La revanche des clones ! L'ultime combat des Menshuus !

Quand ils sont attaqués par une attaque foudroyante, ils sont protégés par Lucky. Mais Hoshi se jette dans ses bras, ce qui le trouble lui rappelle un moment de son passé, un soir d'orage où elle a dormi avec lui le temps qu'elle soit rassurée. Il finit par reculer en disant que ce n'était pas correct ce qu'ils faisaient et qu'elle devait lui en vouloir pour ce qu'il avait fait. Hoshi dit qu'il est toujours aussi têtu et qu'elle ne lui en voulait pas. Kosui ne répond pas car il voit que Nada venait de se réveiller, quand ils parlent de Jérémy et de sa tentative de meurtre sur leur personne, Amaryllis dit qu'elle ne pense pas que leur père veuille les tuer, Kosui répond qu'il se peut qu'il a attaqué sans avoir connaissance de leur présence, soit il a attaqué en pensant qu'ils n'auraient rien grâce à leurs pouvoirs de phénix et qu'il veut les tuer avec les autres senshus. Ils sont ensuite téléportés sur le navire. En entendant le plan de Arsa, Kosui décide de se servir de ses propres pouvoirs. Arsa s'exprime qu'il a eu une meilleure idée alors que Kosui dit que c'est son meilleur tour. Kosui ne répond pas car il était concentré. Quand il fait atterrir le navire, il inspire et expire, épuisé. Hoshi fait un commentaire sur ce qu'il avait fait avant de lui demander s'il avait besoin d'aide pour rejoindre la cabine pour se reposer.

"Non...ça ira...je vais bien".

Sabo annonce qu'ils iront à l'île Foulshoot pour se ravitailler et se reposer. Il explique à tout le monde qu'ils devaient faire attention vu que les habitants n'hésitent pas à dénoncer les criminels, même ceux qui ont sauvé leurs propres enfants comme il est arrivé à Ficher Tiger. Nada fait un commentaire sur ce qu'il a entendu et quand il termine, Kosui répond : "Il n'était pas le seul à lutter pour son peuple, mais le Gouvernement déteste qu'on n'aille pas dans leur sens. Ils sont capables de faire tuer des personnes faisant partie de leur propre Gouvernement pour maintenant leur ordre".

Arsa finit par dire ce qu'elle allait faire. Kosui ne dit rien et se contente de s'adosser à au poteau du navire, attendant qu'ils arrivent.

Amaryllis gonfle ses joue, énervé par son frère qui refusait de reconnaître qu'il avait mal agit. Elle finit par dire : "Te faire confiance pour te mettre dans le pétrin, ça c'est sûre. Puisque tu maîtrises si bien la situation, je te laisse avec tes nouveaux copains et moi je vais voir comment va mon ami!"

Elle tourne les talons avant d'entrer à l'intérieur de la cabine avant de se rendre à la chambre où il y avait les différents malades et blessés, dont Fukano qui était inconscient dont elle demande des nouvelles. Le chat qui semblait être le médecin lui répond qu'il allait bien et qu'il allait se remettre. Cela rassure la jeune fille aux cheveux rouges. Puis, le chat se met à la regarder, ce qui intrigue la jeune fille qui demande : "Heu...qu'est-ce qu'il y a?..."

Il finit par faire un commentaire sur son état de santé et sur son frère.

"Si je ne suis pas trop blessée, c'est uniquement grâce à mon gêne de phénix qui me permet de rapidement me soigner et pour Nada, je ne sentirais pas en sécurité s'il continue d'agir de manière inconsciente".

Ensuite, la jeune fille inconsciente se réveille, ce qui semble réjouir le chat. Elle demande comment allait Lucky et le reste de l'équipage et de leurs alliés. Neru la rassure avant de résumer un peu ce qu'il s'est passé. Amaryllis finit par dire : "Avec mon père qui semble vouloir nous éliminer, je ne me sens pas en sécurité car quand il a un objectif en tête, il ne lâche pas l'affaire".

Soudain, il y eut une étrange lueur autour de Lucky pendant un instant, ce qui surprend Amaryllis qui demande : "C'est étrange? C'est quoi? Un nouveau pouvoir?"

HS : Bon vu que ça fait plus d'une semaine qu'on attend la réponse d'Ariel, je passe son otur, désolée.

Peu de temps après avoir montré à tous ces marines moqueurs qu'elle ne plaisantait pas, son moment de gloire et d'incompréhenssion face à cette montée de puissance qu'elle ne maîtrisait pas, le temps se gâta pour la jeune chanteuse, car Jérémy arriva, et lui dit une chose qui lui fit écarquiller les yeux.

"Moi ? Une traîtresse ? Il y a méprise, je vous le jure !"

S'exclama la demoiselle en ne comprenant pas pourquoi il l'accusait d'un acte qu'elle n'avait pas commit. Il lui dit ensuite que son père n'allait pas du tout être content s'il lui disait ce qu'il c'était passé, car il détestait les traîtres, et Liberté le savait très bien, ce qui la fit un peu paniquer, car même si par erreur, elle avait fait une bêtise qui la faisait passer pour une mauvaise fille, elle ne voulait pas qu'Akainu le sache.

"Non ! S'il vous plait ne l'en informer pas ! En plus, avant de venir ici, je ne savais même pas que j'avais ce petit truc spécial en moi... Je... Je voulais simplement en profiter pour vous aider, et... Et si c'est l'inverse qui s'est produit, j'en suis vraiment désolée"

Sa voix tremblait parfois, ce qui la faisait faire des courtes pauses dans son récit. Avant, elle se sentait chanceuse d'avoir découvert un tel pouvoir, à présent, elle se sentait maudite, et espérait qu'il disparaîtrait bien vite pour qu'il ne lui apporte plus d'ennuis. Tremblant, mais restant la tête haute, la miss l'entendit dire par la suite que si elle voulait se racheter, elle devait lui dire où était Taichigiri. Il devait sûrement être en compagnie de sa chère Rias, il l'aimait tellement qu'elle ne pouvait pas le dire à cet homme qui ne comprendrait sûrement pas la force de leurs sentiments.

"Il doit sûrement être dans le navire. Excusez-moi, je n'ai pas les yeux partout, j'étais trop occupée à essayer de vous aider pour le surveilelr"

Le pire était qu'elle ne mentait pas, car même si elle ne disait pas ce qu'il faisait actuellement, tout le reste était plausible. C'est ensuite qu'elle apprit que les pirates c'étaient échappés, et que c'était pour cette raison que l'amiral ne la portait pas dans son coeur, à cet instant précis, lui faisant ainsi comprendre pourquoi il lui en voulait, et pensait qu'elle était une traîtresse. Il lui redemanda où était Taichigiri, et Liberté ne répondit rien de plus, laissant ainsi flotter un long silence entre eux. Les rares fois où elle avait croisé Taichigiri, il c'était toujours montré avec elle comme le père qu'elle aurait tant voulu avoir, alors il lui était très dur pour elle de délier sa langue. Au final, le principal intéresé vint à eux, ce qui fit sursauter la miss, qui ne s'attendait pas à ce que le colonel vienne, une fois de plus, à sa rescousse.

Quand Jérémy accuse Liberté de les trahir, cette dernière prétend qu'il se trompe, Jérémy dit alors : "Je ne constate que ce que je vois".

Il dit alors que son père sera mécontent de ce qu'elle avait fait. Elle le supplie de ne rien lui dire avant de prétendre avoir voulu les aider et s'excuse d'avoir fait l'inverse. Jérémy répond alors : "Ne mentez pas, vous ne faites qu'aggraver votre cas".

Il lui demande alors de lui dire où se trouvait Taichigiri si elle ne voulait pas qu'il mette au courant son père ce qu'elle avait fait. Elle dit qu'il doit être sur le navire, mais sans préciser. L'amiral fronce les sourcils et dit : "Vous le couvrez, il fait quelque chose de répréhensible pour la Marine. Dites-moi où il est".

Taichigiri arrive en lui demandant d'arrêter de tourmenter la jeune fille. L'homme aux cheveux roux regarde celui aux cheveux verts en lui lançant un regard menaçant.

"Ne me donnez pas d'ordre, colonel. N'oubliez pas que je suis votre supérieur hiérarchique".

Il prétend qu'elle ne trahirait jamais et qu'elle voulait leur montrer quelque chose. Jérémy dit alors : "Vous cherchez juste à la défendre. Perso, je suis certain qu'elle est capable de nous trahir et je pense qu'elle n'est pas la seule. D'ailleurs, je me demande où vous étiez".

Un soldat arrive et dit : "Amiral, nous avons trouvé le corps de Rias Gremory caché".

"Tiens donc, je me demande qui l'a amené là. Mettez-là sous une couverture, nous la ramenons au QG de la Marine pour déclarer son décès et toucher la prime qu'il y avait sur sa tête".

HS : Dit-moi par mp stp si j'enchaîne avec Lili ou bien si le rp se termine comme ça, pour éviter que je fasse n'importe quoi ^^

Taichigiri se faisait remettre à l'ordre par son supérieur, qui lui rappelait leur différence de grade. Le colonel ne se laissait pourtant pas intimider pour autant, car il semblait avoir très envie de partager son avis sur le sujet du moment.

"Que vous soyez plus gradé que nous tous réuni ne vous donne pas le droit de faire du harcélement sur une mineur"

Taichigiri lui avait dit ce qu'il pensait sans élever le ton. Il espérait que l'amiral comprendrait, mais on dirait bien que non, car il continuait à s'acharner en disant qu'elle était coupable. Taichi soupira, et voulu répliquer, sauf qu'il n'en eut pas le temps, car Jérémy voulait savoir où il était passé.

"Où j'étias ? Bah sur le navire, depuis un bon bout de temps. Vous êtiez tellement occupé à courir après les pirates que ma présence ou pas sur ce bateau ne vous a pas sauté aux yeux. Je suis là, je serais toujours là même si tout ce que l'on fait sur ce rafiot ne me convient pas tout le temps, mais c'est ça ou la potence... En sachant que j'ai des gens à protéger, le choix est vite fait..."

Taichigiri lui avait dit très calmement ce qu'il pensait, déviant de ce qu'il avait véritablement fait avec une grande aisance, le colonel semblait reprendre ses mauvaises habitudes de jeunesses, qui l'avaient conduit jusqu'à la marine et à finir par travailler pour eux grâce à un bon deal avec la marine, qui avait finit par accepter, et jusqu'à présent, ils n'avaient jamais été mécontent de leur choix, car Taichigiri c'était révélé être un bon élément, mais à présent que Rias était morte, il perdait petit à petit les boulons, et faisait ce qu'il pouvait pour ne pas cèder à trop de folie. Pensant que l'amiral était au courant, car il avait sûrement lu son dossier avant de le recruter, Taichigiri pensait qu'il comprendrait où il voulait en venir. Leur échange verbal se coupa net lorsqu'un soldat arriva en disant qu'il avait découvert le corps de Rias. Taichigiri, faisant son possible pour garder son sang-froid, jusqu'à ce qu'il entendit Jérémy donner des ordres. Au moment même, il entendit une voix lui parler à son oreille. Il était étonné, car il ne pensait plus jamais entendre cette voix qu'il aimait tant.

"Merci... Je vais faire des efforts pour toi..."

murmura faiblement Taichigiri, d'une voix presque inaudible pour une oreille banale. Se sentant détendu, il espérait qu'elle ait pu entendre sa réponse. Il ne remarqua que très tard qu'une larme, provenant de son oeil non bionique, coulait sans s'arrêter. Haussant les épaules, il finit par sortir un mouchoir de sa poche, et tenta d'essuyer son pauvre oeil, ayant l'air de s'en foutre de ce que pourrait dire Jérémy. Se ressaisissant, il enleva son mouchoir, le rangea, puis il s'adressa à l'amiral.

"J'espère qu'après avoir touché cette prime non mérité, que vous allez lui faire un bel enterrement lorsqu'ont sera arrivé à destination"

Au fond de lui, Taichigiri connaissait déjà al réponse, sauf qu'il avait besoin de l'entendre de vive voix, juste pour avoir l'occasion de lui lancer un sale regard pour exprimer tout le mépris qu'il avait pour cette homme mauvais, qui pensait être un bon soldat de la marine.

Jérémy fronce les sourcils suite à la réponse de Liberté, il dit alors : "Je vous conseille de changer de ton avec moi. Je vous rappelle que je suis votre supérieur".

Taichigiri intervient finalement, Jérémy le remet à l'ordre, lui rappelant qui il était. Taichigiri lui répond que cela ne lui donne pas le droit de harceler une mineur. Jérémy tend son bras et lui envoie un éclair noir avant de dire : "Ne me dites pas ce que j'ai à faire, colonel. Je ne la harcèle pas, je la réprimande car elle a mal agit, tout comme vous il y a quelques temps. Mineur ou non, elle est dans la Marine et doit faire ce que je demande. Recommencez à discuter mes actes et vous irez faire un tour à Impel Down".

Taichigiri finit par dire qu'il était sur le navire et qu'il n'avait pas vraiment le choix d'y être. Jérémy dit alors : "La potence pour que vous fassiez honte à la Marine? Non, si vous mourriez, personne ne s'en rendra compte et personne ne vous pleurera".

Quand on lui informe qu'il y avait le corps de Rias, l'amiral donne des consignes. Taichigiri lui fait alors une réflexion qui déplait à Jérémy qui lui envoie encore des éclairs.

"Restez à votre place, colonel, si vous ne voulez pas que je fasse un rapport sur votre comportement à l'amiral chef. Je ne vous permets pas que je ne mérite pas cette prime pour la simple et bonne raison que j'étais là, tout comme vous, le jour où elle s'est opposée à l'arrestation des Dauphins et les a aidé à fuir, m'obligeant à l'arrêter. Elle aurait dû finir derrière les barreaux si les Menshuus n'étaient pas intervenus et que vous aviez bien fait votre travail. Donc à votre place, j'éviterais de la ramener".

Liberté se met alors à juger ce qu'il faisait. Jérémy dit alors : "Cette femme a brûlé le drapeau du Gouvernement Mondial avec sa soeur, elle m'a empêcher d'arrêter un équipage pirates que je traquais depuis longtemps et a rejoint un équipage pirates qui semble allié aux Révolutionnaires. Si, elle est une vulgaire pirates et sera traité comme telle. Fin de discussion".

Il tourne les talons et se rend à sa cabine.

Quand l'amiral lui dit de baisser d'un ton, la miss le scruta avec un regard désolé, puis elle se tut, pensant que cela ne valait plus la peine de continuer d'argumenter. C'est lorsque Taichigiri vint la défendre qu'elle se senti heureuse, mais cela ne dura pas, car le colonel se prit un éclair de la part de son supéreur, ce qui fait creir de peur la jeuen fille, car elle ne s'attendait pas à ce que son ami soit puni. Jérémy dit qu'il devait faire attention s'il ne voulait pas aller à Impel Down, ce qui ne laissa pas indifférente la jeune chanteuse.

"Impel Down ?! Oh s'il vous plait, écoutez-le ! Je sais de quoi il s'agit, et je peux vous assurer que vous n'aimeriez pas être enfermé là-bas !"

Lui conseilla la demoiselle en semblant avoir peur pour le cyborg aux cheveux verts. Suite à la réplique de Taichigiri, qui mit mal à l'aise la musicienne, le supérieur dit que personne ne viendrait pleurer le colonel, une phrase que Liberté trouvait plutôt injuste, même si le principal intéressé semblait s'en amuser.

"Il y aura du monde pour voir la bêtise de la marine, car le colonel Utsuro est super gentil, j'ai de la peine à l'imaginer dans une pareille situation"

C'est peu de temps après que Taichigiri dit ce qu'il pensait, et qu'il se fait à nouveau électrocuter. Liberté avait à nouveau crié, car elle n'arrivait pas encore à prévoir la réaction de l'amiral. Ce dernier répondit à sa question, et s'en alla. Liberté n'était pas du tout de son avis, mais sa priorité était la santé de son ami, qui semblait avoir eut bien mal, même s'il ne le montrait aps trop. A cause de la peur et de l'injustice des nombreuses situations, elle ne pu s'empêcher de scruter le chevelu verdâtre avec un regard inquiet et triste. C'est quand il al prit dans ses bras, en lui disant que tout allait bien, qu'elle se senti en sécurité.

"Je suis désolée, ce qu'il vous est arrivé est quand même un peu de ma faute ! Vous avez vraiment intérêt à tenir le coup, parce que moi, je n'ai pas envie d'avoir votre mort sur ma conscience ! Merci pour votre compliment, mais je pense que j'en ais quand même un peu trop fait... Je n'ose pas imaginer les conséquences, mais je n'arrivais pas à me retenir, c'est plus fort que moi, j'ai de la peine avec l'injustice, et vous avez raison, je ne suis vraiment pas fan de la marine, et j'ai la nette impression que cela ne va pas s'arranger avec le temps"

Après avoir dit ce qu'elle pensait, en étant désolée, et en se sentant coupable, elle était tout de même contente que quelqu'un la soutienne. Une fois qu'il l'eut lâchée, il lui dit qu'elle devait se reposer pour montrer à son papa son nouveau pouvoir, ce qui fait sourire la demoiselel.

"Je crois que je vais éviter de le faire, car il n'y a que vous qui m'avez crue quand j'ai dis que j'étais innocente, donc si c'est pour qu'il me fasse un mauvais commentaire, je préfère ne pas lui en parler. En tout cas, merci pour tout. Vous au moins, vous êtes gentil avec moi. Vous êtes un super papa, vos enfants, ils ont de la chance de vous avoir, c'est pour ça que vous ne devez pas mourir"

Après lui avoir dit ces mots, elle lui fit un bisou sur la joue et elle s'en alla très rapidement dans une cabine libre. A peine eut-elle le temps de souffler, qu'un escargophone se mit à sonner. Pensant qu'il devait peut-être s'agir de son père adopitf,q ui voulait sûrement prendre des nouvelles, elle décrocha en vitesse, puis elel déglutit difficilement en entendant la voix d'Akainu, qui lui donnait des sueurs froides même s'il n'était aps vraiment présent sur le navire.

- Alors ma petite fleur sauvage, tu as été sage durant la mission ?

"Oui"

- Tu n'as pas causé de soucis à l'amiral Raitei ?

"Non"

- Ton manque de développement me laisse perplexe. Passe-moi l'amiral

En entendant la voix légèrement moqeuse de son père, Liberté comprit qu'elle allait passer un sale quart d'heure. Sans rien ajouter de plus, d'un pas mal assuré, elle alla jusqu'à la cabine de son supéreiur, et toqua à la porte. Dès que l'homme au pouvoir de la foudre daigna enfin lui ouvrir, elle le scruta en ayant un sourire neuveux.

"Je... Je suis désoleé de vous déranger... Il y a l'amiral Akainu qui veut vous parler pour savoir si tout va bien, alors... Voilà, voilà, je vous laisse discuter..."

En disant ces mots, Liberté ne se sentait pas du tout à l'aise. Elle avait envie de aprtir le plus loin possible de cette cabine. Cepenadnt, elle ne pouvait pas le faire, car elle devait attendre qu'il prenne l'ecargophone. Dès que ce fut fait, elle pu entendre la voix de son père dire :

- Bonjour amiral Raitei. Selon les dires de Lize, elle ne vous a pas créé de soucis. Cependant, j'ai de al peine à le croire. Pouvez-vous m'en dire plus sur les évènements de la journée ?

En entendant la voix très professionnelle de son père, Liberté se mit très fortement à penser qu'il était temps de retourner dans la seule cabine disponible qu'elle occupait depuis peu de temps pour éviter de se faire gronder tout de suite. Essayant de faire comme si elle n'était pas là, elle commença à s'en aller.

HS : je ne sais pas i le rp était terminé, mais je pensais que c'était cohérent de mettre cet appel en rp. Après si tu penses que cela ne vaut pas la peine, n'hésite aps à m'envoyer un mp ^^

HRP-J'avais prévu de m'arrêter là, c'est pour ça que j'ai fait partir mon personnage dans sa cabine, mais bon, on va clore maintenant-HRP

Quand Jérémy prévient Taichigiri ce qu'il risquait de lui arrivait s'il continuait à lui manquer de respect, la jeune fille lui demande de l'écouter car il n'aimerait pas être enfermé là-bas. Taichigiri se met à rire, ce que Jérémy n'apprécie pas, du coup, il lui lance un regard noir. Quand il termine sa phrase, l'amiral de la Marine libère son fluide royale vers le colonel afin qu'il ne fasse plus trop le malin.

"Je ne plaisantais pas, Colonel. Et si cette promesse concerne une certaine déserteuse, je vais me poser des questions sur votre fidélité envers la Marine".

Quand Jérémy dit ensuite au colonel qu'il n'y aurait pas de potence pour lui pour pas qu'il fasse honte à la Marine, mais qu'il mourait sans que personne ne soit au courant, la jeune fille dit alors que du monde verrait la bêtise de la Marine avant de dire ce qu'elle pensait de Taichigiri. Jérémy envoie son fluide vers elle, ce qui devait bien la secouer.

"Surveillez votre langage. C'est la Marine qui vous nourris et dans le quel vous vous êtes engagés, je vous le rappelle. La Marine empêche la vermine des pirates de commettre des crimes abominables, vous lui devez le respect".

Il dit ensuite ce qu'il pense de Rias Gremory avant d'entrer dans sa cabine. Dans son bureau, il était en train de boire un verre de vin quand quelqu'un toque à sa porte. Il lève la tête avant de dire : "Entrez".

Il voit alors Lizeron entrer en lui disant que Akainu voulait lui parler. Il prend l'escargophone et entend la voix de son mentor lui parler, voulant savoir comment ça se passait avec sa folle.

"Pas de soucis? Elle passe son temps à me défier et à me manquer de respect, elle manque de respect à la Marine elle-même. Mais ne vous en faites pas, je compte bien lui apprendre la discipline. Ce n'est pas tout, mais nous nous rendons au QG de la Marine que nous avons trouvé et abattus. Au revoir".

Il raccroche et regarde la jeune fille d'un air sévère.

"Non contente de me mentir, vous mentez à votre père. Je pense de plus en plus que vous n'avez rien à faire dans la Marine. Cependant, votre père vous a confié à moi et je compte bien faire de vous un soldat comme il le souhaite. J'ai beaucoup de respect pour et il m'a appris tout ce que je sais aujourd'hui et je compte en faire de même avec vous. Et pour commencer, vous devez apprendre à respecter vos supérieurs. Allez en cuisine, vous serez de corvée de patates pour punition".

HS : Pardon, je suis un voyou, je fais durer le rp x) Ne t'en fait pas, je fais mes deux derneirs rps, et le rp est terminé ^^

Taichigiri était très touché par les paroles de Liberté, car il comprenait qu'elle l'aimait bien. Quand Jérémy dit qu'il ne plaisantait pas, et que s'il suivait les conseils d'une personne dangereuse, il allait finir par devoir vérifier ses véritables intentions au sein de la marine, ce qui fit sourire le colonel.

"Ne vous en faites pas, la personne ne peut plus faire de mal à qui que ce soit là où elle se trouve actuellement. Vous pouvez tester et vérifier tout ce que vous voulez, vous constaterez que je suis un bon garçon, et que je ne suis ici que pour servir la cause de la marine"

Taichigiri lui disait ces mots en le regardant dans les yeux, montrant qu'il était très sérieux, ce qui n'était pas le cas dans sa tête, car il savait très bien que couvrir Lucky ou autres membres de son équipage ne l'aiderait pas à ne pas se faire suspecter de la marine, mais il préférait agir de la sorte. Lorsque Liberté se confia à lui, Taichigiri était touché, il la trouvait adorable.

"Ton père et l'amiral Raitei ne te le diront jamais, mais tu as plus l'étoffe d'une bonne marine qu'eux, mais chut, il faut éviter de le rpéter trop fort, car tu as bien vu, leurs idéaux de la marine ne sont pas les mêmes que les tiens. Je crois en tes capacités"

Après lui avoir dit ce qu'il pensait d'elle, elle lui fait un gentil commentaire, qui le toucha sincèrement. Cette gamine était quelqu'un de bien, et il espérait qu'à force de se faire modeler par des gens comme ses supérieurs, qu'elle ne finirait pas par devenir comme eux.

"Tu es chou, mais je ne peux pas te le confiremr à cent pour cent, ce sont les p'tits qui peuvent le témoigner, et uniquement eux."

Taichigiri lui fit une petite tape sur l'épaule, puis il s'en alla dans sa cabine. A présent qu'il était seul, il c'était assit sur le lit, et à voir son regard, on pouvait avoir l'impression qu'il avait déconencté de la réalité, car vivre sans Rias était dur, et c'était le seul moyen qu'il avait trouvé, pour l'instant, pour éviter de faire n'importe quoi.

Quand Jérémy lui lança un peu de fluide, Liberté eut bien trop peur pour répliqur quoi que ce soit, même si ses dires ne lui plaisaient pas. Lorsqu'il fut parti, Taichigiri la réconforta en lui disant qu'elle avait plus l'étoffe d'e^tre une bonne marine que son père, ce qui la fit sourire, car dans un sens, il avait peut-être raison. Après s'être quitté, Liberté fut obligée d'aller porter l'Escargophone à l'amiral, et lorsqu'il répondit à son mentor, ce dernier n'avait pas l'air surprit. A l'entendre, Akainu avait plus l'air agacé et déçu qu'en colère, ce qui ne signifiait rien de bon pour la demoiselle.

- Ce n'est malheureusement pas une surprise ce que de vous entendre dire du négatif sur ce sale puceron que je m'efforce à entraîner pour qu'elle devienne un jour un bon élément de la marine. Ne vous en faites pas, dès que je rentre de mission, je ferais en sorte qu'elle ne vous crée plus de problèmes

Quoi ? Elle avait bien entendu ? Liberté était figée sur place à caue de l'horreur. Il voulait lui faire quoi ? La tuer ? Liberté n'était pas bien. Elle avait peur, car elle ne voulait pas mourir sans avoir revu Espoir, qu'elle avait honteusement repoussé pour lui éviter d'avoir des problèmes avec la marine à cause de son entêtement.

- Ah au moins une bonne nouvelle. Bonne chance. Au revoir

Dès que la communication fut terminée, Raitei se mit à lui faire la morale, lui disant qu'il pensait de plus en plus qu'elle n'était pas faite pour la marine, ce qui la défigea et lui fit avoir un sourire timde. Enfin quelqu'un commençait à comrpendre que l'idée d'Akainu n'était pas bonne ! Elle aurait bien aimé lui dire qu'elel était d'accord avec lui, mais il continua son discour en lui faisant bien comprendre qu'il n'allait pas abandonner. Perdant son sourire durant quelques minutes, car elle n'étai tpas très enthousiaste par ce qu'elle venait d'entendre, car s'il avait été un disciple de son père, elle était persuadée que son entraînement ne serait pas une partie de plaisir. Son sourire revint quand il l'envoya à la cuisine.

"D'accord, j'y vais de suite !"

S'exclama la demoiselle avant d'utiliser le Soru pour se rendre très rapidement dans ladite pièce. Normalement, une personne lambad aurait fait la tête en se faisant envoyer là-bas, mais pas Liberté, car en pelant des patates, elle était dans son élément, car elle adorait faire plaisir aux autres, et qu'est-ce qui pouvait faire plus plaisir aux gens que d'avoir à manger ? En plus, elle pourrait chantonner ses chansons sans déranger trop de monde, donc, elle ne pouvait qu'être contente de se faire envoyer dans la cuisine pour exécuter une tâche dite ingrate.

HS : Voilà, pour mes persos le rp est terminé, à plus pour la suite