine crainte pour elle qui s'apparentait plus a de l’instinct de survie. Elle traita de fou ilpa , ne sachant pas la véritable apparence du serpent mais elle eu un rapide soupçon qui finit par être juste un peu de folie :

*si tu savait qui je suis tu rigolerais moins*

elle profita de son moment d’inattention pour prendre sa forme hybride croisant les bras par la même occasion, son sourire sadique dessiné sur son visage qui lui donné un coté maléfique. Le haki lui permit a peu prêt de prévoir ce qu'elle allait faire. Elle la vue sauter sur ilpa tel une sauvageonne mais la jeune femme serpent sortit sa fleur de ses cheveux qui s'allongea pour devenir une sorte de fouet végétal. Elle entoura son fouet autour du coup de la demoiselle serrant le plus fort possible pour l’étranglé et donc la bloqué dans son élan et finit par la tirer vers elle mais s’écartant pour qu'elle s’écrase contre un mur avec violence. Elle reprit son fouet et regarde ilpalazzo avec un sourir narquois :

« mon pauvre petit ilpa , je t'ai connue plus dynamique envers les prisonnier ! Ssssssa ferait longtemps que sssssa belle et grande gueule aurais déjà marqué le mur , une petite baisssssse de régime ?tsitsitsitsi »

elle siffler les « s » tel le serpent qu'elle était , apprécient la situation avec délectation et regarda l'invité et dit :

« alors mademoiselle , on tante de sssse faire la belle ? »

Invité

Sara avait tenté de fuir, mais au final, elle ne réussit qu'a se prendre la porte dans la figure. Comme si Ilpalazzo allait la laisser sortir! Elle à rêvé, la petite! le jeune homme haussa les épaules, puis reporta son attention sur le reptile, les toisant, avant que Sara ne fasse son commentaire.

-C'est pas mon animal de compagnie, aussi vrai que ce n'est pas un simple serpent... Mais bon, tu le découvriras bien assez tôt. Et je risque pas de l'utiliser pour empoisonner qui que ce soit, elle empoisonne si elle veut.

Sara se leva alors et ramassa un paquet de clopes qui était tombé de sa poche. Il aurait de quoi faire pression sur elle, maintenant. Edward avait du l'amadouer avec ca... Qu'a cela ne tienne, Ilpalazzo avait d'autres moyens pour la calmer. Après tout, c'était un expert de la torture physique et psychologique. Sara critiqua ensuite sa musique et le fait qu'il n'ait pas voulu la poursuivre.

-J'ai pas que ca a faire. Et si j'aurais eu à te poursuivre, ca aurait même pas duré cinq secondes. Et ma musique est très bien, j'y peux rien si ton équipage n'écoute que de la merde...

Ca c'est fait. Il ne savait pas quel genre de musique écoutait les mugiwara, mais ce qu'il venait de dire n'avait comme but que d'énerver Sara. Elle se rebellerait probablement, mais elle se rendrait bien vite compte qu'elle ne pourrait strictement rien face à Ilpalazzo, en plus de Sidona, la capitaine de la garde. Sara engagea engagea la discussion avec le serpent. Et dans tout ca, c'était le jeune homme qui était fou? Elle allait vouloir s'enfuir, car elle essaya de subtiliser les clefs accrochées à la ceinture du gardien, mais elle se fit stopper net par Sidona, qui avait alors pris sa forme hybride pour ligoter Sara grâce à son fouet végétal. Ilpalazzo prit alors sa forme hybride et se leva pour faire face à la détenue récalcitrante.

-Merci, Sidona. Bon, écoutes-moi bien, ici, on déconne pas, c'est l'enfer. J'aurais bien voulu te laisser une chance d'être cool si tu te tenais tranquille, mais faut croire que tu veux pas te plier a mes exigences... Tant pis. Dis au revoir à tes clopes.

Il déroba le paquet de cigarettes dans la poche de la blonde et le mit dans sa poche. Et ca ne faisait que commencer....

Sujet: Re: Retour à la case prison Lun 10 Sep 2012 - 0:06

Hein ? Qu'est-ce qu'il ce passait ? Qu'est-ce que c'était que ce lien imprévu qui l'empêchait de respirer ? La demoiselle ne comprenait pas ce qu'il lui arrivait, tout ce qu'elle comprenait, était qu'elle était en train de perdre son souffle et qu'elle risquait de mourir si le fouet se resserait encore plus sur son cou, il fallait donc vite qu'elle s'en débarasse, mais elle n'en eût pas le temps, car elle fût envoyée violamment contre le mur. Le lancer fût tellement violent qu'elle ne pu s'empêcher d'emettre un cri de surprise mélangé à un cri de douleur. Après avoir touché le mur, elle toucha le sol en s'étalant lamentablement, de tout son long, sur ce dernier. Tout en reprenant son souffle qu'elle avait perdu, la demoiselle regarda du coin de l'oeil la voix féminine qui venait de lui parler. Alors elle n'avait pas eût tort ? C'était bien une zoan ? Peut-être qu'elle avait morflé sévère, mais au moins, elle était contente d'avoir réussi à découvrir la vérité sur les origines du serpent. Toutefois, son enthousiaste disparut lorsque Ilpalazzo prit sa forme hybride et s'approcha de son corps endolori qui se mit à trembler lorsqu'elle remarqua ce changement d'apparence. Elle ferma un oeil et ferma à moitié l'autre tout en se disant que pour elle c'était la fin, car dans cette position de faiblesse, il pouvait facilement la tuer, car il ne pouvait rien tirer de bon de cette forte tête. Cependant, ce n'était pas la fin, car au lieu de l'achever, il lui adressa la parole.

"Si vous ne voulez pas vous pliez aux miennes, pourquoi me plierais-je aux votres ? Heyyyy !! Non ! Pas les cigarettes ! Sadique !"

Protesta violamment la demoiselle en étant pas du tout contente qu'il lui confisque son unique paquet de cigarette qui aurait pu l'aider à tenir psychologiquement durant cette dure épreuve de sa vie de jeune fille célibataire et farouche. La demoiselle regarda ensuite Ilpalazzo avec un regard noir. En effet, il avait fait déborder la goutte d'eau de son vase et il allait amèrement le regretter. Trouvant donc sa force dans son adréaline, Sara s'appuya sur ses deux mains et releva tout son corps pour envoyer ses deux pieds dans le menton d'Ilpalazzo pour lui faire mal et le faire décoller du sol pour l'envoyer se taper la tête contre le plafond de la pièce où elle était enfermée. Après avoir fait sa technique du Bouquetière Shot, Sara resta sur ses deux pieds et s'appuya contre le mur, où elle avait été envoyée sauvagement quelques minutes plus tôt, pour reprendre son souffle. Comme quoi, elle avait encore de la ressource la petite prisonnière ! Cette dernière balaya la pièce du regard pour scrupter le sous-directeur, puis Sidona dont ses deux prunelles se braquèrent sur sa silhouette.

"N'insultez plus jamais les Mugiwaras, c'est un conseil que je vous conseil de retenir. Pour répondre à votre question, oui mademoiselle Sidona, mais comme vous le voyez, ce n'est pas facile. Dites vous êtes tous comme ça dans cette prison ? Enfin je veux dire, tous comme ça, je ne parle pas de votre mental, mais plutôt de votre apprence, parce que si vous êtes tous à moitié des monstres qui prennent les gens par surprise, je vais finir par faire une crise cardiaque !"

Sara fronça les sourcils tout en pensant ce qu'elle venait de dire et en restant appuyée contre la porte pour être prête à se défendre où à attaquer si jamais ils osaient à nouveau poser la main sur son corps. En parlant de ce dernier, il était couvert de bleus et bientôt, il serait couvert de croutes si elle continuait à se rebeller contre les deux compères. En parlant de ces derniers, Sara ne pu s'empêcher de regarder brièvement la poche d'Ilpalazzo avec un petit pincement au coeur. Ses cigarettes, ses belles petites cigarettes, il allait se les garder pour lui ce salaud ou bien les mettre à la poubelle, ce qui la dégoûtait et c'était compréhensible vu que c'était son pêché mignon.

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Spoiler:

Invité

La demoiselle se mit a protester et a râler, mais ce n’était pas la seule et comme l'avait si bien dit son sous directeur adoré, elle était en enfer et donc elle n'avait aucun droit a part celui de se taire et de subir la sentence. Elle haussa les épaules tout de même après sa phrase et dit:

« Bienvenue en enfer ! »

Sidona croisa les bras, la regardant toujours avec son sourire narquois. Elle croyait vraiment d’être en position de pouvoir faire ce qu'elle veut. Il y avait une chose en elle qui méritait une once de respect pour la femme serpent qu'elle était: Sa détermination. Ce qu'elle ne savait pas, par contre, c'est que cela ne servirait un rien ici. Elle connaissait Ilpalazzo depuis longtemps et savait comment il agissait envers les prisonniers et Sara risquait de prendre un grand coup dans sa fierté si il décide de la détruire mentalement. Sidona alla se poser sur le sofa, regardant la pirate qui continuer a se battre et a donner des coups d'épée dans l'eau. Elle ne réagit pas vraiment a l'attaque de la détenue contre le sous-directeur. Après tout il était un grand garçon qui savait se défendre tout seul et cela l'amusa plutôt de la voir faire tourner en bourrique ce pauvre Ilpalazzo. Elle s'appuya sur l’accoudoir l'observant de la tête au pied , elle qui était habillé telle une prostituer se permit de traiter son apparence de monstrueuse, même si cela était fait exprès, mais elle était pas d'humeur a répliquer. Après avoir été une semaine en salle d'isolement sans avoir sa lyre pour s'occuper . Elle se leva alors s'approchant d'elle en disant :

« Oh, il y a pire que moi. Ici tu te rendras compte très vite par toi même que l'horreur n'est pas vraiment ce que tu avait en tête ! »

Elle arriva devant la jeune femme, se mettant à sourire quand la partie reptile de son corps se mit a lui entourer les jambes dont elle était si fière afin de la paralyser. Elle commença à entouré son corps la paralysant complètement. Elle dit tendis que son étreinte se resserra petit à petit sur son corps frêle :

« Toi qui entre ici abandonne toute espérance ! Tu aurais dû le comprendre juste en regardant ou tu allait être enfermée! »

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Ilpalazzo fixait Sara, parfaitement impuissante face aux deux gardiens de la prison... Mais un sursaut d'orgueil de la jeune fille lui permit d'envoyer Ilpalazzo au plafond. Il se prit le coup de pied sans broncher, surpris par la vivacité dont faisait soudain preuve la jeune blonde. Il percuta violemment le plafond et s'écrasa lamentablement au sol. Durant les quelques secondes ou il resta au sol, on aurait pu croire qu'il était peut-être assommé à cause du choc contre le plafond, mais...

-Shi shi shi shi shi shi...

Ce ricanement caractéristique de Paranoïa n’annonçait jamais quelque chose de bon. Jamais. Et autant dire que Sara risquait de regretter amèrement cette sauvagerie dont elle avait fait preuve jusqu'ici. Si elle se foutait de souffrir physiquement, elle serait gâté par le supplice psychologique. Ilpalazzo avait fait de la torture mentale sa spécialité grâce aux pouvoirs de son œil qui lui permettaient de lire l'esprit des gens. Le transdémonique se releva, sans aucune blessure physique, comme si le coup que lui avait asséné Sara n'avait eu aucun effet... Mais il releva le regard pour fixer la blonde avec une face effrayante, mélangeant la démence, la colère ainsi que son air de psychopathe habituel. La, normalement, Sara devait comprendre que ca allait mal se passer pour elle. D'ailleurs, entre temps, Sidona en avait profiter pour s'enrouler autour de la cuistot, la paralysant totalement. Bien! Au moins, ca allait lui faciliter la tâche! Il s'approcha de Sara, puis quand il fut à portée, il l’attrapa par le menton, forcant la blonde à le regarder dans les yeux.

-Tu vas payer pour ton insolence, tout comme ton incompétence... Cette attaque ne m'a absolument rien fait... Te rends tu compte à quel point ce serait facile pour moi de te tuer? Ho ho... Mais je ne vais pas te faire cet honneur... Non! Évidemment... Tu vas souffrir par le corps, mais également par l'âme... Larbin! Mon katana!

Un garde entra alors dans le bureau, tremblant de tous ses membres, puis se dirigea vers le porte-manteau ou était accroché l'uniforme du sous directeur. Il décrocha le fourreau du katana ou était rangé l'arme, et s'approcha du sous directeur, terrifié. Il tendit le sabre au transdémonique qui le saisit d'un geste dédaigneux, sans même adresse un regard au "larbin" qui après avoir fini sa besogne, s'enfuit en courant pour regagner son poste. Paranoïa, lui, sortit sa lame du fourreau puis pointa Sara avec l'arme, avant de la blesser au visage, lui infligeant de multiples entailles au visage. Ensuite, il empala ses mains avec la lame.

-Oooh, ce sera beaucoup plus dur de cuisiner, comme ca, hein? Comme c'est dommage...

Il rangea ensuite son katana et le posa à terre. De toute façons, c'est pas comme si Sara pouvait le récupérer, entre ses menottes et Sidona qui la paralysait... Il attrapa le visage écorché de la mugiwara, et utilisa le pouvoir de son œil, l'immobilisant entièrement, l'empêchant de détourner le regard. La suite? Le début de la torture mentale... Il analysa Sara puis la plongea dans une illusion. Elle se trouvait sur la place de Logue Town, au niveau de la potence. A côté de cette dernière, se trouvaient tous les membres des Mugiwara. La cuistot était en queue de file. Les membres de l'équipage passaient tour à tour sur la potence, et se firent radicalement exécuter, un par un, devant les yeux de Sara... Et elle ne pouvait rien faire. Condamnée pour le moment à subir cette vision d'effroi.

Sujet: Re: Retour à la case prison Lun 10 Sep 2012 - 21:09

Lorsque Sidona s'enroula autours de ses jambes, Sara voulu lui donner un coup de pied pour la faire lâcher prise, mais elle ne le pu pas, car elle lui avait complétement bloqué ses pieds. Par la suite, ce fût son corps qui subit le même sort. Avant de se faire paralyser complétement, Sara avait tout de même tenté de donner des coups de coudes à l'hybride pour la faire lâcher prise, mais ça n'avait servit à rien. Etant donc complétement bloquée, Sara était embêtée, car elle ne pouvait plus fuir ou faire quoi que ce soir pour tenter de faire comprendre au sous-directeur qu'il ne pouvait abattre son moral de fer. Elle écouta les paroles de Sidona en fronçant les sourcils.

"Perdre tout espoir ? Alors ça jamais ! Si je le perd, je ne pourrais m'enfuir d'ici et retrouver mes amis qui sont les gens les plus chers à mon coeur. Vous aussi vous avez des amis, personne n'est seul, alors si vous comprenez mes motivations, libèrez-moi de votre emprise !"

Suite à ses paroles, Sara entendit un ricannement qui la surprit. Qui ricannait ainsi ? Ilpalazzo ? Elle croyait pourtant l'avoir assomé ! Comment avait-il fait pour résister ? Cet homme n'était pas humain ! Ses pensées étaient véridictes, car le regard qu'il lui fit ne semblait pas l'être. En le voyant, elle sursauta et eût une folle envie de se carapater sous le bureau pour ne plus voir sa sale tête, mais c'était impossible, car au moment oû elle voulu partir, elle ne le pu pas à cause de la paralysie que lui infligeait Sidona. Quand il s'approcha et fût prêt d'elle, Sara voulu détourger la tête pour ne pas le regarder, mais elle ne le pu pas, car il lui attrapa son menton pour la forcer à le regarder, brr vision d'effroi ! Elle écouta ses paroles en tremblant légèrement, car ces dernières lui firent froid dans le dos.

"Q... Qu'est-ce que vous allez faire ?"

La réponse lui vint très rapidement lorsque le larbin apporta le katana du sous-directeur qui se trouvait tout prêt de son bureau, mince si elle avait su qu'il se trouvait là-bas, elle s'en serait servit contre lui ! Une fois qu'il eût en main son arme, Ilpalazzo entailla son visage. En sentant le froid de la lame sur son visage, Sara dû serer les dents pour ne rien dire, car si elle aurait dit quelque chose, il aurait été trop content. Cependant, elle ne pu se retenir d'emettre un cri de douleur lorsqu'il empala ses mains. Deux-trois petites larmes de douleurs sortirent de ses yeux sans qu'elle le veuille, puis quand elle baissa ses deux prunelles pour regarder l'état de ses mains, elle eût l'air toute dépitée et surtout, très décue de ne plus pouvoir cuisiner pour ses nakamas, le temps que ses mains guérissent. Son tortionnaire se moqua ouvertement de son état, ce qui la fit enrager et c'était totalement compréhensible.

"Ohhh mes mains, mes pauvres mains... Enfoiré ! Vous aviez pas le droit de les abïmer ! Bien sûr que c'est bête ! Comment je vais faire pour les nourrir quand on se retrouvera ? Oh mais bien sûr, ça vous, vous en foutez vu que ce n'est pas votre problème sale type !"

Dans sa voix, Ilpalazzo avait pu entendre de la colère, mais surtout, beaucoup de honte, car ses mains, c'était toute sa vie et elle avait l'impression d'être ridicule en s'étant fait percer les deux membres de son corps les plus importants pour cuisiner. Par la suite, elle regarda tristement son sang couler de ses mains, mais elle n'eût pas le temps de le regarder longtemps, car le sous-directeur lui prit à nouveau son menton entre ses mains pour la forcer à la regarder. En sentant son emprise, Sara voulu le mordre pour lui faire comprendre la souffrance qu'elle endurait, mais encore une fois, elle n'en eût pas le temps, car elle se fit envoyer dans une illusion. Elle était à Logue Town, au niveau de la potence. En voyant tout les amis de son équipage à côté d'elle, la jeune femme se figea d'horreur, surtout lorsque le premier Mugiwara se fit executer. Elle ne dit rien, car elle eût le souffle coupé. Ensuite, ce fût un deuxième Mugiwara qui se fit executer, ce qui fit bouillonner la Mugiwara de rage. Par la suite, ce fût au tour de Merry de se faire executer.

"Oh non c'est pas vrai, ils ne vont pas... MERRY !!!"

Spoiler:

En voyant sa capitaine tomber en lui faisant un grand sourire, la demoiselle peta un câble et Sidona dû le sentir, car la demoiselle s'agitait beaucoup malgré sa paralysie. Pour finir, ce fût Melian et Faust qui se firent tuer en dernier. Mélian lui fit un clin d'oeil en levant le pouce tandis que Faust lui fit bye bye avec sa main. En les voyant mourir, Sara hurla et pleura à chaudes larmes. Pourquoi les avoir assassiner en dernier ? Et bien, c'était très simple. La raison expliquait que la blondinette avait beaucoup d'affection pour Mélian qu'elle considérait comme une grande soeur tandis qu'avec Faust, c'était différent. Elle ne savait pas pourquoi, mais lorsqu'il était présent, elle se sentait à l'aise et avait l'air heureuse, enfin elle avait des sentiments qu'elle n'avait pas avec les autres Mugiwaras et c'était la raison pour laquelle elle avait réagit si violamment. Pour termienr la scène d'horreur, la cuistot se fit executer à son tour. Lorsqu'elle réouvrit les yeux qu'elle avait fermé juste avant de mourir et qu'elle se rendit compte qu'elle était revenue à la réalité, elle regarda le sous-directeur avec un regard meurtrier. Heureusement que Sidona la tenait bien, sinon la demoiselle l'aurait sûrement assassiné sur place.

"C... COMMENT VOUS AVEZ PU ME FAIRE CA BON SANG ? NE TOUCHEZ PLUS JAMAIS A MES AMIS ET MES PENSEES SATYRE !!!"

S'égosilla la demoiselle en étant toujours perturbée par les images qu'elle venait de voir. Ce sentiment d'impuissance et de terreur qu'elle avait eût en voyant ses amis mourir devant ses yeux confirmait le fait que ces derniers étaient très importants aux yeux de Sara qui aurait pu faire des folies pour les rendre tous heureux et qui aurait soulevé des montagnes pour pouvoir les protéger tellement elle les aimait. Cependant, le pire restait à venir, car il avait évoquer le sujet de son équipage, mais pas celui de ses grands-parents qui avaient la même place, que l'équipage, dans son coeur. Sara continua de regardera Ilpalazo avec un regard noir tout en reprenant son souffle, car elle avait beaucoup crier durant le cours laps de temps qu'avait duré l'illusion. Elle sentait toujours ses larmes couler, mais moins abondamment qu'avant, qu'elle n'avait pas honte d'exprimer, ainsi que le sang de ses mains et de son visage qui lui faisait avoir une tête affreuse, mais en ce moment présent, son apparence, elle s'en fichait royalement.

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Spoiler:

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la jeune pirate tenta désespérément de faire appelle a l'empathie de la semi-demone, hélas cela était une veine tentative pour la simple raison qu'elle en avait aucune. Elle ne pouvait pas en avoir et surtout pas ici , comme elle avait dit plus tôt elles se trouvait enfer ou du moins ce qui en était la réplique exacte. Dans cette endroit ressentir de l'empathie revenait à se condamné à mort car les prisonnier enfermé ici fut autre fois des monstre assoiffée de sang qui profiterais du moindre signe de faiblesse de la pars de leur gardien pour les tuer. Elle ne pu soudainement pas s’empêcher de dire :

« tsitsisi ! Mais tout les prisonniers ici on des amie ou des gens qui leur sont chaires ainsi que les marines que vous attaquer ! Vous les massacrer sans vergogne sans pensé au personne derrière eux ! Leur femme ! Leurs enfant ! »

un rire se fit entendre qui venait de ilpalazzo , un rire qui en donna des frisson à sidona car elle savait ce que cela voulait dire. Paranoïa était la , même elle qui était habituer a côtoyer des créatures qui défierait les cauchemars eu même mais quand il s'agissait de paranoïa c’était autre chose. Il s'agissait d'une personnalité démoniaque d'ilpalazzo qui la terrifié, elle avait toujours ressentit plus que de l'amitié pour ilpa c'est pour ça qu'elle essayait de faire avec cette personnalité si imprévisible. Il le vue a l’œuvre plusieurs fois et a chaque fois ça se finissait toujours mal , elle continua de la paralysé même si son étreinte était moins serrer. Il se mit a la tailladé son sang perlant sur sa queue et malgré ça la seul chose qui lui venue en tête :

* voilà c'est bon ! Je suis bonne a prendre une douche !*

elle resserra son étreinte pour qu'elle arrête de se débattre.

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Sara sentait les effets de la torture, et ca se voyait. Elle ne cessait de se débattre de l'étreinte de Sidona, qui fut obligée de se resserrer... Et de supporter le sang de Sara qui coulait sur elle... Hm? Elle ne pourrait pas cuisiner pour son équipage quand ils les retrouveraient? Le transdémoniques éclata de rire, en se souvenant de ce que lui avait rappelé Edward plus tôt. La grande exécution des mugiwaras...

-SHI SHI SHI!! Cuisiner pour eux? Ha! C'est la plus grosse connerie que j'ai entendu sortir de ta bouche jusque là!! Le jour ou tu retrouveras tes compagnons sera le dernier... Eh ouais, ma grande, tes potes se sont fait avoir! Par une certaine... Heu... Comment, déjà? Ah oui, Sakyu Crocodile, je crois! Et tous tes amis mourront devant tes yeux!

Ensuite, en plus de la mine horrifiée qu'elle affichait sur son visage, ce qui était parfaitement logique et compréhensible, vu le spectacle auquel elle avait droit, ne se fit pas prier pour protester violemment face à cette torture. Déjà, lorsqu'elle fit la mort fictive de sa capitaine...

-Si, ils vont.

Fut ensuite au tour des deux membres d'équipage "préférés" de la jeune fille de mourir avant elle. Faust fut le dernier, car le fameux tortionnaire avait bien compris à partir de ce qu'il avait de spécial aux yeux de Sara, le fait que la jeune fille était tombé amoureuse de l'alchimiste fou. Il faut de tout pour faire un monde... Oh? Elle se remettait à crier? Ah oui, la mort de ses compagnon. Bah, elle s'en fait beaucoup pour une simple illusion... Oh, mais il n'avait pas dit que cette illusion deviendrait réalité? Bah, de toute façon, ca n'aura plus d'importance lorsqu'elle sera morte. Cruel? Non, habitué, nuance.

-T'as pas a me donner des ordres, que je sache. Oh! A moins que ce ne soit une manière de me demander de recommencer? Très bien! Si ce n'est que ca...

Une nouvelle fois, Sara se retrouva dans une illusion, face à une prison. Dans cette vision-ci, elle était immobile, elle ne pouvait que voir un homme croupir au fond de la cellule. Quel homme? Oh, et bien... Il était assis, ou plutôt affalé contre le mur, avait des cheveux blonds très sales, des vêtements noirs qui auraient pu être classes s'ils n'étaient pas aussi rapiécés... Son visage? Vide, cet homme s'était éteint tout comme la cigarette qu'il gardait malgré tout en bouche. Ses sourcils en spirale devraient confirmer les craintes de la cuistot, qui avait en face d'elle le cadavre de son grand-père... Oh, bien sûr elle ne pouvait rien faire, rien, elle même était prisonnière de ses deux tortionnaires... L'un d'entre eux, en l’occurrence, le transdémonique, daigna enfin remarquer que le sang de Sara coulait sur le corps de sa belle vipère... Hm? Oui, Ilpalazzo trouve que Sidona est belle, et alors?

-Tss, et tu trouves encore le moyen de souiller le corps de Sidona avec ton sang de pirate... Peuh! Je m'amuserait bien après ton exécution et celle de ton équipage, crois-moi!

[HRP- Je suis doué pour les tortures psychologiques, non? Shi shi shi.... Hm! Pardon.]

Sujet: Re: Retour à la case prison Ven 14 Sep 2012 - 17:02

HS : Je tente une réponse, si je raconte mal, dites-le moi et je modifierais =)

Quelques minutes, avant que la torture psychologique ne commence, Sidona avait répondu à ses paroles, mais elle n'avait pas eût l'air plus attendrie qu'elle ne le pensait. Au contraire, elle avait l'air de s'en foutre et remua même le couteau dans la plaie en lui faisant comprendre qu'il n'y avait pas besoin d'ampathie pour ceux qui ne pensaient même pas aux femmes ou aux enfants des marines assassiné.

"J'ai jamais tué personne ! Mon équipage non plus d'ailleurs !"

Protesta la demoiselle en n'étant pas du tout d'accord avec les propos de la femme-serpent. Bon il était arrivé que Mélina tue un ou deux marines pour leur sauver la vie, mais à part ça, elle ne se souvenait pas avoir tué quelqu'un avec les Mugiwaras. Par la suite, lorsque la torture fût terminée, son tortionnaire lui apprit que ce qu'elle avait vu n'était pas qu'une simple illusion, car ça allait véritablement ce passer. Hein ? Quoi ? C'était vrai ? Oh bon sang comment cela pouvait-il être possible ? Comment le gouvernement pouvait-il executer des pirates innocents ? Ces gens étaient vraiment des rats ! La demoiselle baissa les yeux en étant attristée par cette nouvelle, puis elle les releva brusquement pour regarder Ilpalazzo avec un regard effrayé quand il lui dit qu'il pouvait recommencer sa torture psychologique puisque c'était demandé si gentiment.

"Non ! Non merci ça ira !"

A cause de l'illusion, Sara se retrouva dans un tout autre décort. Cette fois-ci, elle se trouvait dans une prison, devant une cellule où gisait le corps d'un homme aux cheveux blonds. En le voyant, Sara le reconnu tout de suite. Etais-ce un cauchemar ? Si c'était le cas, il était très réaliste. Son regard se figea d'horreur, puis il devint aussi vide que celui de son grand-père, elle aussi venait de s'éteindre. Non ce n'était pas possible, ça ne pouvait pas véridique. Il était vieux, mais encore très combatif pour son âge et ses amis ne l'auraient jamais laissé tomber, ils se seraient battu tous jusqu'au bout pour le protéger. A cause de cette vision si terrifiante, la demoiselle perdit connaissance et s'éavanouit, ce qui fit qu'elle n'eût pas la chance d'entendre ce que venait de dire son tortionnaire. Dix minutes plus tard, elle reprit connaissance, mais son regard était toujours vide, puis peu à peu, de la colère commença à germer dans son corps. Elle ne disait rien, mais sa colère était tellement forte qu'elle se dégageait de son corps comme une aura maléfique. Son regard vide se rempli à nouveau d'émotion pour regarder le sous-directeur avec un regard méchant.

"C'est bon, vous, vous êtes bien amusé ? Vous savez, vous regreterez votre geste. Je n'ai encore jamais tué, mais je ferais une exception... Voir votre corps gisant par terre sera des plus délectables à voir comme spectacle... Vous n'auriez jamais dû vous en prendre aux membres de mon équipage et à grand-père... Par contre, vous pouvez toujours vous foutre le doigt dans l'oeil si vous pensez qu'on se laissera executer sans rien faire, on n'est pas les Mugiwaras pour rien, il y aura des survivants que vous le vouliez ou non. A présent, si vous avez envie de continuer à me torturer, ok je l'accepte, tant que la torture ne concerne que moi et personne d'autre"

En voyant son regard de psychopathe et en entendant ces paroles envahies par la haine, Ilpalazzo aurait pu penser que sa prisonnière était contrôlée par un transdémonique, car ces paroles ne lui ressemblaient pas du tout. Elle qui était d'habitude si compréhensive et sympathique venait de pêter un câble. A ce rythme-là, ils allaient finir par la piquer au lieu d'attendre le jour de l'execution, car elle était devenue complétement folle et elle pourrait sûrement leur faire de gros dégâts si jamais Sidona venait à la relâcher, comme quoi, il y avait des sujets sensibles qu'il ne vallait mieux pas aborder pour éviter les catastrophes.

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Sidona ne disait rien , a vrais dire il y avait rien a dire quand ilpalazzo était dans cette état il y avait rien a faire juste attendre qu'il se calme. sidona ferma les yeux continuer de serrer fermement la demoiselle pour pas qu'elle échappe. elle commença a se remémorer des souvenir du passé , malgré la terreur qu'ilpalazzo lui inspirer lors de ses phases de colère sidona ne pouvais s’empêcher de s'accrocher a lui comme une corde qui l’empêcher de sombrer elle même dans la folie de cette endroit sordide.

*Impel down qu'elle belle endroit pour vivre une enfance heureuse !*

elle ne pouvait s’empêcher de pensé ça avec ironie en regardant la jeune pirate se faire torturer mentalement par ilpalazo. Elle regarda le tortionnaire mais sans pour autant avoir de la terreur , sans le vouloir elle trahit ses sentiments car on pouvait voir dans son regard une sorte d'admiration mélanger a une passion peu commune. Elle repris ses esprit quand la jeune sara prodigua ses menaces qui l fit bien rire :

« tsi!tsi!tsi ! Tu crois que tu es la sssssseul a nous dire ça ? Ma pauvre petite sort de ton monde de rêve ici tu n'a aucun droit et aucun pouvoir qui pourront exaucée tes prières ! »

elle bougea la traînant avec elle et finit par la mettre devant la glace et dit en posant les main sur ses épaule.

« regarde le résultat , tu es la depuis 2h et tu es déjà dans un état pitoyable, et tu crois pouvoir nous tuer ici nous les maîtres de ssssses lieux, tu ne pourra rien faire pour t’échapper ! Ton équipage non plus et tu le sssssais!car a partir du moment qu'ils franchiront ses portes pour te sauver ils ssse feront tous capturer et exécuter comme des chiens ! Et le plus tragique mais pas les moins ironique est que cela ne sssssera pas par notre faute mais bien par la tienne car tu a était assez stupide pour te faire capturer et enfermer ici ! »

ses parole cinglante siffler la vérité au oreilles de la jeune pirate qui était obligé de regardé la terrible vérité en face.

(moi aussi je m'y met a la torture mental même si c'est moins efficace qu'ilpa je suis qu'une apprenti ! )

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La pirate-cuistot se mit à déblatérer des menaces, comme quoi elle voulait tuer Ilpalazzo, et qu'elle serait satisfaite de voir le corps du sous-directeur gisant au sol. C'était une blague? Probablement, car le transdémonique se mit à rire aux éclats après que la jeune blonde ait parlé. Sidona résuma très bien la situation.

-Tu sais, ici, absolument tous les détenus voudraient nous voir morts, moi et Sidona! Mais... Comment dire... Trop faibles? Oui, on peut dire ca. Même toi... Hors d'ici et sans tes menottes, j'ai quand même le pouvoir de t'anéantir, malgré ton logia du sable... Tu n'es rien comparé à moi, rien! La seule chose pour laquelle tu as eu de la chance, c'est ton passé!

Ilpalazzo vit alors Sidona emmener Sara face au miroir. Oh, elle aussi voulait s'essayer à la torture mentale? Soit, ca ne serait sûrement pas aussi effectif que les méthodes du sous-directeur, mais qui ne tente rien n'a rien! Ilpalazzo s'adossa tranquillement près de la glace, écoutant ce que disait la capitaine de la garde.

-Ça sert à rien de lutter, t'es condamnée à crever... Puisse ton âme reposer au Petenshi! Shishishi...

Ilpalazzo trouvait que Sidona s'en sortait admirablement bien en matière de torture, pour un essai. Bon, elle avait de quoi faire, en s'inspirant du travail du sous-directeur, mais quand même. Elle devait être bien inspirée aujourd'hui! Ilpalazzo ne put s'empêcher de ressentir de la fierté pour la femme-serpent.

(navré, j'étais pas très inspiré, la x) )

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